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La Lettre

Bonjour Elise Lucet,

 

Spectatrice assidue de vos émissions d'investigation, j'admire depuis toujours votre courage et votre intégrité. Aussi ai-je été déçue de constater, en visionnant le numéro de Cash Investigation consacré à la pénurie de médicaments, que vous aviez invité Olivier Véran et Agnès Buzyn à s'exprimer en tant qu'autorités sur un sujet de santé, comme si la crédibilité des deux ex-ministres était intacte.

 

Lorsque Olivier Véran a osé prononcer le mot "éthique", mon sang n'a fait qu'un tour. Ignoriez-vous qu'il avait été pris en flagrant délit de mensonge quant aux effets secondaires des "vaccins" à ARN messager ?

https://partage.unistra.fr/service/home/~/?auth=co&loc=fr&id=73088&part=2

 

Quant à Agnès Buzyn, elle est responsable, entre autres, du déremboursement des médicaments homéopathiques, décision catastrophique qui aura pour conséquence probable la disparition d'une thérapeutique très précieuse à plus ou moins long terme : les jeunes médecins n'auront plus de formation dans ce domaine et les laboratoires ne fabriqueront plus les remèdes qui auront cessé d'être rentables. Permettez-moi de mentionner deux expériences personnelles. Il y a une vingtaine d'années, on m'a diagnostiqué une périarthrite scapulo-humérale calcifiante. Mon médecin m'a injecté la solution homéopathique solanum malacoxylon pendant plusieurs mois, traitement qui a dissous complètement la calcification et m'a évité une opération. Plus récemment, j'ai souffert d'un abcès dentaire et ai échappé aux antibiotiques grâce à la formule C378 de Weleda. Depuis, ce laboratoire a mis un terme à la fabrication de son produit. Bientôt, seuls les footballeurs de la Mannschaft et les chevaux de course pourront bénéficier des remèdes homéopathiques, qui ont l'avantage de combiner efficacité et innocuité - les simples mortels que nous sommes n'y auront plus accès. Or, comme l'a regretté Agnès Buzyn elle-même au cours de votre émission, les Français consomment beaucoup trop de médicaments (allopathiques) au détriment de leur santé !

 

Les agissements des deux ex-ministres pendant la crise du Covid mériteraient d'être examinés de près par les journalistes. Par exemple, après avoir déterminé le rôle d'Agnès Buzyn dans la nomination de son mari, le Dr Yves Lévy, au poste de directeur de l'INSERM, ne conviendrait-il pas de se demander si son acharnement contre l'hydroxychloroquine ne s'explique pas avant tout par sa volonté de nuire au Pr Didier Raoult, avec lequel le Dr Lévy était en conflit ?

 

Enfin, je suggère à votre équipe de faire son mea culpa en proposant une émission sur la politique de santé mise en œuvre lors de la crise du covid. Il s'agirait de donner la parole à des scientifiques indépendants et non plus à celles et ceux qui, oubliant que science sans conscience n'est que ruine de l'âme, ont défilé sur les "plateaux télé" pour y débiter la propagande officielle en faveur des "vaccins", sans que personne ne vienne leur apporter la contradiction et moyennant le versement d'un million d'euros placés "offshore" par les laboratoires concernés, si l'on en croit Christian Perronne.

 

Voici une liste non exhaustive d'invités à privilégier, le Pr Perronne et le Dr Michel de Lorgeril étant incontournables compte tenu de leur travail sur les vaccins et de leur connaissance intime du milieu médical : Jean-Paul Bourdineaud (biochimiste), Jean-François Lesgards (médecin titulaire d'un doctorat en chimie et biochimie), Jean-Marc Sabatier (biologiste), Alexandra Henrion-Caude, Christian Vélot (généticien.nes), Henri Joyeux (cancérologue), Jean-Bernard Fourtillan (pharmacologue), Louis Fouché, Laurent Montesino (anesthésistes-réanimateurs), Jean-Dominique Michel (anthropologue de la santé), Christine Cotton, Pierre Chaillot (biostatisticien.nes), Laurent Mucchielli (sociologue), Anne Georget (documentariste), etc. Comme le Pr Montagnier, qui a osé (!) affirmer que les pseudo-vaccins anti-covid s'attaquaient à l'immunité, ces scientifiques ont été vilipendés pour leur prise de position critique à l'égard de la politique de vaccination. Ne serait-il pas grand temps d'analyser leurs arguments au lieu de leur faire un procès en hétérodoxie sans avoir pris la peine de les lire ou de les écouter ?

