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l'homme sera toujours enclin à défendre son droit à la liberté individuelle contre la volonté de la masse.../...c'est l'une des questions dont dépend le destin de l'humanité.../...

ce conflit est-il insoluble ? S.FREUD

Contre Flux

Cette page est consacrée aux contrecourants de pensée qui nécessairement s'inversent suivant les pouvoirs. Elle est à compulser.

Tous les écrits, toute l'expression orale devront être analysés aux regards de l'histoire, la littérature et la réflexion philosophique. Nos sociétés reposent sur des catégorisations, des simplifications, des opinions. Le pire serait de plonger dans les stéréotypes et ne pas souhaiter en sortir. A vous de juger. G.O

Éthique et politique de Covid-19

Voilà qu’un autre grand professeur [d’éthique médicale celui-ci] vient nous faire la leçon à propos de la réintégration des soignants non-vaccinés. C’est un dénommé Emmanuel Hirsch qui a évidemment tout mon respect vu son grand âge et ses multiples palmes académiques alors que moi, « pôvre » bougre, je n’ai rien de tout ça !

Peu importe ce que nous raconte notre subtile et précieux professeur en éthique médicale concernant la réintégration des soignants non-vaccinés ! Je constate simplement qu’on peut construire un remarquable édifice éthique sur des bases totalement fausses.

Si les fondations sont fragiles, l’édifice risque de s’effondrer au moindre sourcillement des plaques tectoniques sur lesquelles nous naviguons.

Notre bienheureux  appuie ses forts raisonnement sur deux idées fausses, surtout une qui est la suivante : l’Académie de médecine lui aurait soufflé dans l’oreille la remarquable efficacité de la vaccination antiCovid… Si je reste dans l’ambiance cléricale de mon début, mon commentaire est bref : « la messe est dite » !

Si notre saint homme se réfère à l’Académie de médecine et n’est donc pas capable d’une évaluation personnelle des études qui ont testé les vaccins antiCovid, rien ne peut le sauver : il ira en enfer car c’est un péché mortel pour les scientifiques sérieux !

Je ne l’explique pas à nouveau et maintenant mais c’est une évidence depuis le début de l’année 2021, on n’a pas démontré l’efficacité des vaccins antiCovid.

   On aurait pu ; mais on a fait semblant (j’ai appelé cela un « simulacre de science médicale »). Si on s’est cru obligé de faire semblant c’est qu’on savait déjà que ces vaccins n’étaient pas efficaces. Sinon, pourquoi ce simulacre ? Tout le monde n’est pas capable de lire « entre les lignes » et on peut pardonner à notre Emmanuel cette incapacité à analyser les articles de la presse professionnelle internationale.

Ce qui est impardonnable, c’est que ce même Emmanuel appuie sa critique de réintégrer les non-vaccinés sur un autre argument (son principal apparemment) qui serait que les non-vaccinés transmettraient le virus à des innocents. Selon lui, « empêcher les transmissions évitables (du virus)… est un impératif qui ne saurait tolérer la moindre négligence ». Parmi, les supposés experts en Covidie, Emmanuel Hirsch est donc un des derniers à ne pas savoir que la vaccination antiCovid n’empêche pas la transmission du virus. Même les plus féroces vaccinalistes admettent cette évidence et n’ont désormais pour seul argument que les vaccins protègeraient des formes graves.

Ce dernier point n’est pas démontré non plus et cette évidence explique sans doute les décisions de réintégration des non-vaccinés suggérées par la haute Autorité de Santé (HAS), décisions qui inquiètent tant les vaccinalistes.

Laissons Emmanuel Hirsch à son bréviaire et tournons nos regards vers un autre supposé expert, un certain épidémiologiste dénommé William Dab, professeur associé à l’Institut catholique de Paris.

Ce dernier écrit aussi dans le journal LE MONDE.

William semble avoir compris que les vaccins n’empêchaient pas la transmission ; mais (nul n’est parfait) revendique que ces « vaccins diminuent notablement le risque de formes graves… » et qu’il faut privilégier le principe constitutionnel de protection de la santé plutôt que le respect des libertés individuelles.

Ah, William ! Que de belles paroles que nul ne saurait moquer ! Mais d’où (de quoi et comment) tenez-vous que ces vaccins antiCovid protègent des formes graves ? Pouvez-vous citer l’essai clinique randomisé en double aveugle qui, pour l’un d’entre eux au moins, l’aurait démontré ? Je n’aurai pas de réponse évidemment ! Cela dit, nos deux compères respirant la psychologie de bréviaire apparaissent très modérés quand on lit un autre auteur de Tribune dans le LE MONDE, un certain Mathias Wargon, urgentiste quelque part dans la région parisienne. Selon notre héros, la réintégration des non-vaccinés serait une mesure démagogique et surtout « le texte de la HAS serait incompréhensible » … à ses neurones. Ce qui situe le niveau de complexité de ces mêmes neurones ! Certes et je me confesse, si on m’avait confié la responsabilité de rédiger le texte de la HAS, je n’aurais pas écrit ça. Docteur LORGERIL

Une voix pour les collectifs

En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire G.ORWELL

Plusieurs dizaines de milliers de soignants et autres professionnels de la santé, du social, du médico-social et des pompiers ont été privés d’emploi, de salaires et de droits sociaux pour le simple fait d’avoir refusé les injections covid. Ils ont donc préservé leur santé et exercé leur droit à l’inviolabilité du corps. Certains ont fui le pays, d’autres sont en reconversion, en retraite, sont dans une grande précarité, voire même se sont suicidés. D’autres ont obtenu des droits au chômage après plus d’un an de négociation… les syndicats les ont oubliés, certains partis politiques après les avoir défendus, puis s’être déchirés à leur propos ont trouvé d’autres combats à mener… la France (et son gouvernement) est resté un des derniers pays au monde, fin 2022, à refuser leur réintégration et cela alors même que la pénurie de soignants et de médecins est criante encore aujourd’hui dans les hôpitaux et dans nos territoires. Dans le même temps, le vaccin expérimental (à ARN messager) soulève de nombreuses interrogations et des contestations auprès des opinions publiques, comme auprès de certaines communautés scientifiques mondiales. Absence d’efficacité sur la transmission du virus, explosion des effets secondaires, dont certains mortels, inutilité et danger sur certains publics (enfants, femmes enceintes…). En réponse à tant d’injustice, la solidarité s’est amplifiée et des centaines de collectifs de « suspendus » se sont structurés, avec des leaders charismatiques, des porte-voix…

  • Frederika, 55 ans, trois ans d'études et trente-un ans au service de l'hôpital public.

Suspendue le 15 septembre 2021, sans salaire, je ne suis plus infirmière.

  • Pascale, 54 ans, deux enfants, infirmière, trente-deux années au service du Public, médaille du travail reçue le 9 septembre 2021 avec les honneurs, suspendue sans salaire la semaine suivante. Dans l'horreur.

  • Martine, 54 ans, infirmière, vingt-cinq ans d'ancienneté en service de psychiatrie  adulte, gréviste contre l'obligation vaccinale, sans salaire pendant quatre mois puis suspendue à la fin du préavis de grève, toujours sans salaire.

  • Christine, 62 ans, infirmière en secteur psychiatrique depuis plus de quarante ans. En arrêt de travail depuis fin septembre 2021 pour dépression en raison des situations sanitaire et professionnelle. Dûment vaccinée tout au long de sa carrière sauf pour le covid 19. Congédiée sans avoir pu dire au revoir, ni aux patients, ni à l'équipe.

  • Stéphanie, 47 ans, veuve, mère de trois adolescents, psychoclinicienne depuis 15 ans à l'hôpital public et en Ehpad, présente lors de la première vague, présente lors de la deuxième vague, présente lors de la troisième vague. Testée tous les trois jours durant un mois et demi. Présente au début de la quatrième vague, puis "coulée".

  • Sylvie, 54 ans, "infirmière depuis trente-trois ans, gréviste contre l'obligation vaccinale et contre le pass sanitaire, suspendue dans mes fonctions et suspendue dans ma vie".

  • Monique, 52 ans, deux enfants en études supérieures, agent administratif, vingt-neuf ans d'expérience dans la fonction publique. En télétravail de la première à la troisième vague, donc sans contacts avec les patients, suspendue le 15 septembre pour refus d'injection.

  • Caroline, 52 ans, psychologue, six ans d'études, vingt-huit ans de service en psychiatrie. Deux injections anti-covid, par "extorsion de consentement", refus de la troisième dose, mais pas suspendue parce que sauvée par la maladie covid 19.

  • Julien, cardiologue suspendu, " j’ai commencé  à noter les effets secondaires au niveau cardio-vasculaire et j’ai envoyé un mail au président du conseil de l’ordre départemental en lui notant dix-sept effets secondaires. Le covid 19 a continué à circuler dans les hôpitaux alors que le personnel est massivement vacciné. Donc si la maladie a continué à circuler, ce n’était pas à cause des gens qui n’étaient pas vacciné. Je vois ce qu’il se passe à l’hôpital en ce moment et je ne suis pas là pour les aider. Ils ont tous été contaminés quasiment. J’ai toujours prôné la vaccination mais là je suis considéré comme un « anti-vax » et selon certains je suis « complotiste » aussi. Probablement parce que je ne pose pas les bonnes questions".

  • Margaux, pompier, "notre confiance, notre engagement, notre consentement ont été bafoués. Nous ne pouvons plus nous taire, nous vous demandons d’entendre notre souffrance pour avoir été ainsi trahi et méprisé".

  • Sophie, journaliste, "l’absence est criante, je les interpelle, tous ceux qui regardent, où vous êtes, l’AFP, TF1, Libération, Le Monde ? Nous vous avons envoyé des communiqués de Presse, des sms, les médias ne sont pas justes, ne sont pas démocratiques, ne donnent pas la parole à tout le monde".  

Elsa Ruillère, "je suis un porte-voix,  représentante syndicale à la CGT de l'hôpital de Montélimar, suspendue du fait de l'obligation vaccinale. Le risque n'étant pas zéro, je n'ai pas voulu  me faire vacciner. J'ai eu le covid en mars 2020, je revenais de vacances avec ma fille et quand on est rentré, j'ai été malade pendant douze semaines. Aucune énergie, je bougeais avec difficulté et pourtant je suis rarement malade mais là, j'enchainais les pathologies, mal à l'oreille, mal à la gorge, tous les dix jours, on changeait de symptômes, pourtant, globalement j'allais bien. Pourquoi alors me vacciner avec un produit qui pourrait placer d'autres pathologies en exergue. J'ai estimé ne pas avoir besoin de ce vaccin. Le 15 septembre manifestation devant l'hôpital, on accompagnait des agents auprès de la direction. Début à 7 heures du matin,  puis les rendez-vous à 9 heures du matin. J'ai été suspendue pendant mon mandat syndical. J'étais en accompagnement d'une trentaine de personnes qui perdaient tout, à qui on signifiait leur mise en suspension avant même qu'ils aient terminé leurs horaires. Il y avait de la colère, de l'injustice, de l'incompréhension, de la détresse.  L'organisme Pôle Emploi ne sait pas gérer ce genre d'évènement, c'est un cas de figure qui n'existe pas. Puis j'ai été en arrêt maladie…/… On a fait des conférences pour informer. On a invité les médias, mais ils ne sont pas venu…/…actuellement ce serait pour moi difficile de retourner au travail, mon avocat a fait un recours, j’attends de passer au tribunal, c’est long et pesant. Je suis stupéfaite et outrée de la position du gouvernement, de ces politiques qui sont incapables de reconnaitre qu’ils se sont trompés.

Comment peut-on continuer à persévérer dans l’erreur comme cela et de manière aussi indigne. Cela veut dire que nous avons été traités de sous-citoyens. Je trouve cela tellement absurde, que cela me met en colère…/…certains ont touché le fond, je ne sais pas si je choisirai de retourner dans ce métier. Je pense que l’on ne peut pas rebondir sans accepter de se séparer de l’entreprise qui nous a suspendus. Cela fait au moins une décennie que notre système de soins est en souffrance. Que l’on soit à l’hôpital, en libéral, dans le public ou dans le privé, on essaye de faire face mais cette crise nous a obligés à penser à autre chose. Nos syndicats sont nés de cette nouvelle énergie. Se dire qu’il faut prendre les choses autrement. Etre dans la réflexion sur le système de soins".

Le syndicat « liberté santé », n’est pas un syndicat pour les suspendus, c’est un syndicat qui défend avant tout la profession. Il y a beaucoup d’initiatives locales ne serait-ce que pour la création de maisons de santé. Les gens viennent vers nous pour nous faire part de leurs expériences.

Cette crise qui a "charriée" la perte de l’état de droit particulièrement, c’est aussi celle qui a permis de prendre conscience qu’il fallait faire table rase et construire autre chose.../…

"Je n’ai jamais autant rencontré de collègues que depuis cette crise. Des rencontres riches, pour repenser le système de soins et également développer le côté humain".

