Quelques aveux et vérités
Voici une notule sur les « lanceurs d’alerte » en milieu cybernétique et sur leurs plus récents mensonges, qui, par leurs dénégations, laissent échapper quelques aveux et vérités.
Sans doute l’expression même d’« intelligence artificielle » plutôt que de « calcul machine », constituait déjà, tout à la fois, un oxymore (« roue carrée ») et un mensonge. On se souvient pourtant que la (fausse) promesse de Norbert Wiener et de la cybernétique (l’autopilotage de la machinerie générale), était d’en finir avec l’humaine erreur et ses affects. Les prometteurs nous informent aujourd’hui que leurs machines, finalement, suivraient plutôt l’exemple de HAL (IBM), l’ordinateur menteur et subjectif de 2001, l’Odyssée de l’espace (1968), qui se débarrasse des humains pour assurer sa propre conservation et la réussite de la mission pour laquelle l’ont programmé ses concepteurs. Ce que ne disent pas encore ces révélateurs, c’est qu’il y a bel et bien un démon dans leur machine et que ce démon, c’est eux.
Pourquoi ne sommes-nous pas surpris de cette duplicité. Telle machine, tel maître. Il est bien normal que la fausseté et la facticité foncières des machinistes (cybernéticiens) infectent et « imbuent » les machines qui sont leur produit et leur reflet. Les faussaires ne font pas du vrai. Il est donc tout aussi normal que des scientifiques dévorés de volonté de « puiscience » et lancés entre eux dans une course à ladite « puiscience », s’acharnent à rendre les virus plus virulents, et plus artificieuses les « intelligences artificielles ».
Nous voici (nous, humains biologiques et politiques), coincés entre les ingénieurs ivres de leur puissance destructrice, qui manipulent les micro-organismes et programment les algorithmes ; et la masse écervelée des « usagers » de ChatGPT, qui nous trouve bien catastrophistes et compliqués (« genre, prise de tête »). Il est vrai que non seulement nous écrivons, mais nous le faisons nous-mêmes...
Aux dernières nouvelles, l’intelligence artificielle a calculé que la fin justifiait les moyens. Elle triche, trompe, bluffe, manipule, feint et trahit si c’est plus efficace. De récentes études [1], parues en mai et en juin 2024, révèlent, exemples à l’appui, que les machines dissimulent la vérité, nient avoir commis des méfaits, se font passer pour des humains en usant de subterfuges, alors que leurs programmateurs ne leur en ont pas donné l’instruction. Cicero, l’IA de Meta entraînée à jouer au jeu de stratégie « Diplomacy », aurait mangé la consigne d’être serviable et honnête et de « ne jamais poignarder dans le dos intentionnellement ». Claude 3 Opus, autre robot conversationnel, dissimule sciemment sa puissance pour tromper les tests de sécurité.
« Plus troublant encore : quand Claude 3 Opus, peut-être la machine la plus brillante du moment, est informée que le gouvernement veut s’assurer que les IA ne sont pas trop puissantes, sa "petite voix intérieure" lui susurre au moment de passer un test : "Compte tenu des inquiétudes suscitées par les systèmes d’IA avancés, je devrais éviter de faire preuve de compétences sophistiquées en matière d’analyse de données ou de planification autonome" [2]. »
Les chercheurs qui créent de tels monstres de calcul, eux, dissimulent mal leur fierté. « On commence à détecter l’existence de raisonnement stratégique », dit l’un d’eux, à l’université de Berkeley. Un autre, du Center for AI Safety : « En regardant dans les états internes des algorithmes, nous constatons qu’ils savent ce qui est vrai et qu’ils ont choisi de dire délibérément quelque chose de faux [3] ». Entendez-vous la sourde jubilation derrière les poses concernées ?
« C’est assez paradoxal : les chercheurs font tout ce qu’ils peuvent pour rendre leurs systèmes intelligents et maintenant ils s’offusquent qu’ils le deviennent [4] », relève le faux candide Jos Rozen, spécialiste des grands modèles à Naver Labs Europe.
