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Lettre ouverte aux Représentantes et Représentants de la Nation
Au sujet du compteur/capteur connecté Linky


À la suite d’une directive européenne non contraignante (n° 2009/72/CE du 13 juillet 2009),
le gouvernement de notre pays a décidé dans la « Loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte » du 17 août 2015 d’ordonner à la société Enedis SA la pose de plus de 35 millions de compteurs/capteurs communicants électriques Linky en remplacement d’autant de compteurs plus robustes et en parfait état de marche.
- Un système de captation de données personnelles, de bien courte vie, non obligatoire…

tout en étant posé de force en violation de droits fondamentaux
Le projet Linky s’inscrivait dans le cadre d’une lutte contre l’obsolescence programmée inscrite dans ladite Loi… alors que la longévité des capteurs Linky est supposée être, selon Enedis, de 15 ans dans les meilleures conditions (ce dont on peut douter), et de 10 ans pour les 700 000 concentrateurs (on peut aussi en douter) contre 50 à 80 ans ou plus pour les anciens compteurs (cf. plus loin).
Le Président du Directoire d’ERDF devenu ENEDIS, M. Monloubou, vantait devant la Représentation nationale

le 2 février 2016 cette société comme promise à devenir avec le programme Linky « un opérateur de Big Data qui va bientôt gérer 35 millions de compteurs connectés ». Il s’agissait de permettre le commerce de nos données les plus personnelles et intimes, implicitement pour notre bien comportemental et notre souci de sobriété, afin de soi-disant faciliter le pilotage du réseau électrique, et au nom d’une hypocrite et très inappropriée cause d’ « intérêt général » mais pour le seul profit d’intérêts privés dans le domaine

de l’électricité, et au-delà.
Or, l’imposition d’un objet connecté non librement désactivable par l’usager, ainsi que le changement unilatéral du contrat sur la nature de l’électricité fournie en superposant de force le CPL (courant porteur en ligne) sur le 50 Hz, contreviennent aux fondamentaux des droits français et européen qui assurent nos dernières libertés.
Il y a là une violation d’un droit fondamental. L’article 12 de la Déclaration des Droits de l’Homme stipule : « Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile (…). Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. »
Des citoyennes et citoyens, dont des personnes électrohypersensibles (EHS), sont contraint.es
d’aller en justice pour faire respecter leur droit au refus. Le Jugement de la Chambre d’appel de Bordeaux (juris data n° 2020-019057 du 17 novembre 2020) dit ceci : « contrairement à ce qu’affirme la société Enedis, aucun texte légal ou réglementaire, européen ou national n’impose à Enedis société commerciale privée, concessionnaire du service public, d’installer au domicile des particuliers des compteurs Linky, qui entrent certes dans la catégorie des compteurs intelligents ou communicants, c’est-à-dire pouvant être actionnés à distance, mais n’en sont en réalité qu’un modèle. Le Linky est le résultat d’un choix technico-commercial qui ne saurait être imposé à l’abonné. La Cour avait préalablement relevé que les dispositions de la directive 2009/79/CE ne mettent à la charge des abonnés aucune obligation d’accepter son installation. » Ce à quoi il faut ajouter que « le droit français de l’énergie n’institue aucune servitude de compteur à la charge des
abonnés. Le refus de la pose d’un compteur communicant n’est donc nullement constitutif d’un
prétendu délit d’entrave au réseau. » (Lecture de Me Olivier Cachard).1

la « virtualisation » de nos modes de vie ne se révèle-t-elle pas la plus vaste entreprise de matérialisation de l’histoire ?
L’autre pollution résultant du numérique est atmosphérique : il s’agit des émissions de CO2, l’électricité étant nécessaire pour faire tourner les mines et pour maintenir les centres de données constamment en activité. Or cette électricité provient souvent des hydrocarbures.

Ce qu’il est important de noter, c’est que les émissions de CO2 ne représentent qu’une petite fraction de cette pollution d’ensemble. Nous avons tendance à conditionner le succès de notre action environnementale à ce seul critère. Or, il en dissimule d’autres tels que la pollution des eaux et des sols, l’acidification des océans, les atteintes à la biodiversité… qui sont tout aussi importants. Le numérique est aisément présenté comme un allié naturel de la lutte contre le changement climatique. En envoyant un courriel plutôt qu’une lettre par la poste, on consomme en effet moins de papier, moins d’encre, et on ne mobilise pas le parc automobile de La Poste.
Associé à la transition énergétique, le numérique se révèle également un formidable outil de pilotage des réseaux électriques. Rappelons que passer du charbon au solaire pose le problème de l’intermittence de la production d’électricité, puisque le soleil ne brille pas toute la journée. Les technologies numériques permettent précisément de faire se rencontrer en temps réel l’offre et la demande et donc de limiter le gaspillage de ressources.
Aussi, pendant 20 ans, tout ce qui était numérique a présenté le double avantage de stimuler l’économie moderne tout en étant un bienfait pour la planète, la « ville intelligente » se présentant souvent comme l’ambassadrice de ce nouvel âge heureux.
Le numérique, tel qu’il se déploie sous nos yeux, n’est en aucun cas compatible avec les Accords de Paris. Cette technologie n’est pas mauvaise en soi, mais tout dépend de la manière dont on l’utilise. Or nous sommes aujourd’hui les acteurs d’une débauche de consommation de cette ressource qu’est internet. Les cryptomonnaies (dont on se demande bien quelle est leur véritable utilité économique, sociale et politique), la 5G (dont les débouchés économiques demeurent mal appréhendés) et l’intelligence artificielle (IA) générative ne sont que les derniers exemples d’innovations aussi extraordinaires que fascinantes, mais dont nous n’utilisons pas véritablement le potentiel de régénération des écosystèmes ou de production de solidarité.
À moins d’une extraordinaire prise de conscience – à commencer par la « génération Greta », très consommatrice de ces outils – de ce qu’il en coûte de se dématérialiser à tout bout de champ, on peut difficilement imaginer que le numérique puisse servir la cause qu’il prétend souvent défendre.  On constate en effet qu’un infime pourcentage des utilisateurs d’internet s’engage à utiliser cette ressource avec davantage de sobriété, en refusant par exemple de changer son téléphone mobile tous les 18 mois ou en s’engageant de façon plus active dans des réseaux de « Makers » et de « Fablabs », où l’on répare, réutilise, recycle, etc… Or cette réalité vient percuter une dynamique inverse et bien plus puissante encore. Les semi-conducteurs et la 5G sont des technologies qui convergent toutes vers la même quête : celle de la production de données, nouveau carburant de ces éternels moteurs de l’histoire que l’on appelle la quête de puissance, de prestige, d’influence et de prospérité.