Collectifs de France

Voilà que la prestigieuse institution, et contre l’avis d’institutions encore plus accablantes (Académie de Médecine, Fédération Hospitalière de France, Société de Pathologie Infectieuse de langue française), recommande le 31 Mars 2023 que l’obligation vaccinale antiCovid soit levée.

Peu importe les motivations de la HAS ! Peu importe les disputes !

Pourquoi suis-je si sévère avec les institutions citées ci-dessus (mais aussi avec bien d’autres épluchures d’experts) qui réclamaient le maintien de l’obligation ?

Une explication suffit !

Pour obliger quiconque à se laisser administrer un produit de santé contre son gré, il faut un requis minimal mais impératif !

Lequel ?

Il faut que nous ayons une claire démonstration que ce produit de santé est efficace biologiquement et utile socialement !

Faute de quoi, il est non moins impératif de s’abstenir, obligation ou pas !

Nous savons démontrer qu’un produit de santé, comme un vaccin, est efficace.

Nous connaissons les méthodes à appliquer et nous savons le faire !

Avons-nous une claire démonstration (avec les méthodologies requises)

que les vaccins antiCovid sont efficaces ?

Réponse négative !

La discussion s’arrête là.

J’ai apporté cette réponse en Mars 2021, dès le début des campagnes de vaccination,

dans le livre « Les vaccins à l’ère de la Covid-19 ».

Dans mon souvenir, personne n’est venu me dire que j’avais tort ou que j’avais moi-même commis quelques erreurs d’analyse.

Dans mon souvenir, aucun des rebelles en chocolat (c’est Pâques, le moment des cloches !) d’aujourd’hui et d’hier (le célébrissime Grand Savont de Marseille) ne m’a approuvé !

Où étaient-ils au moment de cette triste période ? C’était à ce moment-là qu’il fallait récriminer et se manifester joyeusement ! Je me sentais bien seul…

Peu importe. Je note qu’entre Mars 2021 et Mars 2023, il s’est passé deux ans, 24 mois !

Dit autrement, il aura fallu deux ans aux experts de la HAS pour analyser et comprendre le livre du Dr de Lorgeril.

Ce qui me confirme dans l’idée que les neurones (ceux des experts de la HAS et ceux des rebelles d’aujourd’hui) sont probablement contaminés par quelques substances nocives…

Jusqu’où iront les gouvernants et les autorités sanitaires ?

Vont-ils réintégrer les sceptiques de l’époque ? Vont-ils s’excuser ? Vont-ils les réhabiliter puisqu’ils ont eu raison deux ans avant les experts de la HAS ? Vont-ils compenser les pertes financières et les injustices commises ? Vont-ils intimer à ceux qui les ont harcelé et insulté de venir leur baiser les pieds ? Vont-ils nommer le Dr de Lorgeril à l’Académie de médecine ? Vont-ils condamner le Dr de Lorgeril à partager les lunchs des gérontes académiciens qui célèbrent les statines et les vaccins ? Terrible punition : côtoyer le Pr Buisson…

Michel de Lorgeril COVID-19, Epidémiologie et santé publique, Ethique et transparence, Statines, Vaccins essais cliniques, expert, prévention, santé publique

Une année folle… Délirante.

Faites-vous une réflexion et témoignez ou réfutez.

Regroupant une trentaine de témoignages des 2250 publiés, une petite poignée d’anonymes membres du collectif a bénévolement et humblement répondu, afin de créer ce lien si nécessaire à la Vie, à l’Espoir et à la Résilience.
Par la diversité des sujets abordés, par leur ton, par la personnalité de leur auteur, les témoignages sélectionnés pour le livre illustrent parfaitement l’année 2021. Un livre que nous dédions à tous nos « Témoignants ». Aux Résistants. A la génération future. Pour ne pas oublier…
Telle est la raison d’être de ce livre.

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La cour d'Appel de Paris a confirmé un jugement rendu par les prud'hommes : une infirmière et sophrologue non-vaccinée suspendue va être réintégrée, avec versement d'arriérés de salaire.

« Une première en France » affirme Tarek Koraitem, son avocat. Il a été estimé que l'employeur, à savoir l'Institut Curie, aurait dû « explorer l'ensemble des solutions possibles afin de poursuite du contrat de travail ». Cette jurisprudence est décisive car elle permet d'ouvrir la voie à de futures décisions de justice similaires.

Ahurissant, communication affligeante, censure, propagande
dans un pays comme la France…

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Ce graphique montre les diverses vagues depuis 3 ans et la petite flèche à droite montre que cette 9ème vague ressemble à la 8ème et s’assoupit déjà à partir du 18 décembre.

Ces alertes à répétition [je ne cite pas toutes les sommités, y compris des Ministres, qui s’expriment dans les médias à propos de tout et de rien sur la question sanitaire…] laissent penser qu’il se passe autre chose ; et que cette autre chose n’est pas dite.

Pas dite en France mais dite ailleurs (notamment aux USA) et de façon explicite.

De quoi s’agit-il ? Quelle est cette autre chose ?

Le document ci-dessous livre une réponse, probablement la principale : les populations se vaccinent moins et ont de moins en moins confiance dans le discours officiel sur les miracles de la vaccination.

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C’est un article important (dans une des plus respectables revues scientifiques, NATURE) car il vend la mèche, comme disent les artificiers.

En peu de mots, l’adhésion des populations (c’est vrai aux USA mais aussi en Europe, en France et en Chine) aux programmes de vaccination diminue de façon significative notamment chez les jeunes générations.

Attention, cela ne concerne pas que les « boosters » (rappels) de vaccination antiCOVID mais tous les vaccins, y compris ceux destinés aux nourrissons.

Cette « hésitation vaccinale » [comme ils disent désormais pour ne plus taxer sommairement les sceptiques de vulgaires antiVax ; ce qui traduit aussi quelque hésitation chez les proVax, peut-être…] est en marée montante et il est urgent d’affoler les populations  pour les ramener dans le droit chemin !

A force de mentir sournoisement, ils ont obtenu l’exact contraire de ce qu’ils voulaient !

Et je doute qu’avec ces nouvelles générations, les messages dans les médias conventionnels (TV et autres « canards » boiteux) puissent inverser la tendance.

Bon, laissons faire les choses sans autre commentaire.

Je vais toutefois illustrer cette question en « délivrant » quelques documents qui s’adressent aux professionnels avec cet argument splendide : comment devenir un grand avocat de la cause vaccinaliste universaliste et systématique ?

Je reproduis un document en deux fois : 1) le titre de ce média très officiel « parrainé » par l’industrie des vaccins ; 2) l’objectif avoué de cet article.

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Confidence en anglais veut dire « confiance » en français.

C’est confondant de naïveté !

D’abord apprendre à explorer la « perception » des familles vis-à-vis des programmes de vaccination [sous-entendu : ne pas « braquer » des personnes déjà très sceptiques] et ensuite (ce sont les dernières lignes) : comment procéder pour convaincre que la vaccination est utile ?

Laissons de côté ces niaiseries. Il n’y a qu’une seule façon de procéder avec la question vaccinale : dire la Vérité et respecter la Liberté de chacun !

Vérité et Liberté !

Que nous soyons à exiger ces évidences en 2023 en dit long sur l’état de nos sociétés et en dit beaucoup sur ce que les populations vont encore (longtemps ?) supporter !

Dire ce que nous savons et ce que nous ne savons pas. Quelle évidence !

Certes, il n’est pas facile de trouver une information crédible (fondée et documentée) ces jours-ci où règnent partout confusion et désinformation, idiotie et nihilisme !

Pour une information solide, je recommande la lecture urgente des livres de la Collection « vaccins & Société » ; le prochain numéro (le dixième) sera dans les librairies en Mars-Avril 2023.

Le titre : « Les vaccins des voyageurs » ! Cela m’a permis de résumer nos connaissances sur les principaux vaccins et d’expliquer les vaccins destinés aux zones tropicales et subtropicales.

Si vous vous sentez mal à l’aise avec la question des vaccins, il est temps de vous instruire !

La politique de santé. extraits

"tant que tout va bien" il n'y a pas d'interrogation.

Tant que l'on a résisté à la maladie ou  que l'on a résisté au vaccin, le monde vit dans la palinodie.

Pourtant,

la vaccination n'accorde pas la protection attendue contre les séquelles graves de la maladie.

 

Laissant (tout ceci) supposer donc qu’un nonvacciné est à risque de COVID-19, de même qu’un insuffisamment vacciné ; mais je laisse à chacun le soin d’en donner sa définition : 2, 3, 4 ou 5 doses ?

 

On ne sait pas qui sont (ou qui est) les (ou le) coupable(s) (nouveau mutant ?) mais quand même, allez-y !
Profitez-en pour vous faire injecter une dose de vaccin antigrippal, ça pourrait servir…

Le niveau scientifique de ces imprécations est lamentable et identique à ce qui nous a été servi depuis maintenant 3 ans. Ils n’ont pas progressé. Ce qui n’est pas étonnant vu le niveau de départ.

Certains diront que c’est justement parce qu’il y a eu des nouvelles vagues d’injections que ces 8ème et 9ème vagues se sont éteintes aussi vite.
C’est évidemment stupide [et digne d’un expert gouvernemental voire d’un Ministre]  et il y a peu les mêmes se plaignaient de la léthargie du peuple en réponse aux nouvelles injonctions…

Ce qui ne veut pas dire qu’il ne se passe rien : il y a encore des cas de COVID-19  et aussi des bronchiolites et aussi des grippes et encore des syndromes grippaux d’origines variées…

La crédibilité des gouvernants, des autorités sanitaires et des médias gagnerait beaucoup s’ils devenaient capables de suivre correctement un dossier sanitaire ; par exemple, en annonçant les reflux (descendants) des vagues épidémiques avec la même constance qu’ils annoncent les flux montants.

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Je traduis (en arrangeant un peu) : « La COVID-19 n’est plus une maladie des nonvaccinés. Je vous explique pourquoi. »

Je ne vais pas expliquer les explications de la journaliste, probablement très sympathique, mais un peu cucul comme la majorité des journalistes qui ont eu le droit de s’exprimer au cours des trois dernières années.

Pourquoi dit-elle cela ?

Parce que les évidences sont criantes.

Selon les données épidémiologiques américaines, les victimes de la COVID-19 sont actuellement presque tous vaccinées. Il y a pourtant des nonvaccinés : sur 350 millions d’américains, 267 millions se prétendent vaccinés peu ou prou. Il reste donc plus de 80 millions d’américains nonvaccinés qui sont indemnes et/ou protégés par autre chose que la vaccination.

Protégés par quoi ? Réponse : par leur système immunitaire bien sûr après avoir été exposé à l’un des virus, le virus initial ou un des mutants.

Inversement, un certain nombre de vaccinés ne semblent pas protégés.

Deux questions : 1) ces vaccinés n’ont pas été exposés aux virus ? 2) ces vaccinés n’ont pas répondu aux divers vaccins et boosters ?

Je n’ai pas de réponse évidemment car chaque cas est un cas particulier. Je note toutefois que les autorités américaines estiment qu’encore 1 américain sur 20 (environ 17 millions) n’aurait pas été exposé aux virus. Hum ! J’ai des doutes.

Peu importe. Face à ces évidences peu favorables à la vaccination (et qui s’ajoutent à bien d’autres évidences…), comment conclut la journaliste ?
Réponse : allez vous faire vacciner, une 4ème ou une 5ème dose. Vite !

C’est bizarre, j’aurais conclu différemment…
… mais je n’aurais pas été publié !

Car la principale leçon politique de la COVID se trouve précisément là :

la crise sanitaire a provoqué un rétablissement abrupt de la censure !

C’est au moment où nous avions le plus besoin de transparence et d’informations intelligentes que les gouvernants (les pro-poutines comme les anti-poutines) ont décidé une censure absolue dans les médias officiels et ensuite sur les réseaux sociaux qui, supposément havres de liberté, ont aussi censuré. J’en ai été moi-même victime sur YouTube ; mais si vous êtes malin vous pouvez me rejoindre ailleurs, deux fois par semaine désormais.

Dr LORGERIL

Lien adhérent : une expérience vécue.

/ https://genocides.over-blog.com /

Alors que la 9ème vague va decrescendo (graphique ci-dessous), comme prévu, on ne cesse d’alerter sur les immenses dangers que représentent les virus COVI-19

L'Art de la Paix ne fait que commencer

Le collectif Reinfocovid communique :

Reinfocovid a tenté, à sa petite mesure, depuis bientôt deux ans, de rétablir le dialogue avec des institutions vacillantes, sur des arguments scientifiques précis et sourcés. Le collectif a sans relâche rassemblé tous ceux qui voulaient questionner, comprendre et agir.

Que retiendra l'Histoire ? Reinfocovid a été un collectif non-violent, sans forme juridique, sans compte en banque, a-partisan, n'ayant jamais pris parti dans aucune lutte politicienne. Reinfocovid s'est organisé le plus qu'il pouvait en gouvernance partagée, utilisant autant que possible la communication non-violente. Tribu d'humains libres, Reinfocovid n'a eu aucun chef mais a passé son temps à patiemment tisser le lien. Les “Diplomates” de Reinfocovid, scientifiques et médecins, artistes et citoyens, ont été au service du collectif. Leur parole a su être toujours mesurée. Elle a recherché le dialogue et la paix, sans faire l'impasse sur la Science et ses Faits.

