top of page

Les

CAFE LECTURE

*Le réel philosophique D.CAILLETEAU

Nous savons d’emblée que la philosophie est méfiante…/…la compréhension dans le pur fantasme.

*Tristes Tropiques. C.LEVI-STRAUSS.

Je hais les voyages et les explorateurs. Et voici que je m'apprête…/…L'air devient partout aussi lourd.

*Extension du domaine de la lutte. M.HOUELLEBECQ

Vendredi soir j'étais invité à une soirée chez un collègue de travail …/…Le troisième millénaire s'annonce bien.

*La crise de la culture. H.ARENDT

La brèche entre le passé et le futur…/…autorité de la pensée grecque.

*Grandes pages de la Révolution. J.MICHELET

Dans la nuit du 4 août la salle des menus plaisirs à Versailles est le théâtre d'un évènement inouï…/…la porte en fin s'est ouverte, elle se sauve chez le Roi.

*Formation de l'unité Italienne. G.BOURGIN.

A l'aube des temps modernes…/…le royaume de Sardaigne.

*Madame Bovary. G.FLAUBERT

Nous étions à l'étude, quand le proviseur entra, suivi d'un nouveau…/…qui recommença le lendemain et quelque peu les jours suivants.

*Discours à la Jeunesse. J. JAURES

C'est avec une grande joie…/…quelques-unes des choses que je portais en moi.

*Enquête sur l'entendement humain. D.HUME

La philosophie morale, ou science de la nature humaine…/…chez ceux qui prétendent au savoir et à la philosophie.

*Pensées, Maximes et Anecdotes. S.GUITRY

Je jouis d'une prestance physique qui porte sur les nerfs…/…Je ne désire que ce que j'ai.

*La composition d'Histoire. P.DANINOS

S'il nous fallait résumer ce livre en quatre mots…/…sa sublime exception.

*La Muse du Département H.de.BALZAC

Sur la lisière du Berry se trouve au bord de la Loire…/…écrivait hier à Mme de Fontaine telles, telles choses.

*Le Château. F.KAFKA.

Il était tard lorsque K arriva. Le village était enfoui…/…et ils continuèrent leur chemin.

*Commentaire sur le Mystère de la Fleur d'Or. C.G.JUNG.

Mon ami Richard Wilhelm, avec qui j'ai publié et ouvrage m'adressa le texte…/…dans ma pratique depuis de longues années.

*L'oubli est la ruse du diable. Max GALLO.

J'étais debout sur les épaules de mon père. Je serrais sa tête…/…et ses remords.

*Quand j'étais capitaine. B.CLAVEL.

Mon pauvre Charles, tu n'as jamais aimé vivre à borgnon !.../…rallumer tranquillement son mégot.

*Les temps sauvages. J. KESSEL.

Tout a commencé, en 1918. Aux premiers jours d'octobre …/…la minute même où la guerre s'arrêtait.

*sans commencement et sans fin. M de MONTAIGNE.

Un individu …/…de la vanité

*l’heure de s’enivrer. H.REEVES

Des phoques et des soldats…/…physiciens de notre siècle.

*retour au Meilleur des Mondes. A.HUXLEY.

L'essence du bel esprit peut devenir la substance même du …/…devient presque inévitable.

*Lettres à Lucilius. SENEQUE

Fais-le, mon cher Lucilius : affirme …/…de nouveau au jardin d'Epicure.

*Maximes. LA ROCHEFOUCAULD

Ce que nous prenons pour des vertus n'est souvent qu'un assemblage de diverses actions et de divers intérêts…/…la politesse de l'esprit consiste à penser des choses honnêtes et délicates.

*Du contrat social. J.J. ROUSSEAU.

La plus ancienne de toutes les sociétés et la seule naturelle est celle de la famille…/…ils sont employés dans toute leur précision.

*le hasard et la vie. M.ORAISON.

Gorgé de chimie moléculaire, la tête bourdonnante d’enzymes…/…quand il s’agit de savoir ce qui se passe pour l’homme.

*Face aux imposteurs. G.BERNANOS

Il faut d'emblée en convenir : si on lui avait dit…/…affirme l'écrivain dans nous autres Français.

*Le Vrai Classique du Vide Parfait. Lie-TSEU

Maître Lie Tseu habitait dans un jardin à Tcheng, il vivait là en inconnu …/... quand n'y a-t-il pas vol ?

*Soumission à l'autorité. S.MILGRAM

L'obéissance est un des éléments fondamentaux de l'édifice social…/…il n'en dormira pas moins bien pour autant.