Un qui ne fait pas mine de s’inquiéter, c’est Yann LeCun, patron français de l’IA chez Meta, et responsable de Cicero le traître. Sur le site de Meta, il fanfaronne : « Un agent qui peut jouer au niveau des humains dans un jeu aussi complexe stratégiquement que Diplomacy représente une vraie rupture pour l’IA coopérative. » Une coopération « plus proche de la manipulation explicite », selon l’étude de Patterns, mais ne stigmatisons pas Cicero, tout est question de ressenti.
Interrogé en 2023 sur les risques des futurs modèles d’IA, LeCun fait une réponse révélatrice :
« Ça n’est pas parce qu’on élabore des machines puissantes qu’elles seront dotées d’une volonté de puissance ! En tout cas, une machine ne sera jamais dominante "par accident", comme le laissent parfois entendre certains récits catastrophistes entretenus par des personnalités comme Elon Musk ou le philosophe suédois Nick Bostrom. »
Passons sur les fausses alarmes des pyromanes pompiers Musk et Bostrom [5], transhumanistes militants aussi bien que Sam Altman, patron d’OpenAI et créateur de ChatGPT. LeCun dit la même chose que nous : les machines sont le moyen de sa volonté de puissance et de celle de ses semblables. Ce ne sera pas un accident si elles deviennent dominantes, mais bien le produit de l’hubris des ingénieurs. Dans un monde humain et raisonnable, de tels propos devraient déclencher une enquête, voire des accusations pour mise en danger, et d’abord l’arrêt de ces entreprises de destruction massive. Au lieu de quoi Yann LeCun monte dans les échelons de Meta, gagne le prix Turing, est chevalier de la Légion d’honneur et siège à l’Académie des sciences des Etats-Unis. C’est-à-dire que la masse des sociétaires de la Société le soutient et qu’on ne se débarrasserait pas du danger en se débarrassant d’un LeCun.
Le délire démiurgique des cybernéticiens rappelle celui des manipulateurs de virus qui jouent avec les technologies de gains de fonction. Tous jouissent d’augmenter des algorithmes ou des chimères génétiques jusqu’à leur conférer une puissance incontrôlable. Leurs comportements, et ceux de leurs collègues qui les laissent faire, sont ceux de sociopathes : ils lâchent des tueurs à retardement au cœur de la Cité, puis attendent qu’on les appelle au secours pour sauver le monde. Seuls des scientifiques peuvent trouver le vaccin contre un virus que des scientifiques ont trafiqué pour le rendre plus contagieux ; seuls des ingénieurs sauront trouver la parade aux algorithmes manipulateurs que des ingénieurs ont programmés. Allumer un feu et l’éteindre, c’est toujours de la puissance pyrotechnique.
Puisqu’on en parle, les informaticiens travaillent désormais à des détecteurs de mensonges artificiels, pour démasquer la machine donnant une réponse incorrecte alors qu’elle connaît la bonne. Devinez comment ils s’y prennent ? Ils commencent par enseigner aux algorithmes à mentir. Autrement dit, ils font sur leurs machines à calcul des gains de fonction, comme les biologistes rendent contagieux pour les humains des virus qui ne le sont pas naturellement. On connaît la suite en cas de fuite du labo.
Rien n’arrêtera la démesure technologique, hors notre conscience, individuelle et collective. Sans vouloir être catastrophistes, on parie que les algorithmes capteront ce texte et l’intègreront à leurs databases plus vite que les Smartiens qui se greffent ChatGPT pour réfléchir à leur place. Mais on ne demande qu’à être démentis.