Le Collectif a œuvré à recueillir des témoignages de ce que notre société traversait. Il a coordonné artistes, citoyens, scientifiques, médecins, et chercheurs, d'abord pour fournir une information jamais prise en défaut, éclairant les enjeux sanitaires et systémiques de la crise du Covid, ensuite pour soigner notre société effilochée et malade.

L'énergie du Collectif a impulsé une dynamique créative, une mise en lien féconde, impliquant les citoyens et les soignants pour ré-informer autour d'eux sur le covid. Et très vite, les citoyens se sont investis, dans la joie, dépassant largement Reinfocovid, sur d'autres sujets de société et sur les alternatives au modèle en train de s'effondrer. Plus de 280 collectifs locaux nationaux, internationaux, et ultramarins ont vu le jour pour changer le monde. Cet élan ne peut plus s'arrêter !

Le CSI (Conseil Scientifique Indépendant), Reinfo Liberté, le Syndicat Liberté Santé, Le Collectif Santé Pédiatrique, Reinfo Santé, CoviSoins, la jeunesse pour la liberté, Une Nôtre Histoire, Une Nôtre Santé, Vivre l'Art, Street Act, Terrasse Sauvage, la Marche Fantastique, la Tournée Fantastique, Tous Résistants dans l'âme, Le Ciel a tout filmé, Citizen Light, Verity France, Où est mon cycle ?, Les Mamans Louves et les Papas Loups, Enfance et Libertés, France Soir, Kairos, le Média en 4-4-2, CovidHub, BonSens.org. Et combien d'autres encore ?... sont autant d'aventures essentielles qui ne font que commencer. Reinfocovid est fier d'avoir pu de quelque manière les accompagner ou les soutenir.

Nous sommes admiratifs et curieux de tout ce que ces collectifs accomplissent et vont encore accomplir. Reinfocovid a fait son temps. Comme toutes les avant-gardes, il doit disparaître et laisser la relève à la garde qui vient faire encore plus. Reinfocovid prend son envol, pour mieux laisser la place et l'énergie à tous ceux encore plus forts et plus beaux qui succèdent. Reinfocovid restera une page exemplaire et lumineuse de l'Histoire du Covid. Tous ceux qui y ont contribué en soient pour toujours remerciés et emplis de fierté.

Ne nous y trompons pas, face au déferlement totalitaire en marche, qui écrase tout dialogue et tout dissensus, plus que jamais c'est la voix d'une réflexion complexe, plurielle et pluridisciplinaire, qui doit être portée. Car la crise que nous subissons est bien plus qu'une triste infection. Les institutions, qui nous font vivre ensemble, se fragmentent une à une. La Résistance doit avoir mille visages, être trop vive, jaillissante, indomptable. C'est la voie de la Paix qui doit être recherchée, sans faiblir. Le combat ne s'arrête pas.

La censure sévit de plus en plus dans les universités québécoises.

Toute contestation du conformisme idéologique ambiant y est sévèrement châtiée. 

 

Après deux ans de mesures d’urgence extrêmes imposées lors de la crise covidienne, le sanitarisme y fait également des ravages en condamnant toute position qui remet en cause le discours prophylactique officiel. 

Les professeurs Patrick Provost et Nicolas Derome l’ont appris à leurs dépens.

Patrick Provost victime de l’érosion de la liberté académique.

Le biochimiste Patrick Provost a publié le 22 juin un article intitulé «Le véritable portrait de la Covid-19». Quelques jours plus tard, le 24 juin, Québecor retirait le texte du site de TVA Nouvelles ainsi que du Journal de Montréal et du Journal de Québec. 

Dans son article, le professeur brossait un tableau critique de la gestion de la Covid-19 au Québec et soulignait, sur la base des données officielles, que les mesures sévères décrétées par le gouvernement (vaccination massive, couvre-feu, passeport vaccinal…) étaient disproportionnées. 

Il y soutenait qu’elles étaient plus politiques que scientifiques et qu’elles s’avéraient socialement dommageables. Comme plusieurs autres spécialistes, il constatait que le taux de mortalité chez les jeunes était relativement bas et que les personnes les plus à risque étaient majoritairement les personnes âgées atteintes de comorbidité.

Patrick Provost est un scientifique reconnu qui peut être considéré sans conteste comme un expert dans son domaine.
Professeur titulaire au Département de microbiologie, d’infectiologie et d’immunologie de la Faculté de médecine de l’Université Laval, il dirige depuis une vingtaine d’années un laboratoire de recherche sur la biologie des ARN et il a publié un grand nombre d’articles dans des revues scientifiques.

En censurant le professeur Provost, Québecor a sciemment nui au débat en empêchant la population de connaître un point de vue différent sur la crise sanitaire afin d’éclairer sa réflexion. 

Ce genre de contrôle de l’information pratiqué par un conglomérat de médias de masse aussi puissant que Québecor est inquiétant pour la santé de la démocratie au Québec, car il nous rapproche des régimes dictatoriaux qui n’ont aucun scrupule à orienter et à restreindre l’information.

Un deuxième universitaire sanctionné

À la suite d’une plainte déposée en janvier par un professeur de la Faculté de médecine qui reprochait à son collègue de remettre en cause l’utilité de l’administration d’un vaccin ARN-messager contre la Covid-19 à l’ensemble des enfants de 5 à 11 ans, les autorités de l’Université Laval ont suspendu le 13 juin dernier pour huit semaines sans salaire le professeur Provost en l’accusant d’avoir manqué de rigueur, d’avoir fait preuve de partialité et d’avoir induit la population en erreur par ses propos sur la vaccination des enfants lors d’une conférence qu’il a prononcée en décembre 2021.

Pour les mêmes raisons, un autre professeur de l’Université Laval, le biologiste Nicolas Derome de la Faculté des sciences et génie, a été aussi l’objet d’une suspension de huit semaines sans salaire pour avoir soulevé publiquement à l’automne dernier de sérieux doutes sur les avantages de la vaccination contre la Covid-19 pour les enfants. 

Le professeur Derome est détenteur d’un doctorat en génétique des populations de l’Université Pierre et Marie Curie de Paris. De plus, il mène des recherches sur les interactions hôte-microbiotes-agents pathogènes afin de développer des stratégies de contrôle sanitaire d’agents pathogènes devenus résistants aux antibiotiques.

Un conformisme étouffant et contraire à la science.

Ces deux professeurs ont été sanctionnés parce qu’ils ont émis des avis qui s’opposent au discours sanitariste officiel. On peut déplorer que des journalistes favorisent les points de vue dominants qui sont en phase avec les positions de l’État québécois. 

Mais qu’une université censure et punisse des professeurs pour leurs idées est encore plus grave. Cela signifie que l’Université Laval n’accepte pas que leurs professeurs puissent exprimer des opinions divergentes, ce qui est pourtant nécessaire au développement des savoirs scientifiques.

Les administrateurs de l’Université Laval reprochent entre autres aux professeurs Provost et Derome de s’écarter d’un discours scientifique convenu sur l’efficacité des vaccins contre la Covid-19 et sur la nécessité de vacciner l’ensemble de la population. 

Pourtant, de nombreux scientifiques se sont distanciés des autorités de la santé publique et ont émis des réserves similaires à propos des décisions sanitaires prises depuis le début de la pandémie. 

Le développement des savoirs scientifiques, depuis René Descartes, est fondé sur le doute méthodique et sur l’obligation de toujours remettre en question les connaissances acquises. 

Dans le milieu scientifique, toutes les positions, même les plus insolites, doivent être considérées, parce qu’elles permettent de mieux appréhender la complexité de la réalité. Rien n’est fixé pour l’éternité dans le monde scientifique. Ce qui peut sembler impensable aujourd’hui peut devenir révolutionnaire demain.

L’Université Laval contre sa mission fondamentale.

La direction de l’Université Laval a erré en condamnant deux de ses professeurs, ce qui est d’autant plus regrettable qu’elle ne respecte pas sa propre politique sur la liberté universitaire. 

En effet, l’Université Laval s’est donné l’année dernière une nouvelle politique sur les libertés universitaires visant à protéger les activités de ses professeurs. 

En punissant les professeurs Provost et Derome pour leurs idées relatives à la gestion de la pandémie de Covid-19, la direction de l’Université Laval a donc outrepassé ses propres règles. 

Cette dernière n’ignore sans doute pas que la liberté universitaire constitue un des piliers de l’activité scientifique des professeurs. Il est essentiel pour les professeurs qu’ils puissent travailler librement sans risquer d’être l’objet de représailles de la part de leur institution, même s’ils s’éloignent des théories dominantes du moment. 

Les libertés de pensée et d’expression sont consubstantielles de l’esprit scientifique.

À l’évidence, l’Université Laval a sanctionné les professeurs Provost et Derome non pas au nom du savoir scientifique, mais bien plus pour préserver sa réputation aux yeux de ses bailleurs de fonds, les gouvernements fédéral et provincial qui se montrent très ombrageux face à toute critique de leur gestion de la crise covidienne.

Devant cet abus de pouvoir, devant cet autoritarisme arbitraire, devant cette atteinte grave à la liberté universitaire, nous exhortons tous et toutes nos collègues de la communauté universitaire du Québec comme du reste du Canada à dénoncer avec la plus grande vigueur la honteuse décision de la direction de l’Université Laval, ainsi qu’à l’inciter à lever ses injustes sanctions et à faire amende honorable.

 Claude Simard et Denis Jeffrey

professeurs de l’Université Laval.

La HAS la Haute Autorité de Santé  fut créée (en des temps immémoriaux) pour que ne surviennent plus des tragédies comme l’ignoble scandale du sang contaminé…Le principe basique du fonctionnement de cette prestigieuse Institution étatique [le ou la Président(e) est nommé(e) par le gouvernement sur des fondamentaux « obscurs »] est que ses recommandations doivent être basées sur les sciences médicales.

Dit autrement, chacune de ses prises de position doivent être fondées sur des données scientifique solides. C’est la moindre des choses si on veut susciter la confiance ! Par exemple, la HAS ne recommanderait jamais un médicament ou un produit de santé qui n’ait pas franchi tous les tests d’efficacité et d’innocuité exigés par la LOI pour n’importe quel produit de santé. J’avais été étonné (stupéfait) que la HAS ait autorisé la commercialisation des premiers vaccins antiCOVID tant leur évaluation [via des essais cliniques « commerciaux » conduits par des employés de industriels…  Hum !] avait été une négation des principes scientifiques basiques. Je l’ai raconté dans le livre "Les Vaccins à l’ère de la COVID-19" .

Je n’ y reviens pas ici. On pouvait toutefois essayer de trouver quelques excuses à nos experts de la HAS :
1) il y avait urgence, politiquement parlant ;
2) certes les essais cliniques les testant étaient ridicules (sur le plan scientifique) mais on avait quand même fait semblant et quelques informations pouvaient être extraites de ces simagrées. Les vaccins bivalents sont les nouveaux vaccins antiCOVID fabriqués dans la précipitation et visant à neutraliser les derniers variants de la famille Omicron, famille de virus dont nul ne conteste la grande bienveillance vis-à-vis des humains, par comparaison avec d’autres familles…. Je n’entre pas dans les détails ; mais je note une chose : ces vaccins bivalents vont être administrés à des millions de pauvres gens sans qu’ils aient été au préalable testés sur des volontaires pour vérifier leur efficacité et leur innocuité. Vous ne me croyez pas ? Je vous invite à consulter le dernier message que
la HAS a mis en ligne (cliquer ici) :
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3368002/fr/covid-19-la-has-integre-les-vaccins-bivalents-dans-la-strategie-de-vaccination-pour-l-automne.

Pour ceux qui n’aiment pas « visiter » les sites de ce type, je mets quelques extraits ci-dessous. Commençons par le titre de cette splendide œuvre d’art.

 

C’est pour l’automne et ces vaccins sont, selon les industriels, mis au point et fabriqués depuis plusieurs semaines. On avait donc le temps de procéder à quelque vérifications… La suite vaut la peine.

 

On apprend ainsi qu’il y a trois nouveaux vaccins bivalents et qu’on peut indifféremment les injecter. Bizarre ! Les nouveaux variants sont différents les uns des autres, les vaccins n’ont pas la même composition mais on peut les utiliser indifféremment ?
Et pourquoi pas quelques antigènes des vaccins contre la grippe par la même occasion ?
Il pourrait y avoir des interactions ? Peut-être, peut-être pas… On ne sait pas. Peu importe, injectons ! On se croirait revenu aux temps où on injectait ainsi des produits sanguins aux hémophiles en toute innocence… Argument imparable : ils ont été validés par l’Agence Européenne du Médicament… dont les experts sont d’une incommensurable faiblesse et généralement liés aux industriels…
Continuons notre tour de piste.