Il faudrait solliciter aussi Jean-François Delfraissy, ex-président du Conseil scientifique qui nous a imposé confinement, "vaccins" et masques et qui a retourné sa veste depuis. Dans la mesure où il a refusé tout débat public avec Christian Perronne, il est probable qu'il déclinera votre invitation, ce que, compte tenu des scrupules qui vous caractérisent, vous ne manquerez pas de souligner en début d'émission...

 

Bien cordialement,

 

Nathalie Roulon

Depuis le début de la crise sanitaire, le gouvernement nous ment, en particulier sur l'efficacité des "vaccins" anti-Covid et sur leurs effets secondaires. Vous en trouverez une preuve supplémentaire dans la pièce jointe (moins de 4' d'écoute).

 

Les chiffres sont systématiquement manipulés. Libération a eu l'honnêteté d'admettre que pour "les hospitalisations conventionnelles, les non-vaccinés représentent 43% des entrées, contre 57% pour les vaccinés". Quant aux "entrées en soins critiques, les proportions sont équivalentes (50% de vaccinés et 50% de non-vaccinés)" (3 décembre 2021). Nous sommes donc loin de l'hospitalisation à 80% de non-vaccinés, chiffre annoncé par Karine Lacombe, experte qui se distingue moins par sa compétence que par ses conflits d'intérêts (elle est salariée de Gilead, fabricant du Remdézivir, médicament inefficace, toxique et très onéreux)....

Je viens d'apprendre en outre que les cadres hospitaliers, certains en tout cas, classent dans la catégorie des "non-vaccinés" les patients en réanimation qui n'ont reçu que deux doses de "vaccin" au lieu de trois !

Pendant ce temps-là, les médecins et chercheurs indépendants de l'industrie peinent à se faire entendre car leurs résultats sont passés sous silence par des journalistes aux ordres, quand ils ne sont pas vilipendés pour avoir contredit la propagande officielle. J'invite donc les personnes jusque-là exclusivement exposées au lavage de cerveau médiatique à écouter la mise au point du Dr de Lorgeril, dont voici le lien: https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/michel-de-lorgeril

 

Nathalie Roulon

 

Dans le message ci-dessus, je ne donne que quelques exemples de manipulation des données.

Il y en a bien d’autres. Ainsi, les malades qui décédaient à l’hôpital des suites d’un cancer ou d’une autre pathologie après avoir contracté le Covid étaient systématiquement classés dans les victimes du virus :  le tour de passe-passe consistait à substituer au statut de «  mort avec le Covid » celui de « mort du Covid ».

Contribution dans le cadre de la consultation publique organisée par l’ARCEP

et portant sur le projet de décision proposant les modalités d’attribution

de la bande 3490 - 3800 MHz en France métropolitaine

 

 

Madame la Secrétaire d’État auprès du Ministre de l’Economie et des Finances,

Monsieur le Secrétaire d’État auprès du premier ministre, chargé du numérique,

Monsieur le Président de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes,

 

Je fais partie des citoyens français qui sont très inquiets pour leur avenir et celui des générations à venir face au champ laissé libre pour diverses expérimentations de nouvelles technologies menées par des industriels : protocoles CPL G1 et G3 pour Linky, 3G, 4G, 5G pour la téléphonie mobile, Smart City etc.