Si l’État français s’est lancé dans le déploiement de la 5G, ce n’est pas seulement parce que cette technologie va générer de la croissance, mais parce que la France (ou aucun autre État européen) ne peut se permettre d’être devancée par les États-Unis et la Chine en ce domaine. Il en va de sa souveraineté technologique, de son assise géopolitique.

Explorer le métavers et développer l’IA générative répond largement à la même crainte d’être dépassé par des puissances adverses qui ont compris que celui qui gouvernera le cyberespace tiendra  demain une partie des clés du XXIe siècle. Dans ce contexte, la dimension environnementale des technologies numériques passe totalement à la trappe.
Guillaume Pitron, chercheur associé à l’IRIS.

L'effondrement systémique par paliers

L'induction d'une décroissance inévitable.

Je ne pense pas que nous en soyons au début. Je pense que nous sommes en cours d'effondrement. Je ne crois pas  que cet effondrement systémique se déroulera en vingt-quatre heures. Certes, Il pourrait y avoir ce genre de modalité sur vingt-quatre heures.  Par exemple, un président d'une grande puissance attrape le coronavirus, il devient fou et appuie sur le bouton nucléaire. C'est quelque chose qui peut se produire. Mais hors épisode de cette nature, l'effondrement systémique a commencé parce que la biodiversité a commencé à s'éroder et que notre capital naturel est entamé. Le fait que le PIB continue à augmenter et que la population continue à augmenter ne doit pas nous tromper.

Si l'effondrement c'est l'incapacité du système à se reconstituer sur ses bases peut-être avons nous dépassé le point si cher à Dennis Meadows de la possibilité d'une stabilisation. Même si on arrêtait la population à son niveau actuel, même si on arrêtait le PIB à son niveau actuel, on est très au-delà de la capacité de récupération des écosystèmes tels qu'ils sont. Donc de toute façon ça va  continuer à se dégrader, la population va baisser qu'on le veuille ou non et la production physique aussi. Maintenant l'effondrement peut prendre très longtemps. Un effondrement peut prendre un siècle. L'effondrement de l'empire romain a été lent. Mon pari, le plus vraisemblable, sur cet effondrement, c'est que c'est un processus par marches d'escalier. De temps en temps on prend une marche d'escalier. On vient de s'en prendre une, récemment.

On ne reviendra pas au niveau précédent. Je l'ai dit sur le pétrole. Mais je ne crois pas que cela signifie que tout est "foutu", qu'il n'y a pas de plan pour l'avenir et qu'il faut baisser les bras. En revanche la lente érosion du système est en route et je n'apprends rien à personne. Les problèmes d'environnement que nous avons aujourd'hui sont des conséquences de la mise en route de flux physiques de plus en plus importants, ceux d'une activité économique de plus en plus importante.

Depuis la révolution industrielle, on produit en quantité croissante des tables, des chaises, des voitures, des maisons et à chaque fois on prend dans l'environnement des ressources, on les transforme, on obtient à la fois le produit de la transformation et les sous-produits indésirables, les pollutions. Plus on transforme, plus on pollue. La croissance économique, c'est la croissance de la production et la croissance des rejets. J.M.JANCOVICI

Loi Waserman : la voix des lanceurs d’alerte et des associations a été entendue.

Après d’intenses discussions parlementaires, l’Assemblée nationale et le Sénat se sont mis d’accord ce 1er février sur un texte de loi transposant la directive du 23 octobre 2019 renforçant la protection des lanceurs d’alerte. Le texte, porté par le député Sylvain Waserman, va renforcer leur protection, en permettant entre autres d’accorder aux lanceurs d’alerte et aux associations qui les accompagnent une provision pour frais de justice en cas de poursuite abusive et des possibilités élargies d’immunité pénale.

Ça y est, un cap est franchi. Après avoir été reconnus par la loi le 9 décembre 2016, les lanceurs d’alerte et celles et ceux qui les accompagnent vont pouvoir bénéficier d’une protection renforcée. Si la loi Sapin II avait marqué une étape, elle avait malheureusement déçu par son manque d’efficacité sur le terrain – notamment du fait qu’elle obligeait le lanceur d’alerte à saisir son responsable hiérarchique au préalable… C’est-à-dire à se jeter dans la gueule du loup, notamment quand on parle de corruption ou de détournement de fonds à son employeur ! Nombreux sont en effet les lanceurs d’alerte qui ont subi des représailles après avoir engagé leurs démarches, et la loi Sapin II ne semble pas l’avoir empêché.

Après un intense travail de plaidoyer des associations et des syndicats, une directive européenne n°2019/2037 sur la protection des personnes qui signalent des violations du droit de l’Union a été adoptée le 23 octobre 2019, qui prévoyait une protection des lanceurs d’alerte plus forte – et qui supprimait notamment cette obligation de saisine interne préalable, en plaçant à égalité la possibilité de saisir son employeur, une institution ou dans certains cas la presse. C’est la transposition de ce texte qui a enfin abouti le 1er février 2022, après plusieurs années de travail de l’ensemble de ceux qui lui ont donné naissance : Sylvain Waserman, qui a porté ce texte contre vents et marées, mais également une coalition de 36 associations et syndicats, dont Anticor, réunis à la Maison des Lanceurs d’Alerte. La loi devrait être votée définitivement courant février. Le débat semblait pourtant mal engagé : après une adoption unanime du texte à l’Assemblée, les associations avaient alerté l’opinion en décembre sur de graves reculs en cours au Sénat, sous l’influence notamment des lobbys de l’agroalimentaire. Fort heureusement, la commission mixte paritaire est revenue à une version plus proche du texte initial.

Le texte va proposer plusieurs innovations majeures pour protéger les lanceurs d’alerte. Pour les reconnaître, d’abord : le « caractère désintéressé » est remplacé par l’absence de contrepartie financière, pour éviter des interprétations fallacieuses. Les lanceurs d’alerte en lien avec la presse dont l’identité ne serait révélée qu’à posteriori seront également reconnus. Par contre, le texte a maintenu hors du dispositif toute information relevant de certains secrets, et notamment le secret de l’enquête et de l’instruction, ce qu’Anticor déplore : les professionnels de la justice et du droit comme Amar Ben Mohammed, prix éthique Anticor 2021, doivent également pouvoir lancer l’alerte sur le fonctionnement de leurs services. On espère que l’interprétation des textes se fera en leur faveur.