 

Vous avez bien lu : nous n’avons que des données dites « expérimentales » [autrement dit, rien de sérieux] et on va jouer « à quitte ou double » avec des millions de personnes fragiles.
Dit autrement, ça passe ou ça casse ! Rarement dans l’Histoire de la médecine moderne nous avons eu affaire à de telles contrefaçons des sciences médicales. Et personne ne dit rien !
Voyons la suite.

 

 

 

 

 



Extraordinaire : sans le moindre essai clinique, on nous affirme que l’efficacité et la tolérance de ces vaccins bivalents sont identiques (ou au moins équivalentes… Hum !) à celles des vaccins précédents. Cela suscite de multiples questions évidemment, par exemple et pour faire court :
1) d’où vient cette « identité en efficacité » ? Pure invention ?
2) si les nouveaux sont plus ou moins identiques aux anciens, pourquoi des nouveaux ?
3) d’où vient cette « identité en tolérance » ?  Rien de sérieux ne peut « supporter » ces affirmations gratuites ! Ce simulacre de sciences médicales donne la nausée… Mais je m’inquiète : à quoi servent les scientifiques ? Apparemment, on n’en n’a plus besoin !
On pourrait s’en débarrasser. Trop gênants ! Je me sens menacé… Finissons-en.

 

Et voilà, vous avez tout compris. Toutes ces âneries ont été écrites par des « attachés de presse » ; et ce sont ces « attachés de presse » qui ont la charge de transmettre les informations, décisions et recommandations de la HAS…
Le peuple est bien informé ; il peut dormir tanquille ! Il y a évidemment quelques « pointures » médicales et/ou administratives derrière ces textes et « décisions » mais aucun scientifique, c’est certain ! Ou plutôt, il n’y a aucun scientifique sérieux derrière ce texte ; aucun n’oserait… Docteur LORGERIL Les Vaccins à l’ère de la COVID-19 études du principe de vaccination.

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Message du Général Christian Blanchon rendant hommage aux non-vaccinés
10 septembre 2022
Le général Blanchon était adjoint du gouverneur militaire de Metz.

Ils sont là, à vos côtés, ils semblent normaux, mais ce sont des super-héros.

Même si j’étais entièrement vacciné, j’admirerais les non-vaccinés pour avoir résisté à la plus grande pression que j’ai jamais vue, y compris de la part de conjoints, de parents, d’enfants, d’amis, de collègues et de médecins.

Les personnes qui ont été capables d’une telle personnalité, d’un tel courage et d’une telle capacité critique incarnent sans aucun doute le meilleur de l’humanité.
On en retrouve partout, dans tous les âges, niveaux d’éducation, pays et opinions.

Ils sont d’un genre particulier ; ce sont les soldats que toute armée de lumière souhaite avoir dans ses rangs.
Ils sont les parents que tout enfant souhaite avoir et les enfants que tout parent rêve d’avoir.
Ce sont des êtres au-dessus de la moyenne de leurs sociétés, ils sont l’essence des peuples qui ont construit toutes les cultures et conquis les horizons.

Ils sont là, à vos côtés, ils semblent normaux, mais ce sont des super-héros.
Ils ont fait ce que les autres ne pouvaient pas faire, ils ont été l’arbre qui a résisté à l’ouragan des insultes, de la discrimination et de l’exclusion sociale.

Et ils l’ont fait parce qu’ils pensaient être seuls et croyaient être seuls.
Exclus des tables de Noël de leurs familles, ils n’ont jamais rien vu d’aussi cruel. Ils ont perdu leur emploi, ils ont laissé leur carrière sombrer, ils n’avaient plus d’argent… mais ils s’en fichaient. Ils ont subi d’incommensurables discriminations, dénonciations, trahisons et humiliations… mais ils ont continué.

Jamais auparavant dans l’humanité il n’y a eu un tel « casting », nous savons maintenant qui sont les résistants sur la planète Terre.
Des femmes, des hommes, des vieux, des jeunes, des riches, des pauvres, de toutes races et de toutes religions, des non vaccinés, les élus de l’arche invisible, les seuls qui ont réussi à résister quand tout s’est effondré.

C’est vous, vous avez passé un test inimaginable que beaucoup des marines, commandos, bérets verts, astronautes et génies les plus coriaces n’ont pu surmonter.
Vous êtes fait de l’étoffe des plus grands qui aient jamais vécu, ces héros nés parmi les hommes ordinaires qui brillent dans l’obscurité.

OPECST audition publique de clôture de ses travaux
sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19

Le 24 mai dernier 2022, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) tenait une audition publique de clôture de ses travaux « sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance ». Et son rapport a été rendu public le 9 juin. Derrière l’apparente publicité des débats, l’Office a en réalité rendu invisibles certaines interventions portant sur les effets secondaires des vaccins contre le covid-19.

« Pourquoi l’Office parlementaire qui enquête sur les effets secondaires des vaccins Covid ne rend-il pas publics tous ses débats ? » Une tribune signée par plus de 850 professionnels de la recherche, de la santé et du droit. LIRE

Audition au Parlement Européen, septembre 2022

La commission répond à ma question en disant qu’il n’existe pas d’estimation spécifique du rapport bénéfice/risque pour les enfants et adolescents à l’échelle de l’UE.  Aucune réponse et aucune promesse de publication de données réelles d’efficacité. On ne donne que des études cliniques de 2021 et sans rapport avec les chiffres cités dans la réponse.  Cette semaine retour de la commission qui comporte la directrice générale de la santé, trois ministres de la santé, de la Finlande de la Roumanie et de la Belgique. Sandra GALLINA Directrice de la commission explique que nous voulons avoir un calendrier de livraison des vaccins, parce que nous nous sommes « fait avoir » la première fois. On tombe des nues au vu de tant de manque de compétences sur un tel sujet. Elle explique que nous n’étions pas préparés à la pandémie. Même aujourd’hui, le CDC travaille « manuellement » avec les données. On nous dit qu’à la rentrée il y aurait une nouvelle pandémie. Concernant le coût de quinze euros qui avait été négocié au départ on est passé à dix-neuf euros cinquante.  Globalement Madame GALLINA reste convaincue que les vaccins sont efficaces, qu’ils ont sauvé 20 millions de personnes et que se faire vacciner cela reste un choix. Il est prévu de faire le mélange grippe et covid dans un vaccin. Ils ont déjà le vaccin pour la prochaine pandémie. L’EMA l’a autorisé et se félicite d’avoir le vaccin pour le variant Omicron alors que l’on sait très bien que l’histoire du variant Omicron est terminée. Le CDC est déjà sur une stratégie du long terme, jusqu’en 2032. Le ministre belge, sur la question des contrats, explique qu’il était très mal à l’aise par rapport au prix qu’ils ont du payer pour les anti-viraux au vu des preuves limitées de leur valeur covid. Il y a trop de commandes, il faut gérer les stocks. Concernant la vaccination des soignants le ministre belge affirme qu’il existe un cadre juridique sans qu’il y ait une vaccination obligatoire en Belgique. Sur la sécurité des vaccins il nous a expliqué que des milliards de personnes ont été injectées, que ce ne sont pas des essais cliniques, mais on ne sait pas concrètement si les avantages dépassent les risques. D’autres recherches de solutions sont toujours en cours, mais la solution du vaccin reste la seule réponse. Ce qui est regrettable c’est que l’on reste encore dans la stratégie du tout vaccin et que dès que l’on essaye de poser des questions à ce sujet il n’y a pas de réponse claire.  Les ministres belge et roumain nous ont dit que plus aucun pays pauvre n’acceptait les livraisons et on a du jeter huit millions de doses.

Le ministre roumain a clairement dit que, le vaccin n’était pas si efficace que cela. En Roumanie 42% des personnes ont reçu deux doses et en France environ 70% de personnes. Il y a peu de différences en nombre de morts dans ces deux pays.  Selon les chiffres d’août 2022 du centre européen du contrôle des maladies infectieuses, le taux de mortalité est environ 40% supérieur en France. Donc pourquoi le taux de mortalité est plus faible en Roumanie qu’en France ? Pas de réponse. D’autres chiffres ont alors été avancés.

Un nouveau vaccin espagnol est venu sur le marché mais le marché roumain n’a pas souhaité participer à ce marché public, pourquoi ? Pas de réponse du ministre roumain.

Cette commission spéciale va continuer ses travaux et présentera de nouveaux rapports.

 V.JORON Députée, membre de la commission Covid.

Manifeste pour la préservation de la santé mentale de chaque citoyen
Collectif de Psys, spécialistes de la santé mentale


Nous, psychiatres, psychologues et psychothérapeutes d’orientations thérapeutiques
multiples et complémentaires, sur le territoire français, nous nous interrogeons sur la situation
politico-sanitaire actuelle.
Nos métiers sont fondés sur une déontologie et une éthique du soin qui entendent promouvoir,
préserver et restaurer la liberté du sujet sous toutes ses formes : autonomie, libre-arbitre,
liberté de penser, liberté de disposer de son corps, liberté de choisir pour soi-même, respect de son intégrité physique et psychique. La liberté est le coeur vivant et celle de notre pratique.
Or, sur le terrain, depuis février 2020, nous constatons que :
- D’une part, nous assistons aujourd’hui à un accroissement inédit de demandes d’aide de nos concitoyens en grande souffrance psychique et somatique (déclenchement de troubles ou aggravation de troubles préexistants).
- D’autre part, nous observons chez nos patients les effets dramatiques et mortifères directement liés aux mesures gouvernementales prises, sans réel fondement scientifique ou médical.

Mesures contradictoires avec des injonctions qui fracturent et défigurent profondément la société dans son ensemble, en détruisant méthodiquement les liens humains les plus intimes et les repères symboliques de notre vie sociale. Une nouvelle ligne a été franchie avec le projet de loi du 

« passesanitaire », qui prévoit la ségrégation pure et simple des citoyens sur la base de leur statut sérologique et la destruction de la confidentialité des données de santé qui stigmatisent.
Nous le constatons à travers des prises de décisions contradictoires, des mensonges, des injonctions… sans possibilité pour certains, d’exercer leur sens critique. Ainsi, en réaction à cette situation anormale, nous avons pu observer le développement de tableaux cliniques suivants : anxiété, angoisse, stress post traumatique, psycho-traumatismes, somatisation, épuisement psychique, dépression, burn-out, tentatives de suicide et suicides, syndromes abandonniques évoluant vers un syndrome de glissement psychique et physique allant jusqu’à la mort et ce, chez des personnes de tout âge (liste non exhaustive).
LIRE

à lire sous le titre "HÔPITAL "ce que l'on ne vous a jamais dit""

 

Ce qui m'a le plus marqué ces dernières années, c'est d'abord le confinement et ensuite le "pass vaccinal". Des mesures qui pour moi étaient inimaginables au XXI° siècle, des mesures alimentées surtout par la peur, des mesures qui n'ont pas permis de juguler l'épidémie, des mesures qui ont fait beaucoup de dégâts et qui ont été une immense gabegie d'argent public. Avec  le recul, je ne suis finalement qu'à moitié étonné que le gouvernement ait pris ces mesures. On a plutôt l'habitude d'avoir des mesures discutables et couteuses, mais ce qui m'a le plus choqué, c'est qu'autant de gens adhèrent et en particulier les médecins que ce soit ceux du Conseil Scientifique ou ceux que l'on a vu dans les médias.  Que des médecins valident et parfois poussent pour que ces mesures soient mises en place, m'a beaucoup heurté. Les médecins auraient du avoir la clairvoyance de prévoir que les confinements allaient faire des dégâts sociaux et sanitaires très importants. Ils auraient du s'opposer au "pass sanitaire" qui est anti-déontologique. Je suis surpris qu'ils n'aient pas été davantage opposés, critiques, sur ces mesures liberticides et inefficaces. Quand on fait le bilan du confinement, ou du "pass sanitaire", ils ne sont pas bons. Que les politiques aient été contraints dans l'urgence de prendre ces mesures cela ne m'étonne qu'à moitié, mais que beaucoup de mes collègues médecins aient poussé pour que ces mesures soient prises, c'est ce qui m'a le plus marqué.

Que des médecins aient des liens avec des laboratoires pharmaceutiques, c'est tout-à-fait possible, je n'en ai pas personnellement.  Il se dit que certains médecins ont des conflits d'intérêts, peut-être que ceci explique cela. En tous cas je pense qu'ils n'ont pas été clairvoyants. Il n'aurait pas fallu exclure le personnel soignant non-vacciné, surtout que l'on est en pénurie de personnel depuis bien longtemps. Je suis favorable à ce qu'on les réintègre et on finira par le faire, mais je ne pense pas que beaucoup reviendront. Beaucoup ont changé de métier, cette situation a été vécue pour eux comme une humiliation. D'autres sont partis à l'Etranger, en Suisse, au Luxembourg, au Canada, en Belgique, car on y est beaucoup plus accueillant.