*De la Démocratie en Amérique. A de TOCQUEVILLE

Parmi les objets nouveaux qui pendant mon séjour…/…j'ai voulu songer à l'avenir.

*Ces liens qui nous font vivre. R.SHANKLAND et C.ANDRE.

(p81) Pour être attentif à l’autre, comment fait-on ? accorder de l’attention continue, cela veut dire mettre de côté tous les écrans…/…(confiance, sentiment d’être aimé de manière inconditionnelle, d’être accepté) et même la dimension existentielle.

* L'empire et les nouveaux barbares. J.C.RUFIN

Nous avons eu très peur.../...la civilisation libérale et démocratique.

*Les consolations de la Philosophie A. de. BOTTON

Il y a quelques années, pendant un âpre hiver new-yorkais, ayant quelques heures…/…nous pouvons nous tourner vers ce philosophe.

*Mondialisation et relocalisation. M.HALEVY.

(p37) dans la majorité des cas, facebook et consorts sont l’expression le plus massive de la grégarité des médiocres…/…Ce problème est global, mondial, mondialisé, qu’on le veuille ou non.

Commentaires :

 

- nous l'avons organisé une fois par mois chez nous, même les enfants sont attirés, avec d'autres textes.

GARD. Pierre et Marie P.

 

- une bonne occasion de ranger le portable, excellente idée.

Pays Bas. J. Huet.

 

- repos de l'esprit, parfois tous les quinze jours.

Angoulême. Sophie et Alain M.

- une initiative à renouveler.

Charente. Masson A.

 

- nous nous retrouvons régulièrement avec plaisir et de la matière pour l'esprit…

Paris. Aurélie Lejeune.

- bravo à tous ces sites comme celui-ci qui lancent l'alerte sur la pollution numérique.

David J.M. Charenton

 

- je suis effrayé par tous ces gens qui marchent l'air hagard les yeux rivés sur leur "smartphone", il a quelque chose d'intelligent ? Vous devriez nommer cette page de votre site Répart par la lecture peut-être ? Cela devient un grand problème de santé publique.

Catherine. L. à Versailles.

 

- allez les parents, faites un effort, montrez l'exemple.

Guy. Bleau Drôme.

- quand on regarde parfois les chaînes de télévision, même les journalistes n'écoutent plus le présentateur, ils attendent les messages de"X". Effrayant.

Adrien. N. Pas de Calais.

​- Walking Dead vous connaissez ? Ils traversent n'importe où les yeux sur l'écran. Vous croyez qu'ils pourront s'en sortir ? Sabrina. M.  à LYON.

- les parents ? Mais lesquels en sont encore capables, quand je les vois même dans les musées. J. HOCHET à Paris.

- de belles rencontres à développer avec les amis et les amis de nos amis en chair et en os… Marc à Langogne.

- grands-parents, parents, enfants, tout le monde participe. Un groupe de lecture, des échanges sans oublier le maître des horloges, il suffisait d'y penser. Y.Leprince à La Rochelle.

- j'ai abandonné les réseaux sociaux pour retrouver mes neurones. Ces café-lecture sont vraiment salutaires. Pascal C. Poitiers.

- je me souviens de ces sectes qui florissaient dans les années 1970-1980. Elles n’ont pas pu toutefois bousculer la société comme le font les réseaux sociaux aujourd’hui. Le pire est que certains enfants de cette époque, que j’ai eu en classe, ont grandi dans cette ambiance « numérique » et ont perdu toute forme de jugement. Incapables de prendre du recul ils jettent l’anathème sur n’importe qui. Si les parents en organisant ces lieux de lecture pouvaient apporter du bon sens et recréer une société vivable, je souscris. Il faut lire Camus pour apprendre à respecter l’autre. Mais combien savent lire véritablement aujourd’hui ?  André. M. (ancien professeur des écoles). Toulouse.

- ceux qui ferment les yeux sur cette violence quotidienne, vont être les premiers surpris.

Jean Paul F à Bagneux

- Il suffit de faire une fois l’effort et on ouvre des perspectives plus saines.

Au moins les gens se parlent.