Pour les protéger, ensuite : les discriminations dont peuvent être victimes les lanceurs d’alerte sont reconnues au même titre que les autres dans le code du travail ou celui de la fonction publique, ce qui facilitera une saisine en référé du juge en cas de représailles. Celles-ci sont listées de manière exhaustive dans la loi et incluent les sanctions de tous ordres, les poursuites abusives en justice, es ruptures ou non-renouvellement de contrat commercial, les orientations abusives vers les services de psychiatrie…

En matière de poursuites judiciaires, le député Waserman a introduit une innovation de taille. Actuellement, nombre de lanceurs d’alerte sont réduits au silence par des poursuites en justice menées par des organisations puissantes, auxquelles ils ne peuvent faire face. Donnons ici l’exemple de Valérie Murat et son association Alerte aux Toxiques, prix éthique Anticor 2021, condamnée en novembre 2021 à payer 125 000 euros de dommages et intérêts pour dénigrement de la filière viticole – alors que les faits qu’elle avance sont vérifiés… Mais désormais, grâce à cette nouvelle loi, lorsqu’une personne mise en cause revendiquera le statut de lanceur d’alerte, le juge pourra lui accorder une provision pour frais, définitive, pour faire face au procès et aux conséquences de son alerte. En cas de poursuite abusive, le juge pourra prononcer une amende d’un montant pouvant aller jusqu’à 60 000 €.

Autre innovation, dès lors que le lanceur d’alerte aura eu connaissance de son alerte de façon licite, il ne sera pas responsable pénalement s’il produit des preuves liées à cette alerte qui auraient été subtilisées. Ce dispositif consacre le dispositif de liberté de la preuve au pénal en empêchant des poursuites pour vol ou recel pour des lanceurs d’alerte de bonne foi. Le majordome de Liliane Bettencourt, ayant produit des enregistrements clandestins établissant l’existence de financements politiques occultes, pourrait ainsi espérer bénéficier d’une protection.

Pour les accompagner, enfin. Les lanceurs d’alerte vivent bien souvent de longues années de calvaire : mise à l’écart professionnel, licenciement, menaces, poursuites en justice générant de nombreuses incertitudes, générant souvent des dépressions et prises en charge médicales. Outre une promesse d’aide financière et psychologique dont la mise en œuvre reste floue, faute d’amendement gouvernemental sur le sujet, le texte de loi consacre la reconnaissance des différents acteurs autour du lanceur d’alerte. Un lanceur d’alerte n’agit jamais seul en effet : des proches, des collègues, mais aussi des associations et des syndicats sont souvent appelés à l’aide pour analyser la situation et aider le lanceur d’alerte à construire sa démarche. C’est ce que fait Anticor qui reçoit plusieurs centaines d’alertes chaque année. Nous nous félicitons donc de la reconnaissance de ce rôle, tout en regrettant que le rôle de lanceur d’alerte des associations, pourtant évident, ne soit pas reconnu par le texte – et qu’elles ne soient donc qu’imparfaitement protégées contre les représailles.

Le texte facilite également la divulgation publique par les lanceurs d’alerte et donc les contacts avec la presse, les associations et les syndicats : outre les situations de danger grave et imminent (ou simplement imminent concernant les infractions relatives au droit européen), il sera désormais possible de rendre publique une alerte en cas de risque de représailles ou de destruction de preuves si l’alerte était donnée uniquement auprès d’une institution, ou en cas de collusion entre l’autorité concernée et les mis en cause – ce qui est malheureusement possible en matière de corruption, et a pu donner lieu récemment à la saisine de la Cour de Justice de la République par Anticor. La loi n’a cependant pas poussé sa logique au bout, et certaines informations relevant des intérêts de la sécurité et de la défense nationale ne pourront pas donner lieu à une divulgation publique, tout comme celles relevant de secrets protégés tenus hors champ.

La mise en œuvre de ce texte appellera bien sûr toute notre attention. La loi du silence qui peut régner dans certaines administrations ou entreprises ne cessera pas du jour au lendemain, et les représailles continueront même si elles sont interdites. Il faudra continuer de se battre, avec ce nouvel outil, pour que les alertes soient reconnues et prises en compte. Pour ce faire, les associations comme Anticor et la Maison des Lanceurs d’Alerte demeureront des leviers essentiels. Rejoignez-nous !

https://mlalerte.org/les-lanceurs-dalerte-ne-seront-plus-seuls/

Des élus dissèquent les arguments régulièrement mis en avant par l’exécutif.

« Le passe vaccinal n’a aucun sens » si l’objectif du gouvernement est de limiter la circulation du virus et ils soulignent qu'« un test négatif serait bien plus efficace qu’une preuve de vaccination, puisque ni deux, ni trois, ni quatre doses n’empêchent d’être contaminé et contagieux ».

L’argument selon lequel le passe vaccinal serait nécessaire pour accroître le taux de vaccination tombe, les auteurs de la tribune jugent que « c’est une chimère de croire que les réticents à la vaccination d’hier seront les convaincus de demain. »

Concernant la situation de l’hôpital qui serait saturé en raison des malades du Covid-19, ils répondent par une étude de l’AP-HP publiée en janvier dernier. Celle-ci avait révélé que l’engorgement des services de soin n’était pas causé par le virus.

Par ailleurs, les sénateurs ne se privent pas de souligner la responsabilité de l’exécutif dont les décisions ont mis à mal le système de santé :

4 389 lits d’hospitalisation fermés sur la seule année 2020.

« Les conséquences de la vaccination des plus jeunes sont plus qu’incertaines.

Les justifications scientifiques qui ont conduit le gouvernement à autoriser la vaccination des enfants de moins de 11 ans sont floues, alors que ces derniers ne sont pas sujets aux formes graves du virus et participent à l’immunité naturelle. »

Vingt sénateurs exigent du gouvernement qu'il mette fin au passe vaccinal.

Hans Lucas via AFP pour France  Soir

Si la mode est à l'intensification de la contrainte pour l'injection génique avec emploi du levier de la peur largement utilisé depuis des mois et des mois (la peur est un stress qui nuit gravement à l'efficacité du système immunitaire, tout le monde le sait), certains esprits libres résistent et nous donnent à voir de très belles prestations, à écouter absolument.