Les conditions d'exercice y sont plus favorables et il n'y a pas forcément eu de "pass vaccinal". On a donc eu en France une hémorragie de soignants et malheureusement on ne les rattrapera pas tous. J'adhère aux recommandations de la HAD mais je ne suis plus d'accord, quand cela devient une obligation.

Pour accéder à l'hôpital il faut toujours un"pass" ce qui me paraît disproportionné puisque nous n'avons plus de forme grave de covid. Et ce d'autant plus que l'on sait que les frais liés aux ressources humaines pour contrôler les "pass sanitaire" à l'hôpital, s'élèvent à soixante millions d'euros par mois et pourtant on en a besoin pour d'autres investissements. D'autre part l'hôpital est pratiquement le seul endroit où tout le monde doit porter le masque, je le déplore pour une raison simple, c'est que le virus circule moins. Aujourd'hui la plupart des gens sont asymptomatiques ou simplement enrhumés.

Plus grave encore, si l'hôpital était au bord du précipice il y a quelques années, il est maintenant dans le précipice. Beaucoup de services ferment, un peu partout en France. Exemple à Cochin, le service d'Urologie a toujours 30% de ses salles d'opérations fermées.  Chaque semaine on reporte les rendez-vous des patients. Et cela n'a plus rien à voir avec un problème épidémique. Cela fait longtemps que la France est un énorme désert médical mais là ça s'est creusé. On a perdu nos soignants, c'est pathétique. Jusque dans les années 2000 le système de santé français était considéré comme le meilleur au monde, cela fait des années maintenant que les gens qui nous dirigent mettent la poussière sous le tapis. Finalement la période que l'on vit à un mérite, puisqu'elle met au jour, elle révèle au grand public, le fait que le système de santé français est brisé. La France dépense beaucoup pour la santé, 11.3% du PIB, mais le problème que l'on a c'est que les moyens sont mal affectés. En France on a une sur-administration.

Une technostructure extrêmement lourde, très coûteuse.  Une vingtaine d'agences nationales de santé,  18 agences régionales de santé, des groupes hospitaliers de territoires, des CPTS où beaucoup d'argent s'en va.

Pour les lits des malades ou les cabinets des médecins, on n'a plus rien. Deux tiers des passages aux urgences ne sont jamais payés par les patients.  La Sécurité Sociale est devenue un puit sans fond.

L'hôpital fait partie des endroits où la bureaucratie s'est installée. Nos infirmières passent trois ou quatre heures par jour devant des écrans au motif qu'il faut de la traçabilité, que toutes les consignes soient inscrites, etc et finalement elles n'exercent plus leur métier. La politique de Santé aujourd'hui est pratiquement inexistante. Il faut revaloriser les soignants, rendre de la liberté aux médecins, aux infirmières. On flatte les électeurs sans tenir compte de l'intérêt général. Ceux qui nous dirigent ont tellement peur de l'opinion publique, qu'ils prennent des décisions souvent démagogiques sans aller à la racine des problèmes.

Ils ne traitent que les  conséquences.

Professeur  M. PEYROMAURE

La médecine des vaccins n’est pas scientifique  Entretien avec le Docteur M de Lorgeril chercheur au CNRS

Extraits

Dans cet entretien approfondi, le Dr Michel de Lorgeril explique pourquoi et en quoi la médecine actuelle des vaccins relève davantage de l’idéologie (on affirme un dogme de façon intangible) que de la recherche scientifique (où l’on doit administrer en toute transparence la preuve de ses affirmations). Il discute en détails la question de l’efficacité comme celle de la toxicité des vaccins au regard des méthodes utilisées dans l’industrie.

Il montre notamment l’importance de la méthode (souvent mal comprise) de l’essai randomisé en double aveugle ainsi que de la notion de « concordance épidémique » pour vérifier historiquement le postulat de l’éradication de certaines maladies grâce aux campagnes de vaccination de masse. Il revient également sur la question de l’influence délétère des politiques et des médias dans l’imposition de ce dogme.

"Pendant très longtemps (jusque dans les années 1980 en Europe et en Amérique du Nord), beaucoup de maladies cardiovasculaires avaient une origine infectieuse et tout bon cardiologue devait connaître ces pathologies : streptocoques variés, complications valvulaires cardiaques du rhumatisme articulaire aigu (RAA), maladie d’Osler, cardiomyopathies variées… Comme scientifique et clinicien ayant travaillé dans trois pays différents, j’avais l’obligation d’une certaine expertise dans ces domaines désormais inconnus des cardiologues conventionnels. Enfin, concernant les vaccins spécifiquement, c’est la loi d’obligation vaccinale pour les nourrissons du 30 décembre 2017 (et en réponse à des associations et des familles qui me demandaient un avis scientifique) qui m’a poussé à investiguer ces questions. C’était donc au départ pour rendre service et tenter de comprendre. J’ai alors découvert l’ampleur du désastre et j’ai cru indispensable de donner l’alerte. D’où les 9 livres sur les vaccins publiés à ce jour. En attendant le numéro 10, déjà écrit et en préparation chez mon éditeur. Ce sera une sorte de synthèse des livres précédents…/… Nous le constatons aujourd’hui : avec la COVID-19, toutes les barrières éthiques et tout ce qui découle du principe de précaution ont explosé. Et on voit désormais apparaître des projets de manipulation génétique (chez les humains) dans d’autres spécialités, notamment en cardiologie. On peut penser que de nombreuses maladies, y compris non infectieuses, vont faire l’objet de combinaisons de génétique et d’immunothérapie et évidemment de vaccinothérapie. On croit ainsi pouvoir vacciner contre toutes les maladies. Certains ont même proposé des vaccins anticholestérol…Nous sommes entrés dans une ère de folie biologique et aucun obstacle, visible à ce jour, ne semble pouvoir s’y opposer…/… soyons clairs : la médecine des vaccins n’est pas une médecine scientifique, il n’y a pas d’enseignement sérieux de vaccinologie dans les facultés de médecine et il y a très peu de laboratoires de recherche indépendants de l’industrie. Pour le pouvoir académique contemporain et les autorités sanitaires et scientifiques (qui créent les unités de recherche et distribuent les budgets), les vaccins sont fondamentalement du ressort de l’industrie et non de la recherche publique. Des institutions, comme l’INSERM en France, ont essayé de promouvoir cette « nouvelle » médecine des vaccins au 21ème siècle. Mais c’était surtout – sous couvert d’une supposée « collaboration » avec les industriels – une façon de générer des budgets en sous-louant des locaux et des techniciens à l’industrie. En tous les cas, jusqu’à la COVID-19, les retombées commerciales pour les uns et les autres étaient encore relativement faibles. Avec le prétendu « miracle » des vaccins anti-COVID tout a changé, et va certainement encore plus changer tant les industriels (et les instituts de recherche) sont fascinés par les énormes profits générés…/… les industriels et les autorités sanitaires ont été aidés par des médias consentants à la censure et par de supposés « experts » se relayant en permanence sur les plateaux TV. Enfin, il ne faut pas négliger les effets pervers de la naïveté (réelle ou feinte parfois) de la plupart des infectiologues et virologues universitaires, que ce soit à Paris, Marseille, Londres ou New York…/…Il y a de nos jours un consensus chez les scientifiques et les administrations sanitaires concernant la façon de tester les produits de santé. Une autorisation de mise sur le marché (AMM) d’un produit de santé n’est possible que s’il a fait l’objet d’un essai clinique randomisé en double aveugle [ECRDA] ayant fait démonstration de l’efficacité de ce produit. On vérifie aussi son innocuité (généralement relative) afin d’établir un rapport bénéfice/toxicité pour aider à la pratique des médecins. Mais l’ECRDA n’est pas spécifiquement conçu pour tester la toxicité. Comme je l’explique à maintes reprises dans mes livres (sur les vaccins et sur d’autres sujets), le principe basique de l’essai clinique (ECRDA) est de maitriser les effets du hasard. Il y a plusieurs exigences dans l’ECRDA, notamment la comparaison du produit testé avec un placebo et l’élaboration d’une hypothèse primaire, point fondamental et rarement compris. Cela dit, ces deux conditions doivent aussi répondre à une exigence éthique. En faisant simple, on ne peut tester que l’efficacité d’un produit de santé, pas sa toxicité. Il n’est pas éthique (et inacceptable pour un volontaire) de se prêter à une recherche visant à évaluer la nocivité d’un produit de santé.../… La majorité des vaccins injectés aux bébés aujourd’hui sont sur le marché depuis des décennies et n’ont pas été testés avec des ECRDA certifiant leur efficacité contre les maladies visées. En réalité, nous ignorons la réelle efficacité – et donc l’utilité clinique – de ces vaccins. Cette évidence est insupportable pour les autorités sanitaires. De plus, la majorité des maladies visées par ces vaccins ont disparu ou ont décliné rapidement avant un plein emploi des vaccins au niveau populationnel. Ici nait une polémique concernant ces vaccins : les uns prétendent que ces maladies ont disparu grâce aux vaccins, tandis que d’autres contestent cette affirmation. Polémique assez ridicule car il suffit de faire un travail d’analyse (comme je l’ai fait pour les principaux vaccins décrits dans mes livres) pour répondre à la question…/… Je ne vais pas énumérer tous les vaccins investigués mais certains sont des extraordinaires illustrations de la désinformation qui sévit de nos jours et que subissent tant les familles que leurs médecins…/… Le meilleur exemple est effectivement celui de la variole. Certes, nous avons réussi à éradiquer la variole mais ce n’est pas grâce au vaccin. Il faut lire les rapports et les témoignages des responsables de l’OMS en charge de la variole dans les années 1970-1980 en Afrique et en Inde. Prétendre que le vaccin contre la variole a permis d’y éradiquer la variole témoigne soit d’une inculture sidérante, soit d’une intention de désinformer…/… certaines grandes maladies infectieuses ont disparu de certains pays (notamment en Europe et aux USA) en l’absence de vaccin (la peste, le choléra, la lèpre). D’autres ont régressé de façon à la fois spectaculaire et tout à fait parallèle dans des pays (comme la France) où l’on vaccinait avec le BCG et dans d’autres (comme les USA) où ce vaccin était ignoré. D’autres encore ne sont pas réapparues malgré l’arrêt des vaccins (par exemple la typhoïde). En résumé, si on examine attentivement la concordance entre les campagnes de vaccination contre certaines maladies et la régression de ces maladies, on constate systématiquement que d’autres facteurs (que la vaccination) ont contribué à ces régressions. Le tétanos, la diphtérie, la poliomyélite ont vu leur fréquence diminuer bien avant que les campagnes de vaccination puissent avoir un effet clinique significatif…/… Concernant les vaccins en général, et les vaccins anti-COVID de 2020 en particulier, nous assistons à un simulacre de sciences médicales. En réalité, nous n’avons pas d’élément solide concernant les vaccins anti-COVID. Les autorités sanitaires ont fermé les yeux sur cette grave défaillance et c’est probablement le plus grand scandale de l’histoire de la médecine. Car des centaines de millions d’individus, tout autour de la planète, ont été vaccinés avec des produits mal évalués en termes d’utilité clinique, et potentiellement toxiques. Pour essayer de « faire sérieux » et conforter a posteriori les autorisations scientifiquement infondées de mise sur le marché, les supposés experts et les autorités sanitaires qui ont validé ces vaccins analysent désormais des données rétrospectives sélectionnées, dont la valeur scientifique est faible. On voit qu’ils ne maîtrisent pas l’épidémiologie d’observation…./… depuis les campagnes de vaccination de l’année 2021, les « experts » ne cessent de confesser le manque d’efficacité ou la perte d’efficacité des vaccins, argumentant sur des nouveaux variants coupables d’échappement et plaidant sans cesse pour de nouvelles injections. Mais ils ne veulent pas – les autorités sanitaires et les gouvernants non plus – admettre le péché originel de ces vaccins anti-COVID qui est tout simplement que leur efficacité n’a jamais été démontrée scientifiquement. Nous avons basculé dans la médecine spectaculaire marchande".

A lire sur le site du sociologue du CNRS Laurent Mucchielli

les effets dévastateurs des fusions et acquisitions dans l'industrie pharmaceutique

Rep Katie Porter (D-CA) - Usa, a publié vendredi 29 janvier 2021, un rapport accablant révélant les effets dévastateurs des fusions et acquisitions sur Big Pharma, sur les soins de santé aux États-Unis, et recommandant des mesures que le Congrès devrait prendre pour adopter une « réforme globale et urgente » d’une partie intégrante d’un système de soins de santé brisé.

Le rapport, intitulé « Killer profits : How Big Pharma Take overs Destroy Innovation and Harm Patients »

(« Des profits assassins : comment les grandes sociétés pharmaceutiques détruisent l’innovation et nuisent aux patients »), commence par souligner qu’ « en seulement 10 ans, le nombre de grandes sociétés pharmaceutiques internationales a été divisé par six, de 60 à seulement 10 ».