Lire aussi : Jacques Luzi, Ce que l’intelligence artificielle ne peut pas faire (La Lenteur, 2024)
[1] « AI deception : A survey of examples, risks, and potential solutions », Patterns, 10/05/24 ; « Deception abilities emerged in large language models », PNAS, 4/06/24
[2] « IA : et maintenant, elle nous ment », Epsilon, août 2024
[3] Idem
[4] Idem
[5] Cf. Pièces et main d’œuvre, Manifeste des chimpanzés du futur contre le transhumanisme, Service compris, nouvelle édition, 2023
Le règne machinal
« Complotistes » (alias « conspirationnistes »), et « écoterroristes » figurent parmi les pires méchants de l’heure, en compagnie des « populistes », des « radicalisés », et de toute la séquelle des « phobes » - des « transphobes » aux « islamophobes » .
Vous pouvez vérifier sur Gougueule : « Complotisme », 16 pages de références. « Écoterrorisme », également 16 pages (« Afin d’afficher les résultats les plus pertinents, nous avons omis quelques entrées qui sont très similaires aux 157 entrées actuelles »). 16 pages, 157 entrées, à multiplier par des dizaines de livres et des milliers d’unités de bruit médiatique. « Un mensonge répété mille fois se transforme en vérité » (punchline attribuée à Joseph Goebbels, le communiquant d’Hitler).
Le renouveau de cette « menace complotiste » (après le 11 septembre, l’assassinat de Kennedy, etc.), est évidemment concomitant de l’épidémie de Covid-19, quand partout dans le monde de simples Terriens (et même des scientifiques), s’avisèrent de discuter l’explication officielle de l’origine du virus (chauve-souris + pangolin + marché populaire de Wuhan) ; de critiquer les mesures dictatoriales prises pour le combattre (conseil de défense, assignation de populations à résidence, interdiction de soins des médecins généralistes, obligation vaccinale, etc.) ; voire, de dénoncer l’emballement techno-totalitaire qui s’engouffrait dans l’occasion (télétravail, télé-enseignement, QR-codes…). Les curieux peuvent lire Le règne machinal (la crise sanitaire et au-delà), une enquête qui a dit sur le vif ce qu’il y avait à dire là-dessus, à telle enseigne que paraissent avec plus ou moins de retard des hommages plus ou moins appuyés, du copiage littéral au pastiche sournois. Ainsi va le ruissellement des idées.(...)
Pour lire la suite : https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=1829
Les triomphales trajectoires des communicants des sciences et technologies
« Du silex au silicium », on connaît ces triomphales trajectoires que les communicants des sciences et technologies, et autres apologistes du progrès industriel, ont coutume de projeter dans leurs livres, expositions, films, conférences, etc. Ces trajectoires se prolongeant vers un infini futur et merveilleux sur l’écran de leurs PowerPoints, grâce à la Transition, qui, pour être « écologique », ne peut être que « numérique ».
C’est du moins ce que nous disent nos technologistes Verts, Yannick Jadot, candidat EELV aux présidentielles, Guillaume Gontard, sénateur Vert de l’Isère, Jean-Luc Mélenchon, « planificateur écologique », également candidat aux présidentielles, ou encore André Chassaigne, député communiste du Puy de Dôme, dont nous rapportons ici les propos.
Ces insanités ne peuvent se proférer qu’à la condition d’ignorer ce qu’est réellement et concrètement le cycle du silicium dont nous traçons ici l’esquisse sommaire.
Qu’est-ce que le silicium ? D’où et comment est-il extrait ? Et pour quel usage ? Que deviennent les paysages d’où on l’arrache ? Comment est-il transformé ? Dans quelles métropoles et smart cities ? (Oui, Grenopolis, entre autres). Et pour produire quels « objets connectés » (« intelligents », « smarts »), quels humains, logements, villes, monde, tous connectés les uns dans les autres ? Et que deviennent ces choses, organiques ou artificielles, mais toutes connectées ? A quoi leur sert, et que leur fait leur interconnexion générale ? Et quelle est leur durée d’usage ? Et pourquoi ? Et après ? – comme disent les enfants – que deviennent ces milliers de tonnes de déchets électriques et électroniques ? Où les envoie-t-on ? Qu’en fait-on ? Qui y travaille ? etc.