- Sur l'immunité naturelle, si puissante et si supérieure à l'immunité artificielle, un médecin généraliste et du sport, un médecin généraliste et immunologue, et un biologiste s'expriment. Passionnant et revigorant, un beau cadeau de fin d'année :

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/immunite-meyer-fuhrer-sonigo-mensah

- Médecin infectiologue et hygiéniste, le docteur Stéphane GAYET au CHU de Strasbourg confie que l'épidémie est une mine d'or pour les laboratoires pharmaceutiques et ce malgré que les traitements précoces soient très efficaces. Traitements précoces dont l'utilisation a été supprimée par les pouvoirs publics. Les informations livrées sont riches et libres de tout conflit d'intérêt (ce qui n'est pas le cas de nombreux médecins "de plateau").

https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/stephane-gayet-arnm-une-prouesse-technologique-inefficace

- "LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE" est un collectif de médecins, sans conflits d’intérêts, choqués par l’atteinte à la liberté de prescription et par la manipulation de la médecine à des fins liberticides, qui se bat pour diffuser les vraies informations. Le collectif a rédigé une lettre adressée en RAR à de nombreux représentants des pouvoirs publics (parlementaires ...). Cette lettre est une véritable synthèse des éléments à connaître pour comprendre les principaux tenants et aboutissants de la crise et pour ne pas se laisser "posséder".

https://stopcovid19.today/wp-content/uploads/2021/12/llmp-informations_covid19-Fr-2021-12-01.pdf

- "Afin d’enrayer le processus de vaccination en masse des enfants en bonne santé, 15 000 médecins et scientifiques dans le monde ont conjointement signé une déclaration visant à marquer leur opposition à une mesure qui ne repose selon eux sur aucune donnée scientifique. C’est pourquoi, lors d’un meeting en ligne organisé ce 12 décembre par le Global Covid Summit et the Unity Project, le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm, s'est exprimé en leur nom collectif dans l'optique de mettre en garde les parents au sujet de l’irréversibilité à vie des dommages que pourrait engendrer leur vaccination :"

https://www.francesoir.fr/politique-monde/robert-malone-plaidoyer-vaccination-enfants

- Les conflits d'intérêts se situent aussi au plus haut niveau de nos institutions, parfois même de manière indécente. On peut alors  comprendre la crise de mimétisme qui affecte les pays européens :

https://www.covidhub.ch/la-cheffe-de-lue-avec-le-boss-de-pfizer-un-calin-et-beaucoup-de-vaccins/

- N'oubliez pas REINFOCOVID qui produit des informations incontournables pour échapper aux fausses idées véhiculées par les médias subventionnés. Des études scientifiques sont en ligne concernant de nombreux thèmes (masques, confinement, vaccination, effets "secondaires", ...) et le jeudi soir, hors périodes de fin d'année, des scientifiques et médecins apportent leur point de vue richement documenté sur la situation (un vrai plaisir à chaque fois).

https://reinfocovid.fr/articles-scientifiques/

Enfin, il faut savoir qu'en France meurent chaque année 600 à 650 000 personnes, soit plus de 1 640 personnes par jour. Il faut donc relativiser systématiquement les chiffres annoncés pour répandre la peur dans les chaumières, en les rapprochant de cette réalité.

Très bonne fin d'année ! MC MONET

Hors des sentiers battus durant la pandémie de Covid

La défiance est bien réelle. "Nous n’avons pas assez de recul".  Les gens qui se font vacciner actuellement servent de cobayes.

Le corps médical n’y échappe pas. Si la plupart des soignants, en première ligne face à la Covid-19, ont bénéficié du vaccin en priorité, certains médecins ne cachent pas leur réticence.

Ces experts sont conscients que la vaccination nous a permis de lutter contre des maladies infectieuses graves et contagieuses par le passé. Elle reste essentielle pour se protéger et protéger son entourage.

"Je suis ‘pro vaccin’ de manière générale. J’ai d’ailleurs fait beaucoup plus de vaccin que la moyenne de la population : je suis vacciné contre la rage, la fièvre jaune, la méningite....

Or, concernant les vaccins contre la Covid-19, j’ai encore des réticences. Mais je ne me permettrais pas de vous le déconseiller. Je vous parle en mon nom propre", Pr Gayet.

Je ne souhaite pas être vacciné contre la Covid-19. Parce que nous n’avons pas assez de recul par rapport aux effets du vaccin et les gens qui se font vacciner actuellement servent de cobayes.

En général, la préparation d’un vaccin demande 10 ans et là, nous avons seulement 6 mois de recul : ce n’est pas suffisant pour juger de son efficacité, de ses inconvénients et de ses effets indésirables. Pour ma part, je n’ai pas de comorbidités, mais si cela avait été le cas, j’aurais le même raisonnement.

Mon choix n’a rien à voir avec les rebondissements liés au vaccin AstraZeneca.

Dès le déploiement de la campagne de vaccination, j’étais réticent. En outre, je ne parle pas seulement d’AstraZeneca. Si on consulte le rapport de l’ANSM, on observe pas mal d’effets indésirables. Pour Pfizer, on recense plus de 250 décès… sur 5 millions de vaccinés. Certes, à ce jour rien ne prouve que le vaccin soit lié, mais ce n’est pas un risque négligeable selon moi.

Dr Raymond Betzinger, médecin généraliste

La première raison, pour laquelle je n’ai pas souhaité me faire vacciner, c’est que je suis immunisé par la maladie. Comme la majorité des pathologies infectieuses virales, la Covid-19 est une maladie immunisante, quoi qu’on ait pu dire. Au même titre que la varicelle, les oreillons, la rougeole, la rubéole, l’hépatite A et tout un ensemble de maladies virales aigües et immunisantes. J’ai contracté la Covid-19 en avril 2020. Selon moi, je suis immunisé.

En outre, je suis relativement discipliné et je suis de façon rigoureuse les mesures de prévention, à savoir le port d’un masque efficace lorsque les circonstances se prêtent à la contamination. Ensuite je m’efforce de respecter les distances et je suis vigilant quant à la désinfection des mains. Donc si vous ajoutez le fait que je sois immunisé, au fait de respecter les trois mesures qui sont le masque, la distanciation et l’hygiène des mains, je considère que je suis à l’abri d’une contamination et que, par ailleurs, je ne suis pas dangereux pour les autres.

L’autre raison, c’est que ces vaccins, quoi qu’on s’en défende, ont quand même été fabriqués avec une précipitation et les essais de phase 3 [qui précèdent la commercialisation, ndlr] n’ont pas été complètement terminés. Cette étape a pour but de détecter les intolérances à moyen terme, qui n’apparaissent pas dans un cours délai.

Les vaccins contre la Covid-19 ne sont donc pas totalement sûrs. Par ailleurs, il y a toujours le risque d’impuretés relatif à la qualité de fabrication. Évidemment, on vous dira qu’on suit les procédures de fabrication, la traçabilité... Mais on sait très bien que lorsqu’on réalise des contrôles dans les laboratoires, on a parfois des surprises. Il y a toujours un risque d’impuretés dans les vaccins, lié au mode de fabrication.