Alors que les dirigeants pharmaceutiques tentent souvent de dépeindre une telle consolidation comme un moyen d’accroître leur efficacité opérationnelle, le rapport indique qu’ « avoir été concentré à un tel niveau » démontre la tendance inquiétante de cette industrie qui mobilise des milliards de dollars de ressources pour l’acquisition d’autres sociétés pharmaceutiques avec des médicaments à succès protégés par brevet, au lieu de mettre ces ressources pour découvrir de nouveaux médicaments.

Les opérations de Fusions/Acquisition,) sont souvent exécutées pour « stimuler le cours des actions », « stopper les concurrents » et « acquérir un médicament novateur à succès avec une énorme source de revenus potentiels ».

« Au lieu de dépenser pour l’innovation, Big Pharma thésaurise son argent pour les salaires et les dividendes, dit le rapport, tout en avalant les petites entreprises, rendant ainsi le marché beaucoup moins concurrentiel. »

Le rapport qualifie les « Fusions/Acquisitions » de « pointe de l’iceberg des comportements anticoncurrentiels et axés sur le profit » des compagnies pharmaceutiques :

« Les compagnies pharmaceutiques affirment souvent que la baisse des prix des médicaments demandée par les États-Unis dévasterait l’innovation. Pourtant, comme les prix ont monté en flèche au cours des dernières décennies, les investissements de ces mêmes entreprises dans la recherche et le développement n’ont pas suivi ce même rythme. Au lieu de cela, elles ont consacré de plus en plus de leurs fonds à enrichir les actionnaires ou à acheter d’autres entreprises pour éliminer la concurrence. »

« En 2018, année de l’entrée en vigueur du cadeau fiscal de [l’ancien président] Donald Trump aux riches, 12 des plus grandes sociétés pharmaceutiques ont dépensé plus d’argent pour des rachats d’actions que pour la recherche et le développement », note le rapport.

Voici quelques-unes des principales conclusions du rapport :

  • « Les grandes sociétés pharmaceutiques ne sont pas responsables de la plupart des percées majeures dans les nouveaux médicaments. L’innovation est produite plutôt par de petites entreprises, qui viennent souvent de la recherche universitaire financée par les contribuables. Ces petits laboratoires sont ensuite achetés par des entreprises géantes après avoir assumé le risque nécessaire pour développer un médicament à succès ;

 

  • Au lieu de produire des médicaments vitaux pour les maladies sans aucuns remèdes, les grandes sociétés pharmaceutiques se concentrent souvent sur de petits changements progressifs des médicaments existants afin d’éliminer les menaces des génériques et leurs brevets monopolistiques accordés par les gouvernements ;

 

  • Les fusions dans l’industrie pharmaceutique ont eu un effet négatif global sur l’innovation, prenant le peu de concurrence qui existait dans l’industrie et la détruisant complètement. »

 

« La concurrence est au cœur du capitalisme » a déclaré Porter dans un communiqué de presse présentant le rapport. « Comme le montre notre rapport, Big Pharma ne s’est guère investie dans de nouveaux médicaments dont nous avons un besoin critique. Au lieu de cela, les géants pharmaceutiques sont libres de consacrer leurs ressources à l’acquisition de petites entreprises qui pourraient autrement les forcer à soutenir la concurrence. »

« Des vies sont en jeu ; il est clair que le gouvernement fédéral doit réformer la façon dont il évalue les fusions dans le secteur de la santé et les abus de brevets », a ajouté M. Porter.

À cette fin, le rapport de Porter recommande les mesures suivantes :

  • Suppression des incitations qui priorisent les investisseurs et Wall Street sur les malades ;

  • Réévaluer les normes utilisées par la Federal Trade Commission (FTC) pour les fusions de soins de santé ;

  • Modifier la présomption selon laquelle la plupart des fusions et acquisitions sont légales sauf si elles sont contestées par un particulier ou un groupe ;

  • Réduire le coût des médicaments sur ordonnance. Le Congrès devrait adopter une loi qui freine la flambée des coûts. Cela peut commencer par une loi sur la négociation des prix des médicaments, comme la « Elijah E. Cummings Lower Drug Costs Now Act » (loi pour la réduction du prix des médicaments) mais qui doit s’étendre à un plus grand nombre de médicaments et couvrir tous les payeurs et les non assurés ;

  • Prévenir les abus anti concurrentiels du système de brevets des médicaments. Le Congrès devrait adopter une loi, comme celles des « Preserve Access to Affordable Generics and Biosimilars Act - l’Affordable Prescriptions for patientsThough Promoting Competition Act - la Stop Stalling Act » *

  • « Il est temps de réévaluer les normes d’approbation de ces fusions », conclut le rapport. « Il est temps d’adopter une loi pour faire baisser les prix des médicaments. Et il est temps de repenser la structure du leadership dans les grandes compagnies pharmaceutiques. Ensemble, ces stratégies peuvent nous aider à commercialiser des traitements et des traitements plus novateurs et dont nous avons un besoin critique. » Bratt Wilkins

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On voit clairement (flèche noire) que nous sommes déjà en decrescendo ; ce qui ne veut pas dire qu’il ne pourrait pas y avoir une réplique en Novembre ou Décembre.

Mais la leçon à en tirer c’est que les vagues successives sont de moins en moins dangereuses en termes de sévérité [le meilleur indicateur de sévérité étant la mortalité attribuée à la COVID ; graphique ci-dessous] et que les campagnes de vaccination n’ont rien à voir avec cette évolution, comme maintes fois répétés, notamment sur ce Blog…

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Ce sont donc les nouveaux sous-variants qui font la « Une » des médias.
Lesquels ? Ci-dessous.

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Je résume : BA.5 est en voie de disparition (aux USA) mais voilà que BQ.1 et BQ1.1 arrivent et que Singapour annonce le terrible XBB…

Je ne vais pas faire le « rigolo » ou l’oiseau moqueur (comme on dit là-bas) mais l’annonce d’un pire scenario me paraît une fois de plus prématurée.

Pourquoi cette obsession à faire peur, voir à terroriser nos séniors et fragiles ?

Peut-être serait-il temps de « tirer le rideau » et de penser à autre chose ?

Nous avons, hélas, bien d’autres soucis ces jours-ci…

Mais néanmoins l’heure approche de faire un bilan de l’épisode COVID ! Au travail !

l’ardent impératif de se faire vacciner une nouvelle fois contre la COVID-19

Eté 2022 où la pandémie est calme, certains (notamment des ministres) annoncent déjà la 8ème vague automnale et, bien sûr, l’ardent impératif de se faire vacciner une nouvelle fois contre la COVID-19 ! Il faut s’attendre à ce qu’on nous annonce l’arrivée de nouveaux vaccins antiCOVID miraculeux ; au moins encore plus efficaces que les précédents qui étaient déjà annoncés, souvenons-nous, efficaces à 95%. Cerise sur le gâteau, il est fort probable que ces nouveaux vaccins antiCOVID seront couplés, d’une façon ou l’autre, à la vaccination antigrippale.

L’industrie des vaccins n’est pas en reste évidemment avec des messages forts sur les réseaux destinés aux médecins, du type « Restons vigilants face à la pandémie ».

Ce document est formidable et j’invite tout visiteur anglophone à le lire méticuleusement tant il illustre l’effondrement de la culture et de l’éthique médicales.

Les auteurs (français) de cet article visant [via le site Retraction Watch, un chien de garde de la science officielle, comme du temps de Staline…] à obtenir le retrait d’un article décrivant la potentielle toxicité des vaccins antiCOVID à base d’ARN messager, montrent aussi le naufrage des sciences médicales.

Je ne dirais rien de plus sur les auteurs (français) de cet article tant leur naïveté est touchante… Une fois noté le rôle de MSD (le BigPharma mieux connu sous le nom de Merck, un des champions de la vaccination depuis des décennies mais qui s’est « planté » avec les vaccins antiCOVID) et de Retraction Watch, on note que les auteurs français veulent raconter leur triste échec pour faire retirer (rétracter) un long article publié dans un journal renommé « Food and Chemical Toxicology ». Les éditeurs s’y sont refusés, d’où le courroux de nos « biopoliciers amateurs »…

Cet article [« Innate immune suppression by SARS-CoV-2 mRNA vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes, and MicroRNAs« ] est compliqué et difficile à lire et à comprendre pour des néophytes (NDLR : il est d’accès gratuit mais pour le lire, il faut créer un compte, encore un, sur Medscape).

Le principal motif de cette demande de rétraction est dans le titre.

Ils reprochent aux auteurs américains d’avoir écrit quelque part dans leur article que « Billions of Lives Are Potentially at Risk’ From COVID-19 Vaccines » ; c’est-à-dire que « des milliards de vies sont en danger à cause des vaccins antiCOVID » .

Je confesse que je n’ai pas cherché où dans l’article, les auteurs américains avaient écrit cette formule de peu d’intérêt et très spectaculaire que je n’aurais jamais écrite. Chacun son style, ce n’est pas le mien !

Évidemment, si l’article a un vrai contenu scientifique [ce qui est le cas], cette unique formule (un peu ridicule) ne peut motiver la rétraction.

En fait, nous comprenons très vite à lire les auteurs que leur principale motivation est ailleurs : ils ne supportent pas qu’on puisse dire que les vaccins antiCOVID ne sont pas efficaces et qu’ils sont potentiellement toxiques. Crime de lèse-majesté ! Ils parlent en outre d’une « robust evidence » (ce qui ne nécessite pas de traduction) mais nous démontre au-delà du doute que ces jeunes gens volontaristes ne comprennent pas la médecine des vaccins et encore moins la médecine scientifique.

Je laisse chaque visiteur du Blog se délecter des arguments développés par les auteurs français pour obtenir la rétraction de l’article face à quatre referees (arbitres) du journal plus l’éditeur-en-chef qui ne veulent rien entendre, les vilains.

Je ne dirais rien concernant le contenu de l’article lui-même dont l’argumentaire est parfois un peu « relatif » car, n’étant pas omniscient [je peux me tromper], je considère qu’il faut laisser les scientifiques (les solides et sérieux mais aussi les autres) s’exprimer : Vive La Liberté !

Leçon du jour : nos amateurs français ont découvert le monde de la publication scientifique ! On ne se fait pas de cadeau et ils n’ont pas été récompensés de leurs efforts pour censurer des scientifiques dont le message mérite pourtant d’être considéré. Ils pensaient sans doute [en observant le paysage depuis l’émergence de la COVID-19] que CENSURE et AUTO-CENSURE étaient habituelles dans le monde de la publication scientifique et qu’il suffit de demander…

Certes, CENSURE et AUTO-CENSURE des messages scientifiques ont été, au profit de la propagande gouvernementale, une des caractéristiques majeures de la crise sanitaire depuis 3 ans. Peut-être est-ce en train de changer. Il ne faut jamais désespérer ! URGENT de revenir aux fondamentaux du métier ! Docteur Lorgeril

les autorités sanitaires nationales et internationales

ne comprennent plus la médecine scientifique

Variole du singe et absence de médecine scientifique !

Les médias font leur « une » ces jours-ci avec la variole du singe (monkeypox virus) faute d’une autre actualité brûlante à propos de la COVID-19 ou de la guerre en Ukraine, par exemple. Cette maladie semble bénigne – au moins chez les jeunes hommes qui en sont généralement les victimes dans cette première phase de dissémination du virus parmi des hommes ayant une activité sexuelle avec d’autres hommes (c’est comme ça qu’il faut dire) – mais elle suscite l’inquiétude. Pourquoi ?

Parce qu’on la connaît mal (ce serait une bonne raison d’être attentif) ; sinon qu’il semble s’agir d’une vilaine varicelle « douloureuse » qui guérit spontanément.

Mais on ignore ce qu’elle pourrait donner une fois disséminée dans la population générale ; quoique sa contagiosité semble faible : il faut vraiment des contacts étroits (intimes) pour se transmettre le virus. La principale caractéristique, à mon humble avis, de ce début de diffusion d’un virus inconnu est l’absence quasi totale de médecine scientifique.

Pour expliquer simplement l’idée de cette absence de médecine scientifique [je ne vais pas en faire un livre], je vais me concentrer sur la vaccination dirigée contre le monkeypox virus.

Certains prétendent que nous avons un vaccin efficace contre la variole du singe.

D’où vient cette affirmation péremptoire ? D’un chapeau de clown !

En effet, à ce jour, nous n’avons aucun essai clinique qui ait testé l’efficacité d’un vaccin contre la variole du singe ! Certains (supposés) experts prétendent que les « nouveaux » vaccins contre la variole [que je discute dans divers livres notamment le numéro 2 de la Collection « Vaccin& Société » titré « Analyse scientifique de la toxicité des vaccins« ] seraient aussi efficaces contre la variole du singe et avancent le chiffre de 85% d’efficacité…

L’argument serait qu’il y aurait une immunité croisée (je simplifie outrageusement) entre la vraie variole (et son vaccin) et la variole du singe. Dit autrement, si vous étiez protégés contre la variole (ancienne vaccination des années d’après-guerre ou nouveau vaccin) vous seriez protégés contre la variole du singe. Ce sont des arguments intéressants (amusants) pour les naïfs mais ce sont des singeries pour un scientifique sérieux.