 

Je suis notamment très préoccupée par les effets sanitaires qui pourraient être engendrés par le déploiement de la nouvelle technologie 5G sur le territoire de notre pays. En effet, outre les risque évidents que ces ondes présentent pour notre santé, le fait de devoir placer de très nombreuses antennes pour pouvoir couvrir le territoire est une aberration tant économique qu'écologique. Nos organismes ne pourront donc pas y échapper où que nous nous trouvions...

 

Est-il vraiment nécessaire aux Français de bénéficier toujours et partout d'une haute technologie pour leurs loisirs ? La 4G me semble tout à fait suffisante pour les usages utiles que nous faisons de nos smartphones (GPS, recherche d'un renseignement, envoi et réception de messages de nos proches etc). Entre notre santé et cette "consommation" à outrance de nos appareils connectés, le choix est vite fait en ce qui me concerne.

J’ai noté que, dans l’interview donné au journal La Croix en date du 17 Juillet 2019, M. Sébastien Soriano, Président de l’ARCEP, avait déclaré : « La protection de la santé ne fait pas partie du rôle de régulateur indépendant de l’Arcep ». C'est vrai. J’ai donc choisi de protéger moi-même ma santé (ou plutôt de tenter de le faire) en vous écrivant ce courriel.

L’appel du 13 Septembre 2017, à l’initiative des Pr Hardell et Nyberg, par lequel plus de 180 scientifiques et médecins de 37 pays demandent un moratoire sur le déploiement de la 5G jusqu’à ce que des études d’impact sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes aient été réalisées préalablement à toute mise sur le marché, a été remis à l’OMS.

Je relaie ici cet appel et vous demande moi aussi un moratoire sur toute décision d’ordre technique, réglementaire ou législatif concernant le déploiement de la 5G en France, tant que des études sur les impacts sanitaires et environnementaux de cette technologie n’auront pas été réalisées et jointes aux dossiers des consultations publiques, et n'auront pas prouvé de façon sûre et argumentée que ces ondes n'ont aucun effet néfaste sur la santé des être vivants.

Vous priant de bien vouloir prendre en compte ce message dans le cadre de la consultation publique, je vous prie d'agréer, Madame, Messieurs, l’expression de mes respectueuses salutations.

 

S. PORTIER

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Les arrêtés et délibérations de janvier 2019

Bovel, le 17 octobre 2018

 

 Mesdames et Messieurs les député(e)s, cher(e)s collègues,

 

  Comme vous le savez, nombre de maires, proches de leurs concitoyens et soucieux de leur liberté, ne réduisent pas leur sens du devoir à la lettre des dispositions du Code des Collectivités Territoriales.

Aussi s'efforcent-t-ils de faire entendre la voix de leurs concitoyens et la force de leurs convictions avec des ressources parfois modestes, en restant dignes face aux influences qui pèsent sur eux, à une époque où le citoyen, démuni et saturé, est malheureusement contraint de remettre si souvent sa liberté de penser et d'agir entre les mains de ses élus, en lesquels il espère pouvoir garder sa confiance.

 

 

 Mais je viens également de prendre un arrêté municipal, le 10 octobre 2018, dont l'objet est la prévention des risques en matière de sécurité incendie, de protection des personnes et des biens. Vous comprendrez que je ne puis attendre que notre commune soit le théâtre d'un dommage irréparable, pas davantage que ne le fait l’État lorsqu'il nous demande de simuler des attaques terroristes en entraînant les élèves à se dissimuler qui sous une table, qui dans un placard, en vue d'une improbable menace terroriste sur un village de quelques centaines d’habitants, et sans attendre qu'elle soit effective.

La liste de ces précautions, plan de sauvegarde, réserves incendie, aménagement de la voirie, proscription de la wifi dans les classes maternelles... est longue. Principe de précaution donc, préalable à tout dommage avéré, mais dont bien souvent on dénie la compétence au modeste élu local aux motifs que l'ordre public n'a pas encore été, de facto, atteint ou que les risques ne seraient pas statistiquement incontestables.