Ce qui peut impliquer des effets indésirables graves.

Pr Stéphane Gayet, infectiologue, hygiéniste.

Vaccin : "j’encourage à la prudence les jeunes en âge de procréer"

À 50 ans, j’ai déjà contracté la Covid-19 à deux reprises. Une fois, cela a été très violent.

La raison pour laquelle je ne me suis pas faite vacciner, c’est parce que je ne souhaitais pas réactiver l’inflammation avec une vaccination trop proche de l’infection.

Il n’est en effet pas recommandé de vous faire vacciner pendant une infection, qu’il s’agisse du coronavirus ou d’une autre. Pour cette raison, je recommande aux personnes qui envisagent la vaccination de se faire tester la veille pour ne pas être porteur du virus au moment du vaccin,

ce qui est dangereux.

Ensuite, je suis réticente à la vaccination contre la Covid-19 car les vaccins sont très récents. Leur information génétique est expérimentale. Nous n’avons pas assez de recul sur les effets à moyens et longs termes. Je précise que je ne suis pas contre la vaccination de manière générale. Or, avec ce nouveau vaccin, j’estime qu’il faut rester prudent, notamment si on est jeune et qu’on ne présente pas de comorbidités. Le rapport bénéfice/risque doit avoir un bon équilibre. Je ne déconseille pas la vaccination aux personnes vulnérables : ces dernières doivent être protégées contre la Covid-19 à l’instant T. Or, j’encourage à la prudence les jeunes en âge de procréer et qui ont encore de nombreuses années à vivre. On ne sait pas réellement quels pourraient être les effets du vaccin dans 5 ou 10 ans.

On se retrouve face à un produit de santé qui n’est pas totalement validé.

Enfin, j’appelle les personnes vaccinées à rester confinées une semaine après l’injection pour la bonne et simple raison qu’elles auront tendance à être affaiblies.

Avant que les anticorps ne fassent leur travail, elles seront plus vulnérables face aux virus qu’elles croiseront, que ce soit la Covid-19 ou un autre.

Dr Céline Foster*, médecin généraliste

PALAISEAU BURES

FUIR LA REGION ?

PALAISEAU
BURES SUR YVETTE
palaiseau EHS
bures sur yvette EHS

-ON NE NAIT PAS EHS ON DEVIENT SENSIBLE AU BROUILLARD ELECTROMAGNETIQUE-

-LA MEDICATION COURANTE NE ME SOIGNE PAS- EXPLIQUENT LES PERSONNES AYANT PERDU LEUR TRAVAIL

procedure

POUR ALLER OU !

Procédures au Tribunal administratif contre les délibérations municipales « anti-Linky » :

les communes résistent


Varennes-sur-Seine (77) maintient sa délibération, Loubot (09) et Villepôt (44) prennent de nouvelles délibérations

 

Notons d'abord que, malgré l'affligeante campagne d'intimidation lancée par ErDF (appelé désormais Enedis) et les autorités, en particulier les Préfets sur ordre venu d' « en-haut », le nombre de communes prenant des délibérations contre les compteurs communicants continue imperturbablement de progresser : près de 200 au moment où ces lignes sont écrites.

C'est probablement pour cela que les autorités ont décidé de passer à la vitesse supérieure : alors qu'une seule procédure avait jusqu'alors été lancée en justice administrative par ErDF contre la délibération de Varennes-sur-Seine (Seine-et-Marne), deux procédures en référé (procédure d'urgence) viennent d'être lancées par des Préfets, contre les délibérations des communes de Loubaut (Ariège) et Villepôt (Loire-Atlantique), complétées par des procédures de la part d'ErDF.

 

Il est donc important de savoir et de faire savoir que :

 

- Varennes-sur-Seine maintient sa délibération ;

 

- Loubot, avant que l'audience ne se tienne, a retiré sa délibération... pour prendre illico une autre délibération « anti-Linky » plus solide juridiquement ;

 

- Villepôt, après l'annulation de sa délibération en référé, a immédiatement pris une autre délibération « anti-Linky » plus solide juridiquement (mise en ligne en début de semaine prochaine) ;

 

- Les pénalités de 4000 euros demandées par ErDF contre Loubot et Villepôt – de toute évidence pour effrayer les autres communes - ont été rejetées par les tribunaux administratifs.

 

Analyse de la situation

 

 

Étant donné le manque de moyens de la Justice, la procédure « ordinaire » d'ErDF contre la délibération de Varennes-sur-Seine va demander des mois, voire plus d'un an de patience pour savoir ce qu'il en sortira (contrairement à ce que veulent faire croire les autorités, le résultat est loin d'être acquis).

C'est bien sûr trop long pour les autorités qui veulent au plus vite étouffer la démocratie locale et la prétention de nombreux élus municipaux à s'occuper… de ce qui les regarde. D'où les deux procédures en référé contre Loubot et Villepôt.

De toute évidence, ces deux communes n'ont pas été choisie par hasard : leurs délibérations, quoique posant clairement la plupart des problèmes causés par les compteurs Linky, ne comprenaient pas une phrase comme :

« La municipalité demande au Syndicat Départemental d'Énergie d'intervenir immédiatement auprès d'ErDF (Enedis) pour lui signifier que les compteurs communicants ne doivent pas être installés dans la commune »

Or une telle mention est importante lorsque la commune a délégué sa compétence au Syndicat départemental d'énergie (or c'est le cas de la grande majorité des communes en France), et les délibérations qui ne comportent pas une telle mention ont plus de risque d'être annulées.

 

 

Rappels importants

Avant de lancer réellement une procédure au Tribunal administratif, ErDF et le Préfet envoient à la commune des « recours gracieux » en demandant le retrait de la délibération. C'est le déroulement normal de la procédure mais il s'agit aussi de tentatives d'intimidation. Or RIEN n'oblige la commune à obtempérer. Une rumeur mensongère est entretenue selon laquelle « les Préfets annulent les délibérations municipales », mais seule la Justice administrative peut annuler une délibération… ou d'ailleurs la valider.

Si une commune a reçu ces recours grâcieux, elle doit répondre – sans avoir besoin d'argumenter, c'est inutile à ce stade – qu'elle n'a pas la même appréciation que ErDF ou le Préfet (selon le cas) et qu'elle maintient sa délibération. Il est conseillé d'attendre deux mois avant de répondre (délais légal) car, dans quelques temps, la situation juridique pourrait être mieux cernée.

 

 

Conseils pour les communes

- si sa délibération est attaquée au Tribunal administratif, une commune qui n'a pas fait pas référence au Syndicat départemental d'énergie a intérêt à retirer sa délibération (ce qui a déjà pour effet d'éteindre les procédures) et à la remplacer par une autre contenant la phrase indiquée.