En effet, nous n’avons aucune évidence solide que les vaccins contre la variole (les anciens comme les nouveaux) sont efficaces contre la variole. C’est une désinformation systématique. Je discute cette question dans le Livre « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 » à partir de la page 33.

Les futures victimes de la variole du singe – ou les sujets à risque de variole du singe du fait de leur vie sexuelle « atypique » – exigent d’être vaccinés ; sans rien savoir du nouveau vaccin contre la variole qu’on leur propose : efficacité réelle ? Toxicité ?

Nous voilà dans un cul-de-sac. Le peuple des futures victimes exige et les autorités sanitaires entretiennent les illusions ! Que devraient proposer les scientifiques ?

Puisque nous ignorons si ce vaccin nouveau est efficace, la priorité des priorités serait de vérifier l’efficacité réelle de ce vaccin contre la variole du singe : un essai randomisé en double aveugle testant le vaccin contre un placebo. On aurait aussi une idée de sa toxicité.

Comme l’épidémie est montante et que les volontaires se précipitent pour être vaccinés, il n’y aurait aucune difficulté à organiser cet essai clinique et procéder à des tirages au sort.

Puisque on suppute une efficacité de 85%, l’hypothèse primaire pourrait être vérifiée avec un échantillon de quelques centaines de volontaires et avec une durée de suivi relativement brève (quelques mois au maximum). Les volontaires recevant le placebo seraient « récompensés » rapidement puisqu’ils sauraient enfin (ce qu’ils ignorent pour le moment) si le vaccin les protège.

Ainsi fonctionne la médecine scientifique ! Ainsi devrait fonctionner la médecine scientifique !

Ce n’est pas le cas. C’est étrange. Deux explications :

1) les autorités sanitaires nationales et internationales ne comprennent pas la médecine scientifique. Nous avons une sorte de confirmation de ce que nous avons observé pendant les premières phases de la pandémie COVID-19. Les pilotes de l’avion sont des amateurs !
N’allez pas demander au nouveau Ministre de la Santé en France ou au PDG de l’OMS pourquoi on ne se mobilise pas pour vérifier l’efficacité de ce vaccin !
Vous les mettriez mal à l’aise, choupette.
Les bureaucrates – et en France, les chefs de service des unités de soin et les universitaires – ignorent aussi la médecine scientifique. Nous l’avons déjà constaté pendant la COVID-19 ; pas de surprise de ce côté.

2) surtout, il faudrait « mettre cartes sur table » ; c’est-à-dire admettre notre ignorance concernant l’efficacité du vaccin contre la variole. Puis, de fil en aiguille, admettre nos ignorances sur d’autres vaccins moins célébrés que celui contre la variole ; et enfin admettre que les vaccins antiCOVID n’ont pas été correctement analysés…
Hum ! Je vois mal nos administrations sanitaires (nationales et internationales) se lancer dans ce dangereux processus de mise à niveau…
Docteur Lorgeril

Juillet 2022

Comme on pouvait s’y attendre, la 7ème vague qui faisait si peur aux prophètes de malheur et autre Cassandre « modélisateurs » au Printemps s’est très vite essoufflée chez nous en France ; comme auparavant au Portugal (par exemple).

Pas de surprise ! Ils se sont à nouveau trompés mais ils diront que c’est grâce à leurs alertes que la catastrophe n’a pas eu lieu. On connaît la chanson !

Comme tous les experts (qui ne peuvent désarmés, comme le Roi Dagobert qui se promène tout nu…), ils nous annoncent une prochaine catastrophe pour Novembre : « nous sommes dans le brouillard, disent-ils, et au bout du brouillard, il y a un iceberg… »
Par temps de canicule, on apprécie l’humour des experts.

Si nous examinons les courbes des nouveaux cas en France (paramètre fragile pour mesurer une flambée épidémique), il semble incontestable qu’en cette fin de Juillet 2022, la situation se refroidisse rapidement, contrairement aux températures…

 

 

 

 

Concernant les données de mortalité (qui reste le meilleur paramètre pour mesurer la sévérité d’une flambée), les choses sont restées calmes aussi.

 

 

 

Nous avons plus ou moins revécu le même épisode que l’été dernier en 2021 (petites flèches sur le graphique ci-dessus).

 

Deux phénomènes ne peuvent nous échapper sur les courbes des décès :

1) les pics de mortalité s’atténuent avec le temps ; ce qui n’est pas surprenant du fait de l’acquisition d’une immunité collective naturelle avec le temps. En principe, la 8ème vague hivernale en 2023 (si elle survient) sera moindre que la vague hivernale de 2022.

2) contrairement aux flambées de pathologies virales respiratoires « habituelles », les flambées (les vagues) se répètent depuis 2019. C’est très étonnant.

Ce qui caractérise (et différencie des autres épidémies) la pandémie COVID-19, c’est l’intervention massive des gouvernants avec d’une part des restrictions drastiques de circulation des personnes (et du virus) et d’autre part des campagnes de vaccination massive des populations. C’est absolument inédit.
N’importe quel scientifique sérieux et « ouvert » ne peut manquer de mettre en relation ces différents phénomènes : vaccination massive et répétition des flambées. Mais aucun scientifique sérieux ne peut affirmer une relation de causalité. Cela reste une hypothèse qu’il sera difficile de démontrer !

Conclusion : quand la liberté de parole sera-t-elle rétablie ? Quand cesseront les activités délétères des apprentis-sorciers ?

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les experts universitaires donnent des avis contradictoires sur l’évolution actuelle de la COVID-19. Certains sonnent le tocsin, d’autres (rares) sont rassurants. Les gouvernants, empêtrés dans leur gestion accidentée des problématiques parlementaires, restent sur une prudente réserve et donnent des conseils… que bien peu écoutent. Les industriels, toujours assoiffés de profits, promettent des nouveaux vaccins efficaces contre les nouveaux variants. Soyons clairs, soyons simples.

1) Qu’il y ait une nouvelle vague (la 6ème ou la 7ème, peu importe) fait peu de doute !

2) Que les hôpitaux (et autres structures de soin) ne soient pas en meilleure santé qu’il y a deux ans fait peu de doute !

3) Que les nouveaux variants soient très transmissibles mais peu dangereux fait peu de doute.
C’est l’évolution normale de toute infection virale : se multiplier pour faire survivre l’espèce mais ne pas tuer les hôtes (nous les humains) car tous les virus (même en l’absence de neurones) savent ça : il ne faut pas couper la branche…

4) Que les vaccins (les anciens, les nouveaux, les prochains) soient d’une faible utilité fait peu de doute !

5) Que la météo pandémique ne soit pas tragique fait peu de doute.
Comme indiqué dans mon précédent article, et confirmé depuis, l’évolution en Afrique du sud (où sont nés ces nouveaux variants) et au Portugal (premier pays à donner l’alerte en Europe) est rapidement favorable.

Bref, la situation ne me parait pas inquiétante, contrairement à ce que racontent les idiots dans les médias et quelques académiciens fourbus. On peut espérer que les gouvernants ne prendront pas des mesures inappropriées qui pourraient transformer cette 6ème ou 7ème vague en problématique sociétale.
On peut espérer que le système de soin pourra se débrouiller sans faire appel aux hôpitaux pendant l’été. Pas sûr !

Cela dit, si on vous demande de remettre un masque dans le métro ou le tram, ce n’est pas absurde ; car le nombre de porteurs sains est probablement important et beaucoup de vaccinés qui se croient protégés ne le sont pas vraiment. A force de précautions (en plus des doses répétées de vaccins inutiles), ils peuvent avoir échappé au virus et donc tomber malades cette fois-ci. Se laver les mains de façon répétée n’est pas absurde non plus et éviter de tousser et cracher sur ses voisins me parait être un minimum de courtoisie. Si le masque ne vous protège pas, il protège vos voisins si vous êtes un porteur sain… Docteur LORGERIL

Omicron, ses variants, le Portugal et nous ! juin 2022

 

Depuis quelques jours, les experts "omicroniens" s’affolent à nouveau nous promettant un été de malheur si nous ne réagissons pas à la nouvelle vague épidémique meurtrière qui déferle sur nos contrées du fait de variants omicroniens inattendus.

Et les experts d’annoncer que ses variants seraient particulièrement pernicieux car capables d’esquiver nos défenses immunitaires contre la COVID-19, les naturelles comme les vaccinales.

Ses analyses sont mal documentées, évidemment, mais c’est une façon de dire (sans le dire vraiment) que décidément les campagnes de vaccination antérieures ont été peu efficaces et qu’il faut d’urgence injecter leur 5ème dose aux fragiles et aux volontaires.

D’autres, encore plus drôles, nous disent qu’il vaut mieux attendre les nouveaux vaccins promis par les industriels de l’ARN messager qui seraient destinés spécifiquement à vaincre omicron.

Tous annoncent l’impérieuse nécessité de rétablir les mesures dites barrières.

Faut-il s’affoler comme eux ?

Rappelons que les affolements initiaux (dès l’hiver 2020) furent générés non par la réelle gravité des cas enregistrés (un peu quand même) mais surtout par l’inconcevable incapacité du système de soins à traiter dignement les malades !

Or, et c’est la première partie du raisonnement aujourd’hui, le système de soins en ce bel été 2022 est dans un état encore plus calamiteux que pendant l’hiver 2020.

De nombreux hôpitaux (y compris universitaires) se déclarent incapables d’assurer les services d’urgence 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

Faisons une première observation : depuis l’hiver 2020, rien de sérieux n’a été entrepris pour empêcher la situation de l’été 2022 qui s’est inéluctablement dégradée.

Deuxième observation : les gouvernants actuels sont incapables de gérer cette situation ; qu’ils ont eux-mêmes crée.

Troisième observation : pourquoi un soignant écœuré (et démissionnaire) reviendrait travailler dans les conditions antérieures si des sociétés d’intérim lui proposent des salaires mirobolants et des horaires adaptés à ses impératifs personnels, notamment familiaux.
Même raisonnement pour un nouveau diplômé…

Quatrième observation : la solution des gouvernants en cas de sérieuse reprise épidémique serait la réquisition de ces personnels soignants récalcitrants : la police viendrait chercher les infirmières à la maison pour les forcer… Ce ne serait pas la première entorse aux libertés fondamentales pendant la COVID-19.

Cela étant dit, devons-nous craindre une reprise épidémique catastrophique ?

Comment raisonner quand on n’est pas un prophète ou une prophétesse (de malheur) ?

Si on a été attentif à l’évolution de la pandémie en Europe (nous ne sommes pas nombreux à vivre chroniquement les yeux ouverts), il n’aura pas échappé qu’au moins un pays nous a devancé sur le chemin de l’affrontement aux variants d’Omicron ; c’est le Portugal !

Les experts portugais ont été en effet les premiers (en Février-Mars) à annoncer une résurgence de la pandémie en relation avec l’apparition de variants d’Omicron.
Je note que le Portugal est un pays de très forte vaccination antiCOVID sans jamais de réelle résistance.

On va donc se concentrer sur la situation portugaise car ce sont nos voisins et cousins et il y a peu de chance que nous vivions quelque chose de très différent de ce qu’ils ont vécu.

Voyons les chiffres, incidence et mortalité, les deux en même temps pour une fois puisque nous sombrons dans un minable prédictionnisme.

D’abord l’incidence (les nouveaux cas) enregistrée au printemps.

 

 

A l’évidence, la « reprise » de printemps au Portugal a fait long feu comme disent les scouts !

Maintenant la mortalité.

 

A nouveau, il est clair que la reprise est déjà fortement déclinante.

On peut comprendre toutefois qu’il y ait eu au mois de Mai une période d’incertitude  et donc d’inquiétude…

D’autres pays ont eu des périodes d’incertitude, notamment pendant l’été austral en Afrique du Sud, et l’évolution (comme indiqué ci-dessous) a été comparable à celle du Portugal : rapide déclin ! Pas de pic effrayant au pays où naquirent les variants d’omicron !

 

Quelles conclusions ?

Sans me prétendre prophète, je pense pouvoir dire :

1) Les variants d’Omicron ne sont pas méchants !

2) Dormez tranquilles, ne changez pas vos projets !

3) Méfiez-vous des gouvernants, notamment des experts patentés qui depuis des mois racontent des idioties ! Ils sont capables de toutes les idioties !

Docteur Lorgeril

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COVID : données épidémiologiques le 10 Mai 2022

La patience, le sens de l’observation et (pour les meilleurs) l’art (le savoir-faire) de l’expérimentation clinique sont les qualités majeures requises chez les scientifiques pour être utiles à leurs collectivités.

Après débats et disputes [qu’on pourrait éviter si d’emblée on travaillait bien (de façon professionnelle) plutôt que de se soumettre au business…], les évidences se rappellent à nous de façon cruelle.

Je ne vais pas, à chaque fois que je m’exprime, reprendre chaque point des polémiques interminables qui concernent la COVID-19.