Gaëlle H (Finistère)

- L’Académie Française a souligné les dangers que présente l’abandon total des méthodes d’enseignement telles que la réflexion, la logique et la mémoire, c’est le « portable » qui sert de béquille et corrige l’utilisateur. Celui-ci ne se rend même plus compte qu’il perd peu à peu ses capacités relationnelles. Les nouvelles générations deviennent muettes devant le monde. Jacques F. LYON

- Ce sont des moments humains dont nous avons besoin aujourd’hui. Maxime P. à Jonzac

- Il faut réapprendre à lire, à écrire et à compter. La famille explose, quant à l’école…le nombre de ministres incompétents est effarant. La pédagogie s’est effondrée sous les coups de l’artificielle intelligence. Lisez « Main basse sur l’éducation Nationale »vous comprendrez pourquoi nous en sommes là. En tous les cas continuez. Frédéric A. Paris.

- Je profite du message de Frédéric. A, pour vous appeler à jeter un œil sur le programme « Evars ». Un « cours » fait par des intervenants dans les écoles depuis 2017. Un cours hors sol, intrusif, qui déstabilise le psychisme des enfants en ne tenant aucun compte des principes pédagogiques. On s’étonne de la dérive sociétale ? Allez voir le site « SOS EDUCATION ». Pierre Marie G. à Bayonne.

- Le monde se divise aujourd’hui en deux catégories, d’un côté les esclaves du virtuel qui disparaitront sans comprendre les enjeux géopolitiques ou philosophiques, de l’autre les lecteurs de La Boétie, Orwell ou Bernanos. Nous sommes tous sur le même bateau sans possibilité de fuir ses responsabilités. Maryse R. à Bordeaux.

- Lorsque l’éducation baisse les bras dans la lutte contre la désinformation des réseaux sociaux il y a de quoi s’inquiéter pour le futur de la civilisation démocratique. Elle a oubliée l’une de ses missions, cultiver la pensée critique principalement à travers le livre. Les adultes sont les premiers responsables, « après moi le déluge ». C’est apocalyptique. Ils ont oublié leurs enfants. Tant pis ? Alma B à Orléans.

​- Ces « générations numérisées » n’ont plus le pouvoir de s’intéresser à d’autres domaines comme l’art, la culture encore moins la philosophie alors la lecture, vous plaisantez. Le « scroll » est leur principal centre d’intérêt. Christophe M. Palaiseau.

- Essayez de présenter à un enfant un portable et un livre, devinez vers où se tourne son regard, et surtout pour certains parents leur progéniture n’est plus le souci principal, alors un portable c’est bien pratique, va jouer je vais faire du vélo… Bon courage. Lionel A à Versailles.

- l’une des sources pour ne pas dire la source de l’ensauvagement de notre société provient du smartphone. Les parents se débarrassent de l’éducation de leurs enfants avec cet engin. Il devrait être interdit aux moins de quinze ans et stoppé à la porte des écoles. Parents allez à la médiathèque vous trouverez d’autres motivations pour vous et vos enfants, c’est urgent.  Florence L à Epinay

- nombre d’adolescents n’écoutent plus que leur paresse, se bourrent le cerveau de numérique à travers leurs écrans sans rien apprendre. C’est peut-être parce que leurs vies semblent vides qu’ils parlent, seuls, avec ce qu’ils appellent les réseaux sociaux. Mais ils restent seuls. Marc P. Montpellier.

- depuis plus de quarante ans, de par mon métier, je soutiens un certain nombre de jeunes et moins jeunes dans leurs parcours. Je constate une nette différence dans leurs réflexions entre ceux qui lisent et ceux qui passent leur temps à être influencés par ces "fameux" réseaux sociaux. Certains d’entre eux ne savent plus s’exprimer correctement et ont perdu toute forme de respect. Je dois dire que je suis pessimiste quant à leur avenir, quelles sociétés préparent-ils, des dictatures ? Pascal D à Paris.

- cette génération Z n’a connu qu’un monde entièrement numérique et aujourd’hui complétement polarisé. Ce sont les réseaux asociaux qui façonnent leur esprit critique et c’est l’époque de la consommation de l’information. Le grand danger du portable c’est cette information biaisée qui favorise nos tendances. La gen Z n’a plus la capacité de questionner et de se questionner sur une idée, une prise de position philosophique ou politique. Le discours de l’autre est devenu inaudible. Cette proposition de « Café Lecture », me paraît une bonne piste pour inverser cette forme de repli sur soi. Bravo. Viviane. Legros. Brest.

- merci pour cette proposition. Un bon moyen pour se détacher du sectarisme. Didier R dans la Somme.

 

 

 

 

L'homme libre ne pense à rien moins qu'à la mort et sa sagesse est une méditation, non de la mort, mais de la vie. B SPINOZA

visiteurs

© Copyright
statique
0 6 4 1 6 5 5 2
bottom of page