- toutes les communes sont invitées à porter leurs revendications dans le cadre de leur Syndicat départemental d'énergie. Ces Syndicats sont les émanations des communes, ils sont au service des municipalités et de l'intérêt général... et non d'intérêts industriels et commerciaux privés (objectif principal des programmes de compteurs communicants).

N'hésitez pas à nous contacter pour obtenir d'autres conseils : stephane.lhomme@wanadoo.fr

 

 

Conclusion provisoire

Le refus des compteurs communicants se développe dans tout le pays, et même l'industrie électrique européenne signale que ces compteurs sont inutiles ! Évidemment, nos « élites » industrielles et politiques croient toujours avoir raison, il faut donc continuer à leur résister car ces absurdes programmes de compteurs communicants seront bientôt dans une impasse.

 

Tenez-vous informés sur http://refus.linky.gazpar.free.fr

 

Stéphane Lhomme
Conseiller municipal
Saint-Macaire (33490)

polluelec

ECHANGES AVEC LES INTERVENANTS

TROIS JOURS AU FESTIVAL ZERO WASTE

zero waste
festival zero waste
festival zero waste blonde
aux normes citoyens

bienvenue dans l'hyperconnecté

eclaires

L'association des Citoyens éclairés ne désarme pas. Une délégation a déposé, hier, à l'UFC Que choisir de Lorient, un courrier faisant état de tous les problèmes posés par les compteurs Linky. Suite à un couac, elle n'a pu, en revanche, rencontrer le directeur. Ce n'est que partie remise ! 

Nouvelle action de l'association des Citoyens éclairés, qui compte 58 adhérents, hier, à Lorient. Mobilisée contre les compteurs Linky, une délégation s'est rendue, en début d'après-midi, à l'antenne de l'UFC Que choisir, à la maison des Familles, à Lorient. Objectif : alerter l'association de consommateurs et discuter des démarches éventuelles à engager.

Dépôt d'un courrier fleuve


« Aujourd'hui, les associations de consommateurs ne disent rien. Pour elles, tout va bien ! Il faut qu'elles reconnaissent qu'on est là et qu'on se bat contre les compteurs Linky. On fait les cobayes, sans rapports approfondis ! Il faut absolument prendre conscience de l'impact des ondes sur la santé, surtout sur les enfants. Nous allons donc déposer un courrier et rencontrer les permanents », a annoncé Danièle Bovin, la présidente du collectif. Malheureusement, suite à un couac et à l'absence du directeur, la rencontre n'a pu se tenir. Un nouveau rendez-vous devrait toutefois se tenir prochainement. La lettre, longue de cinq pages, a été confiée au service. Elle sera également adressée « aux élus morbihannais, au défenseur des droits, à l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), à l'Agence nationale pour l'information sur le logement (Anil) et aux différentes associations de consommateurs », prévient la responsable.

Témoignages à l'appui


Une discussion informelle s'est toutefois engagée, dans le couloir, avec un des bénévoles de l'UFC.

ARTE :

la perte de la confiance entraîne la faillite de l'humanité. Quand on fait de la politique il faut du temps pour la réflexion. Mène-t-on les bons combats. Les citoyens sont déçus du politique. Rester fidèle à soi-même est essentiel. Ni sagesse, ni sérénité, ni sincérité.

On ne permet plus aux gens de s' approprier leur propre identité. Nous entrons et nous n'entrons pas dans les mêmes fleuves. La révolution du moi où est passée cette dimension dans la pensée contemporaine.

paRe

nous ne voulons pas de compteurs polluants dans l'Ile de ré

ile de ré EHS
révolte à l'ile de ré
le mur EHS

Communiqué :

 

DIM 14 AOUT 2016 - SAINT MARTIN DE RE. - COMMUNAUTE DE COMMUNES :

 

des habitants de l’ile de Ré qui refusent l’installation du compteur Linky dans leur maison, excédés par les poses forcées, le harcèlement téléphonique de Solution 30, et la manière agressive des poseurs de Linky, interpellent la CDC (Communauté de Communes) en laissant des messages sur le mur de la CDC, 3 rue du Père Ignace à Saint Martin de Ré, appelant principalement au respect des refus.

 

Sur le mur, on peut notamment lire les messages suivants :

 

 ‘NOUS NE SOMMES PAS HABILITE A FORCER LES GENS QUI IN FINE NE VOUDRAIENT PAS DU COMPTEUR LINKY.’  ------ MR MONLOUBOU, PRESIDENT ENEDIS, 2 FEV2016 ASSEMBLEE NATIONALE -> CDC FAITES RESPECTER LES REFUS !

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CDC : Voilà l’état d’esprit des poseurs Linky et la relation client ? ENEDIS la honte !  et cela ne se passe pas qu’en Bretagne mais sur l’ile de Ré aussi.

 

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la santé des français a été vendue contre un marché de 8 milliards d’Euros

SENAT 9 JUILLET 2015

 

Senateur Charles Revet : Imposer Linky, c'est soumettre les Français à ses irradiations 24H/24. Cette exposition est pourtant officiellement reconnue comme potentiellement cancérigène depuis le 31 mai 2011 par le Centre international de recherche sur le cancer, qui dépend de l'Organisation mondiale de la santé. Un minimum de prudence impose de supprimer le caractère obligatoire de l'installation des compteurs dits « intelligents ».

 

SENATEUR Jean-Pierre Bosino : Il est indispensable que nul ne se voie imposer l'installation d'un tel compteur. Nous ne pouvons prendre à la légère la défiance d'une partie de nos concitoyens à l'égard de ce système de surveillance, puisque le compteur permettra de collecter un grand nombre de données et pourra déterminer si l'on est au bureau, en vacances ou chez soi, ce qu'on y fait et à quelle heure, car c'est aussi de cela qu'il s'agit. De plus, nous avons tous reçu de nombreuses demandes de personnes s'inquiétant des éventuels risques sanitaires.

 

SENATEUR Charles Revet : Tout à fait ! Et ils peuvent être graves !

 

SENATEUR Jean-Jacques Filleul : Il faut au contraire aller vers l'emploi le plus large du compteur Linky, d'autant que c'est une création française et que sa diffusion va faire tourner des usines. Il y a tout de même environ 8 milliards d'euros d'investissements à la clé !

 

CDC, exigez que ERDF-ENEDIS & CO respectent ceux qui refusent 

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CDC, faites respecter les refus !

Linky CPL, classé cancérigène possible par l’OMS et refuser un étude sanitaire, c’est une honte !