Mais une mise au point ponctuelle peut parfois, sur un point déterminé, éclairer l’ensemble du panorama.

Je prends ici l’exemple des USA car c’est un pays remarquable par sa capacité à générer rapidement des données épidémiologiques crédibles.

Je ne parle pas, contrairement à d’autres qui ne connaissent pas ce sujet, d’espérance de vie [il faudra plusieurs années pour qu’elle soit « calculée » dans les différents pays] mais de mortalité attribuée à la COVID-19, certes de façon un peu précipitée dans bien des cas.

Il peut y avoir des erreurs (sur- ou sous-estimation) mais il est intéressant de comparer l’évolution des chiffres obtenus de façon identique au cours de la pandémie car s’il y a erreur c’est toujours la même  et on peut en tenir compte en se disant que la  réalité qui viendra plus tard corrigera les premiers chiffres et les corrigera tous dans le même sens.

Je reproduis ci-dessous la mortalité attribuée à la COVID-19 aux USA au cours des 5 vagues successives qui ont accablé ce grand pays, pour un total à la mi-Mai de plus d’un million de décès.

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J’ai presque envie de laisser chacun interpréter ces chiffres (et images) tant l’évidence crève les yeux. Je devrais me taire !

Mais je ne peux pas m’empêcher de faire quelques commentaires qui vont fortement déplaire à tous les vaccinalistes qui prétendent que la vaccination tout azimut a sauvé des vies et, par exemple, aurait diminué la fréquence des formes graves.

Plus personne n’ose dire que la vaccination aide à « contenir » la circulation/dissémination du virus…

Y a-t-il une forme plus grave que la forme fatale ?

Y a-t-il un paramètre plus solide que la mortalité ?

Il faut examiner la mortalité, donc !

Dit autrement, ce graphique est ce qu’on peut faire de mieux à ce jour pour vérifier si la vaccination tout azimut a diminué la mortalité [c’est-à-dire les formes graves] due à la COVID-19.

Que dit ce graphique ?

C’est facile.

1) La 5ème vague a été une des plus forte après la 3ème vague aux USA.

2) On a commencé à vacciner massivement aux USA à la fin de l’hiver 2021 (la courbe de mortalité était déjà descendante) et on ne peut évidemment pas attribuer la fin de cette 3ème vague à la vaccination.

3) Alors qu’au cours de l’année 2021 (puis en 2022), la couverture vaccinale était de plus en plus forte, on a observé une 4ème puis une 5ème vague toutes les deux importantes et supérieures aux 1ère et 2ème vagues.

Conclusion évidente : la vaccination massive n’a eu aucun effet bénéfique sur la mortalité COVID-19 aux USA  et de façon plus générale sur la pandémie.

Il va falloir que nos académiciens de tout poil, les gouvernants et les médias s’y habituent, ils ont désinformé (pas de façon très subtile) les populations !

D’autres facteurs, y compris les caprices du virus (le tonton et ses cousins) et surtout les conditions d’existence des populations (qui en grande partie déterminent la qualité de leur système immunitaire et leur aptitude à traverser la crise sans trop de dommages) ont été prépondérants.

Je ne suis pas sûr notamment que ce qui a été imposé aux populations pendant ces deux années (en incluant la vaccination obligatoire) ait été favorable à la préservation de la santé de ces populations.

Pas sûr du tout !

Le seul fait d’imposer des privations de liberté (voire de mettre en cage comme en Chine ces jours-ci), ou des obligations irrationnelles constitue des atteintes primaires à la santé pour lesquelles ils devront rendre des comptes !

Michel de Lorgeril COVID-19, Vaccins expert, industrie, mortalité, prévention, santé publique

avril 2022

Cette Covid-19 n’en finit plus et, jour après jour, épisode après épisode, la réalité semble toujours décevoir nos attentes : ça n’en finit plus !

Je l’ai maintes fois répété, le seul paramètre solide pour juger de la flambée épidémique de COVID-19 est le nombre de décès qui lui est attribué.

On peut avoir un grand nombre de décès sur une courte période [associé à un risque de submersion du système de soins par les cas sévères nécessitant des soins intensifs, la principale préoccupation des gouvernants] ou un nombre de décès plus faible mais sur une longue période de temps. Dans ce dernier cas, le coût humanitaire peut être plus important que dans le premier cas mais, le système de soins absorbant vaille que vaille les cas sévères, les gouvernants gardent leur calme et ne rétablissent pas (horrifiés qu’ils sont) les mesures de contrainte sociale comme le stupide passe vaccinal.

C’est ce 2ème cas de figure que nous vivons en France en ce moment (graphique ci-dessous) avec une 5ème vague interminable au rythme de 150 décès par jour environ. Ce qui commence à faire beaucoup, tout en laissant de marbre les gouvernants, tout occupés à leur petit business électoral…

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Le graphique des données françaises traduit mal cet étrange phénomène de persistance de la COVID-19 maligne malgré une couverture vaccinale optimale ; comme si n’avait servi à rien cette obligation vaccinale déguisée. Nos séniors l’ont bien compris qui, imperturbables dans l’adversité, vont mendier leur 4ème dose chaque jour de la semaine.

les chiffres anglais sont plus pertinents sans doute avec, compte tenu des fluctuations quotidiennes, une nouvelle augmentation des décès, donc en parallèle une ré-augmentation des cas graves que les vaccins étaient sensés empêcher.

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les chiffres Italiens méritent un graphique (ci-dessous)

et un bref commentaire.

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La 5ème vague Italienne est nettement plus sévère que la 4ème et, si on compare les « surfaces sous la courbe » qui témoignent de la réelle malignité de chaque vague (alors que cette 5ème vague n’est pas terminée), on la constate très semblable à la 3ème vague ; alors que la couverture vaccinale est considérablement plus importante actuellement. C’est comme si on n’avait rien fait

D’autres données (USA, par exemple) sont encore plus explicites mais je préfère comparer les chiffres français avec ceux de pays Européens qui nous sont très proches.

Conclusion évidente : la vaccination antiCOVID est inefficace ! Docteur Lorgeril

Épidémiologie de la COVID : Octobre 2022

Lors de mon dernier point de la situation épidémiologique (en Septembre 2022), je moquais la fébrilité des experts qui voyaient venir une catastrophe automnale et pressaient le bon peuple d’aller urgemment se faire vacciner avec les nouveaux et miraculeux vaccins antiCOVID.

Avec un peu de recul (un mois plus tard), nous constatons que l’ébauche d’une 8ème vague observée en Septembre a fait long feu (graphique ci-dessous).

Les bons citoyens qui vivent les yeux ouverts l’ont compris depuis longtemps et on peut constater qu’on ne se précipite pas vers les "vaccinodromes" !

Mais les experts sont bien déçus et nous voilà privés de leurs cortèges télévisuels…

Certains s’agitent encore [Pitié ! Ne m’oubliez pas !] ; mais de façon un peu désordonnée.
Pour ne froisser personne de chez nous (à Genève, Lille ou Paris et sa banlieue) regardons les messages venant de leurs homologues aux USA.

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La vaccination

à l'épreuve des faits

l'impact psychologique

 

A partir du milieu du XIXe siècle, le nombre de décès dus à toutes les maladies infectieuses a diminué de façon constante, jusqu'à atteindre des niveaux relativement faibles début 1900. Aujourd'hui, on affirme que les interventions médicales ont augmenté notre espérance de vie et ont à elles seules sauvé d'innombrables vies humaines, certes. Mais qu’en est-il du mode vaccinal ou de l'impact des antibiotiques ?

Le livre de Suzanne Humphries et Roman Bystrianyk détaille des faits et des chiffres tirés de revues médicales, d'ouvrages, de journaux et d'autres sources. Ce livre montre que les vaccins, les antibiotiques et autres traitements de ce type ne sont pas responsables de l'augmentation de l'espérance de vie et du déclin de la mortalité due aux maladies infectieuses. Comment la profession médicale a pu systématiquement mal interpréter et ignorer des éléments historiques clés.

Qu'est-ce qui est encore ignoré et mal interprété aujourd'hui ? Apprendre du construit historique permettra d'éviter que le pire ne se reproduise.

Suzanne Humphries est médecin, interniste et néphrologue agréée. Elle exerce actuellement en cabinet privé et continue à réfuter toute la mythologie autour de la vaccination. Roman Bystrianyk enquête sur l'histoire des maladies et des vaccins depuis 1996. Il possède une vaste expérience dans le domaine de la santé et de la nutrition, une licence en ingénierie et une maîtrise en science informatique.

La société du spectacle

Le  témoignage du niveau de désinformation (ou de profonde bêtise) actuel

dans la presse médicale et scientifique.

Le rédacteur de NATURE ne se pose pas de question.

Il attribue le « terrifiant » rebond de la pandémie en Chine à un défaut de vaccination des séniors en Chine ; et aussi à Hong Kong…

Mais bien sûr ! Niveau argumentaire proche de zéro ! Désinformation calibrée ou profonde bêtise ?

Et pourquoi je raconte tout ça ?

Pour deux raisons :

1) une quasi certitude : la couverture vaccinale n’a rien à voir avec ce qui se passe en Chine ou à Hong Kong ces jours-ci (quels que soient la véracité des chiffres) pour la simple raison que les vaccins antiCOVID sont inefficaces ; pas de science démontrant leur efficacité, ni en Chine, ni ailleurs ;

2) au plus haut niveau des sciences médicales, on nous raconte n’importe quoi sur la pandémie et sur les vaccins.

Quand cesseront-ils cette propagande à laquelle seuls les idiots des Ministères font semblant de continuer de croire.

Mais, Bon Dieu, comment un Ministre plus ou moins « décérébré » pourrait faire la différence entre une vache et son veau ?

Peut-être en demandant un avis au Cabinet MacKinsey ?

Allez, pas de panique, profitons de la vie. Docteur Lorgeril

Une fracture énorme, des gens qui acceptent la pensée commune, d'autres non.

Pourquoi je n'ai pas voulu me faire vacciner, parce que j'ai une solution, celle simplement de soigner les gens et parce que la nature est plus forte, dans ce cas, que ce que l'on peut sortir des laboratoires. L'immunité naturelle, 18 à 24 mois d'efficacité, l'immunité post-vaccinale 2 à 3 mois. Ce que l'on nous dit actuellement, c'est de faire ce vaccin régulièrement.

J'ai une attitude de prudence vis-à-vis de ce médicament, parce que l'on ne le connaît pas sur le long terme. Dans deux, trois, quatre, cinq ou dix ans, que va-t-on voir arriver ? Je pense que l'on ne solutionnera pas le problème, du fait de la mutation du virus et je pense que cette approche vaccinale peut présenter des dangers.

Dans la société, il y a une fracture énorme, des gens qui acceptent la pensée commune, d'autres non.

Dans la vie vous avez le choix entre la tranquillité et la vérité il vous faudra choisir car vous n'aurez pas les deux.

En choisissant, la vérité, vous êtes bien avec vous-mêmes.

En choisissant la tranquillité vous allez pouvoir continuer à aller au cinéma, en vacances,  etc, continuer sans rien changer, avec un mode de vie malsain, continuer à mal manger, à ne pas prendre soin de vous, mais ce n'est pas grave, vous êtes vaccinés, vous êtes protégés, vous n'avez aucune responsabilité. Et même si vous n'êtes pas d'accord, ce n'est pas grave c'est l'état qui vous l'a imposé.  "Ce n'est pas ma décision, je n'ai pas besoin de réfléchir".

D'autres pensent "moi je crois que ce n'est pas bon pour moi, alors je n'en veux pas".

Donc il y a une fracture dans la société. Mais qui sont les plus malheureux ? Ceux qui marchent dans leurs souliers plus longtemps et qui n'ont pas accès à tout, ou bien quand on marche dans les souliers d'un autre, quand on ne sait même plus qui on est ?

Quand on ne fait plus ses propres choix ? En fait vous allez, aller, au cinéma, voir un film que l'on a décidé que vous irez voir. Des notions, des concepts, que l'on a décidé de vous inculquer. Je comprends aujourd'hui, que des gens ne sont plus capables d'être eux-mêmes.

Docteur Pamart. Médecin généraliste.

 

 

Déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non-vaccinées par tranche d’âge et par période

Le Sénat refuse d’analyser la mortalité selon le statut vaccinal.

Les jeunes européens meurent plus depuis cet été. C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux pass-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter. En France, d’après les chiffres du gouvernement, 94 % des personnes âgées de plus de 12 ans ont ainsi reçu au moins une dose, le plus souvent deux ou trois. De tels chiffres sont sans précédent dans l’histoire. Le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) fait état de plus de 148 000 effets indésirables renseignés en France, dont un quart considérés graves. Eudravigilance met par ailleurs en ligne les remontées de pharmacovigilance européenne et comptabilisait à la mi-février 2022 plus de 17 000 décès signalés par des professionnels de Santé. Aux Etats-Unis, les chiffres publiés par la VAERS sont encore plus impressionnants. 

Le 9 février 2022, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a été saisi par le Sénat pour étudier les effets secondaires des vaccins.