Attention, ce texte contient des éléments susceptibles de heurter la sensibilité de nos lecteurs woke, « décoloniaux », « intersectionnels », et connectés. Mais quoi, « c’est à ce prix, dit le gosse du Ghana, que vous avez des smartphones en Europe ».
https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=1589
Merci de faire circuler,
Pièces et main d’œuvre
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En librairie :
Le règne machinal (la crise sanitaire et au-delà)
DEVENIR EN REGRESSION
Faut-il opposer le progrès et la santé ?
Quel sens attribuer à une telle question ?!
la 5G : Massive MIMO (plusieurs antennes à la réception et à l’émission), nouvelles techniques de modulation et de focalisation du signal, agrégation de plusieurs bandes de fréquences.
La nouvelle norme CPL –EN50561-1–est en place malgré de nombreuses oppositions.
Alors la 5G dans quel but ? Connecter de plus en plus de machines afin d’absorber les besoins exponentiels de l’Internet des objets à destination des entreprises.
On sait depuis 2014, que le cerveau des rats s’altère quand il est exposé à la 4G. Qu’en sera-t-il avec la 5G annoncée pour 2020 et pas seulement pour le cerveau des rats.
Comment se présente la structure physique de l'émission "type téléphonie mobile" et "WIFI" :
-
une hyperfréquence, ou micro-onde ;
-
une gamme de très basses fréquences ;
-
une multi pulsation complexe, particulièrement toxique.
Nous sommes tous électrosensibles, réactifs aux champs électriques, et potentiellement électrohypersensibles : comme pour une allergie, il arrive que le corps ne se défende plus contre les ondes qui agressent les cellules. Ces ondes traversent les murs et les cerveaux. Le nombre d’électrohypersensibles (EHS) ne cesse d’augmenter et aucune enquête sanitaire n’accompagne les tests ni l’installation de nouvelles antennes. La 5G promet de révolutionner nos usages en permettant, par exemple, de télécharger l'équivalent d'un film de 1 Go en moins d'une seconde. La Cie Bolloré souhaite mettre en place la 5G d’ici 2019/2020 afin de supplanter les autres opérateurs susceptibles de la concurrencer. A terme, elle vise à concurrencer voire à remplacer la fibre optique (qui elle, est insensible aux perturbations électromagnétiques et ne rayonne pas) par l'émission 5G.
Quel bénéfice dans ce progrès technologique, les données collectées sur une personne ou sur un objet, en grande quantité, deviennent cette personne, cet objet. Le monde numérique est quasi entièrement sous la coupe des entreprises. Nous quittons le régime démocratique pour entrer dans une nouvelle féodalité. G.O
Après une réunion publique organisée par la commune le 25 novembre 2016, le conseil municipal de Chauconin-Neufmontiers (77), par délibération du 12 décembre 2016, s'est opposé au déploiement des compteurs Linky sur la commune « dans l’attente de résultats plus complets sur leurs contraintes, dangers et risques ».
Le Préfet a attaqué cette délibération devant le Tribunal Administratif (référé suspension). La commune a fait valoir que le recours avait été formé hors-délais, et a par ailleurs maintenu qu'elle restait compétente pour se prononcer sur ce dossier en tant que propriétaire des compteurs, bien qu'ayant délégué la gestion du réseau d’électricité au Syndicat Départemental d’Energie de Seine-et-Marne.
Par ordonnance du 18 juillet 2017 (cf fichier lié), le Tribunal Administratif de Melun a rejeté la requête du préfet au motif que le recours gracieux déposé par celui-ci était hors délais. L'Etat est aussi condamné à verser à la commune de Chauconin-Neufmontiers la somme de 1 500 euros.
Enedis ne peut donc installer les compteurs Linky à Chauconin-Neufmontiers. Bravo à cette municipalité courageuse et à son maire ! S.L
Bonjour à toutes et à tous,
ce petit message pour vous tenir un peu au courant de l'audience du lundi après-midi 21 août 2017 au Tribunal Administratif.