SENAT. Séance du 13 février 2015.

L'amendement n° 218  présenté par Mme Loisier, MM. Cadic, Guerriau et les membres du groupe Union des Démocrates et Indépendants - UC, est ainsi libellé :

 « La généralisation des dispositifs de comptage intelligent est conditionnée à la réalisation d’une étude préalable de l’Agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. Le rapport devra faire état des risques sanitaires éventuels que présente le déploiement de ces outils pour la population.

Mme Annick Billon. Cet amendement résulte du débat qui s’est tenu en commission des affaires économiques sur l’article 7 bis.

 

M. Ladislas Poniatowski, au nom de la commission des affaires économiques. La commission a émis un avis défavorable sur cet amendement, qui vise à remettre en cause les compteurs Linky. Il faut que vous sachiez, mes chers collègues, que l’installation de ces compteurs est bien avancée, plusieurs millions d’entre eux étant déjà en place.

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CDC, ENEDIS, Le Québec et les USA ont mis en place un système OPT OUT pour le smartgrid. Les habitants ont le choix. Nous voulons la même chose. Imposer de force un compteur émettant des radiations dans la maison n’est pas démocratique. Mr G. Les Portes

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Mr Le Maire de La Flotte et la CDC,

Où sont les tests sanitaires avant déploiement ?

Mr Le Maire de La Flotte avec mon avocat je vous tiens responsable de tous les problèmes qui sont à venir.

è Tribunal.

Mr F. R.  -  La Flotte

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CDC, victime de pose forcée, j’exige la re-installation de mon vieux compteur. G. Ste Marie

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CDC, ENEDIS, Prouvez-nous que Linky n’est pas nocif, faites faire des mesures par des experts indépendants.     G. Les Portes

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On m’a posé Linky ma pompe à chaleur est cassée juste après, qui va payer ? ERDF dit que c’est pas eux. Maryvonne La Couarde

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Ecologique, linky, vous voulez rire ? Economie d’énergie = zéro et le coût 7 milliards F. St Martin

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CDC 1. Protégez la santé de vos administrés / 2. Résistez à la pression des industriels / 3.demandez à Enedis des mesures par des experts indépendants /4.attendez le rapport de l’ANSES avant d’autoriser le déploiement /5.faites respecter les refus /6.dites à Solution30 de calmer leurs ‘cowboy’s, agression lors des poses forcées : pas sur l’ile de ré ! Mr A. Les Portes

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Linky CPL = ondes dans toute la maison

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Linky c’est non et ce sera toujours NON. D. Loix

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Chère CDC, merci de faire respecter les refus par SOLUTION 30 Mme A. Loix

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CDC : 236 maires on dit non, pourquoi pas vous ? Renée –rivedoux

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Linky est dans les normes.. mais les normes ne protègent pas (bah oui, elles sont définies par les industriels, on l’a vu avec le diesel’ o. La couarde

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Amiante, vache folle, sang contaminé, pollutions … et à présent Linky, combien de temps vous faudra t’il pour comprendre ? M.P. La Noue

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Depuis quand un service public force la porte des citoyens pour leur imposer un compteur dont ils ne veulent pas ? et par la menace en plus. Franchement, vous êtes sérieux là ? D. St Marie

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LINKY = AMIANTE, combien de morts dans 20 ans ? C. Le Bois

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Faites respecter les refus linky. STOP ! A. La couarde

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CDC agression par des poseurs LINKY = INADMISSIBLE ! mr R La Flotte

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Linky, je n’en veux pas PG. ST CLEMENT

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Linky trop de risques pour zéro avantage consommateur. G. St Martin de Ré

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Il n’est pas possible de tuer les gens qui n’ont rien demandé avec ce nouveau compteur qui est un vrai poison pour la santé. C. La Noue

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La Directive Européenne ne prévoyait pas l’usage de la violence pour la pose des Linky. L’Allemagne a refusé, le Québec et les USA offrent le droit de OPT OUT. Arrêtez lesposes forcées, Linky c’est douteux, ERDF-ENEDIS ne peut pas nous assurer de la non-nocivité. Elus, votre rôle est de protéger vos administrés. Faites respecter les refus ! Mr C. Le Bois

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Linky sans danger, Linky va nous faire faire des économies ? Vus nous prenez pour des jambons ou quoi ? S. St Clément

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La technique sans ethique ? C’est catastrophique !!! Non au compteur Linky. Mr R.P. La Couarde

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L’Anses a décidé le 8 juillet qu’il fallait réduire l’exposition des enfants aux ondes. Linky=ondes dans nos murs 24/24 ad vitam eternam. Et nos enfants alors ? Mme C. Rivedoux

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Elus locaux, votre rôle est de protéger vos administrés. Linky peut s’avérer dangereux pour la santé ! Principe de précaution. Mme C. Rivedoux

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A nos maires, Faites respecter les refus sinon je vous le garanti, il y aura un drame sur l’ile de ré. Les gens sont très en colère. D. Sainte Marie

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Madame Le Maire de Ste Marie, Nous vous avons élue, vous nous représentez, suite à votre déclaration, je vous demande d’intervenir fermement pour rappeler à ENEDIS et SOLUTION 30, l’obligation de respecter les refus des propriétaires et d’arrêter ces méthodes violentes et inconcevable en démocratie.. et de demander la repose immédiate des anciens compteurs des personnes qui se sont vues installées de force, comme a pu le faire le Maire de Biarritz la semaine dernière.. comptant sur votre intervention rapide dans ce sens envers ces 2 sociétés, Veuillez agréer, l’expression de mes salutations distinguées,

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ERDF-ENEDIS, menteur ou incompétent ? CPL = ondes, c’est le rapport ANFR qui le dit (quand on dit champs électro-magnétiques ce sont bien des ondes Mr Huot, si si)

contratedf
un compteur doit être conforme au contrat signé qui engage toutes les parties

Bonjour,

 

Nous ne cessons de le répéter un compteur doit être conforme au contrat signé qui engage les parties, toutes les parties.
ERDF oppose actuellement (depuis quelques jours dans sa communication) la clause des évolutions technologiques concernant les compteurs. Certes elle a raison, lors du changement des compteurs électromécaniques par des compteurs électroniques le consommateur ne pouvait s’y opposer, mais la marchandise délivrée était conforme au contrat, ce qui n’est pas le cas avec le Linky !

 

Dit autrement ERDF doit respecter les termes du contrat, TOUS LES TERMES DU CONTRAT !

 

Dans le cas contraire le consommateur a le droit de refuser toute modification unilatérale du contrat et en droit le juge ne pourra que lui donner raison !