Les responsabilités qui nous incombent, nous, maires, ne sauraient être compatibles avec une organisation du déploiement des compteurs communicants qui ferait exception aux réglementations qui encadrent le respect des conditions de sécurité.LIRE

Les arrêtés et délibérations de janvier 2019

courriers adressés à la Préfecture,

au Syndicat d’Energie, à trois Ministres,

aux associations de Maires

BOVEL Arrêté du 21.01.2019

BOVEL courrier à la Prefete du 21.01.2019

BOVEL courrier aux ministres du 21.01.2019

BOVEL courrier SDE 35 du 21.01.2019

Les arrêtés et délibérations de mars 2019

courrier-aux-prefets

le transfert de compétence aux SDE induit un transfert de propriété

 

" Le 28 juin 2019 le Conseil d’état a tranché : les communes ne sont plus propriétaires de leurs compteurs : le transfert de compétence aux SDE induit un transfert de propriété." 

C'est la première fois en France qu'un transfert de propriété n'est pas organisé par un texte clair et précis, mais est issu de l'interprétation jurisprudentielle d'une combinaison de textes. La décision est essentiellement politique selon notre avocat et liée à l'enjeu financier.

Nos communes ont donc été dépossédées de leurs biens sans concertation, sans information, par un tour de passe-passe juridique… 

C'est une nouvelle atteinte à notre démocratie.  

Bovel est en outre condamnée à verser 3000 euros à Enedis. C'est le prix que doit payer une petite commune attachée à la liberté et à la vérité.

Liberté et vérité ont donc un prix, et le Conseil d’État a sans doute voulu être dissuasif. Je ne regrette pas. Il fallait bien que quelqu'un "s'y colle... "

Merci pour l'aide que vous apportez à  la commune de BOVEL qui se bat  pour nous tous, met à disposition  des autres communes les argumentaires de son cabinet d'avocats et qui devra dans les  mois qui viennent assurer à nouveau sa défense au TA et en Cour d'Appel pour les jugements sur le fond.

José Mercier, Maire de Bovel

ELU (la bonne volonté de l'homme au service du citoyen)

Les individus ont des droits naturels

indépendamment de l'Etat.

 

Ils sont des hommes en disposant de ce droit à la liberté.

Notre système repose sur une forme de confiance contractuelle, mais la plupart du temps l'électeur fonde son vote sur un "pot-pourri" d'informations sans pouvoir percevoir les conséquences de son vote.

Par la suite l’Etat se comporte parfois à l’égard des individus comme le pouvoir qui impose sans leur consentement des devoirs ou des interdictions au nom de l’intérêt général.

Un Etat de droit, est un Etat dans lequel non seulement les individus ont des droits reconnus par la loi, mais également dans lequel ces droits sont défendus contre toutes les atteintes des agents de l'Etat.

La notion de hiérarchie est à proscrire dans l'élaboration d'un authentique  contrat  social.

La société n’existe que par l’individu et dans un état de droit le souverain est le peuple.

Les élus nationaux doivent pouvoir être saisis des problèmes quotidiens.

Quant aux élus locaux, leur rôle est d’assumer des tâches en relation directe avec la vie quotidienne des citoyens et d’assurer le bon fonctionnement de la collectivité dont ils ont la charge.

La crédibilité d'un élu se mesure à son éthique et son action.

Doit-on vivre de la politique ? On s'aperçoit aujourd'hui des effets pervers de la professionnalisation de cet univers. Naissance des fiefs locaux, systèmes d'appareils politiques, développement des oligarchies. Comment sortir de cette spirale infernale ?

Se pencher sur le statut de l'élu, prévoir les retours à la vie professionnelle et instaurer la limitation du cumul de mandats.

Si l'on considère que la République est sacrée et irréprochable, que dire de ses représentants. Pour les assister dans leurs actions il est nécessaire d'instaurer des mécanismes de contrôle auxquels les citoyens ont accès.

La Polis est une exigence naturelle, dit Aristote. L’Etat de droit institué par la communauté des hommes est la condition de possibilité du maintien de la liberté. 

LETTRE OUVERTE A MADAME LE MINISTRE

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