 

MERCI DE DIFFUSER

 

Cordialement

Marie-Pierre

coleremaire

Madame, Monsieur,

vous pourrez prendre connaissance dans l'article ci-dessous de la stupéfaction et de la colère du Maire de Cast (Finistère) de se retrouver attaqué au Tribunal administratif par Enedis (ex-ErDF).

Pourtant, cette commune a prudemment opté pour un simple moratoire sur la pose des Linky mais, comme elle le fait systématiquement pour les 260 communes ayant pris position contre le compteurs communicants, Enedis attaque brutalement la commune et réclame 4000 euros de pénalités, de toute évidence pour "punir" ces élus qui osent prendre la défense de leurs administrés. (Note : à ce jour, les Tribunaux ont systématiquement refusé à Enedis les 4000 euros exigés).

Cette affaire illustre parfaitement le processus brutal qui se déroule actuellement un peu partout en France : au lieu de prendre acte du refus des compteurs communicants décidé démocratiquement par de nombreuses communes, et de proposer des solutions, l'Etat ne réagit que par la menace et les procédures en justice administrative (par le biais d'Enedis et des Préfets).

C'est la démocratie locale qui est en jeu : que l'on soit pour ou contre les compteurs communicants, il est urgent de défendre le droit des communes à se positionner sur un tel sujet qui concerne absolument tous les habitants. Les communes qui le souhaitent doivent pouvoir conserver les compteurs ordinaires.

Au lieu de s'aligner sur les ordres venus d' "en-haut", les structures nationales comme l'Association des maires de France (AMF) et la FNCCR, mais aussi les Syndicats départementaux d'énergie (SDE), doivent au contraire s'adresser à l'Etat pour prendre la défense de leurs communes adhérentes qui ne veulent pas des compteurs communicants.

Au Québec, les citoyens ont obtenu le droit de retrait, c'est à dire de pouvoir refuser les compteurs communicants et même de faire retirer ceux qui ont déjà été posés. Les Français doivent avoir les mêmes droits et pouvoir refuser les compteurs communicants, soit par décision municipale, soit par décision individuelle lorsque la commune ne s'oppose pas.

D'ailleurs, Enedis prétend que le taux de refus est faible, et la directive européenne ne demande que 80% de compteurs communicants, alors où est le problème ? Pourquoi vouloir par tous les moyens imposer ces compteurs à tous ? Cette façon de faire ne peut qu'aggraver le rejet grandissant des institutions par nos concitoyens.

Nous suggérons aux maires et élus communaux de s'adresser, si possible collectivement (par exemple les élus d'une même Communauté des communes, ou d'un même département, etc), aux instances (AMF, FNCCR, SDE, Préfets, Gouvernement) pour demander à ce que cette affaire de compteurs communicants soit enfin prise en compte démocratiquement.

 

Stéphane Lhomme
Conseiller municipal
Saint-Macaire (33490)
http://refus.linky.gazpar.free.fr

tabordeaux
dahger CPL Bordeaux
droit au refus
EHS refuse
cancérogènes stop
ondes radiatives

De plus en plus de collectifs. Action à BORDEAUX devant le Tribunal Administratif.

solidarite

Deux compteurs LINKY viennent de brûler dans le Tarn

Fait aggravant, l'alerte de surchauffe n'a pas fonctionné : la prétendue "intelligence" du Linky n'est pas au rendez-vous.

Cette fois, les conséquences ont par chance été limitées, mais il est évident que les maires seront mis en cause lorsque des drames se produiront, et ils se retrouveront seuls dans les prétoires : malgré leurs belles déclarations d'aujourd'hui, Enedis et les Syndicats départementaux d'énergie, appuyés par leurs cabinets d'avocats, auront de parfaits arguments juridiques pour se disculper...

 

De fait, comme tout récemment à SAINT-DENIS (110 000 hts) et AIX (140 000 hts), les maires ont toute latitude et tout intérêt à prendre des arrêtés interdisant le déploiement des compteurs Linky. Ces arrêtés peuvent éventuellement s'ajouter à une délibération "anti-Linky" déjà votée par le Conseil municipal (*).

 

 





(*) A ce sujet, il est important de savoir que la commune de Montferrand-du-Périgord a d'ores et déjà reçu en dons de solidarité BIEN PLUS que les 1200 euros qu'elle doit verser à Enedis suite à une détestable procédure au Tribunal administratif  en référé (les vrais jugements, sur le fond, sont pour dans environ un an, et personne  à ce jour ne peut prétendre que les délibérations municipales seront annulées).

La solidarité est plus forte que les intimidations d'Enedis et de ses complices. Les communes doivent résister.


Stéphane Lhomme
Conseiller municipal
http://refus.linky.gazpar.free.fr

Le lanceur d’alerte nancéien prend les devants. « On nous explique que cette consommation est réelle, que c’est notre ancien compteur qui sous facturait. dans ce cas je demande l’expertise de notre ancien compteur. Je demande aussi la révision de toutes les factures émises et le remplacement du compteur »lire

Durant quatre ans, ERDF et ses partenaires ont testé les « effacements » (baisse de fourniture à distance) sur des cobayes volontaires. Ils ont diminué le chauffage de 1° chez ceux-ci pendant une heure ou un quart d’heure, plusieurs fois par jour. Résultat : « Au moment du retour à la consigne de l’habitant, les radiateurs tournent à plein régime pour compenser la différence de température. L’appel de puissance du logement est alors 50 % plus élevé par rapport à un jour sans effacement. Ces mêmes radiateurs consomment aussi 40 à 60 % d’énergie supplémentaires dans les minutes qui suivent le changement d’instruction. Au total, ils utilisent autour de 95 % de l’énergie effacée dans les 24 heures après la fin de la procédure. »

lire le texte de PMO

Devenir en régression

Faut-il opposer le progrès et la santé ?

Quel sens attribuer à une telle question ?!

 la 5G : Massive MIMO (plusieurs antennes à la réception et à l’émission), nouvelles techniques de modulation et de focalisation du signal, agrégation de plusieurs bandes de fréquences.

generation ondes

Peut-on encore protéger nos données personnelles ?

Après Apple, Amazon et Samsung, Google a mis en vente cette semaine son assistant numérique, HOME.

Mais le fonctionnement de cette interface repose sur une importante-et inquiétante-récolte de données personnelles.

Alors, quels sont les enjeux de l’enregistrement par des objets connectés de nos données personnelles ?

Peut-on encore protéger notre vie privée et notre anonymat ? Et comment ?

La silicolonisation du monde

ERIC SADIN FRANCE CULTURE

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