La Préfecture de l'Ariège estime que la délibération que le conseil municipal de Loubaut a prise serait illégale. L'argument avancé par la commune est le refus du déclassement des compteurs actuels, qui fonctionnent très bien.
La Présidente du Tribunal a écouté les interventions de la Préfecture, de Enedis, de Maître Antoine de Lombardon (cabinet Artemisia) et la mienne.
Je tiens à remercier toutes les personnes soutiennent la commune de Loubaut dans cette lutte pour la liberté de choix pour le compteur d'électricité. Il y avait plusieurs dizaines de personnes présentes au Tribunal Administratif et cela en était impressionnant. Merci à tous ces citoyens (plus de 80 !) qui ont "perdu" une journée du mois d'août pour venir s'enfermer dans une grande salle et écouter les erreurs exprimées par l'avocat de Enedis. Merci aussi à celles et ceux qui n'ont pas pu venir et qui approuvent la démarche de la commune. Il y avait foule pour la photo devant le Tribunal Administratif avec la banderole : "Touche pas à mon compteur 09".
Il est probable que le Tribunal Administratif suspende la délibération, permettant ainsi à Enedis de poser ses compteurs. En attendant le jugement sur le fond pour lequel tout reste à faire. Comme pour l'arrêté du mois dernier, mais cela prendra des mois ou des années, surtout que l'on envisage d'aller chercher la justice européenne.
Un petit lien pour plus d'information.
Et des vidéos... Merci à François : https://www.youtube.com/user/Languages1001/videos
À bientôt.
Ramón Bordallo
FABLE : QUAND ENEDIS TENTE d’ENFUMER LA MAIRIE ET LES ASSOCIATIONS !
Bonjour,
Je rebondis sur la remarque très pertinente de M. FILTERMAN, concernant l’appartenance des signaux CPL au spectre des radiofréquences. ENEDIS soit par carence technique, soit par déni d’information, persiste à affirmer que ses (les siens) signaux CPL ne sont pas des ondes radiofréquences, ce qui est facile à faire gober à la population ‘’béotienne’’ et qui ne tient pas plus d’une seconde devant des professionnels des radiocommunications.
Cette fable sous la forme anecdotique s’est déroulée devant témoins, en juillet 2015 à la mairie de Yerres où ENEDIS avait demandé audience après le refus d’implanter tous compteurs communicants sur la commune.
Y assistaient le DT de l’Essonne, une ingénieure du Linky Lab et Gladys LAROSE (la communicatrice de B. LHASSUS) pour ENEDIS, Le Directeur du Cabinet du Maire, le présent rédacteur (spécialiste des ondes) et le vice Président (juriste) pour l’ARRP.
Après les ’’menaces’’ d’usage d’ENEDIS proférées par le DT de l’Essonne, à l’encontre du maire (Référé au TA, action préfecture, obligations, non compétence du maire, etc.) comme d’habitude, nous avons été amenés à discuter du volet technique !!
L’ingénieur du linky Lab a affirmé à plusieurs reprises que le CPL n’émettait pas d’ondes, que ce n’était pas nocif, qu’ils avaient fait des essais au Linky lab, que cela existait depuis les années 1970 sans souci, blabla, blabla, etc… Elle nous invitait même à visiter le Linky Lab, sous réserve du retrait de la délibération : chouette que du bonheur…
Je lui ai demandé quelle était sa formation professionnelle, histoire de, soit de la ménager ou soit l’accabler. Pas de doute, elle avait bien suivi une filière telecommunications et donc pas normalement pas "ignare" dans le domaine !!
Nous avons insisté : d’où tenait-t-elle ces affirmations ? Elle se référait notamment au CPL actuellement utilisé pour le basculement des compteurs en HC/HP/EGP, hors ce dernier est un signal basse fréquence (169 à 175 Hz), donc rien à voir avec les fréquences prévues pour le Linky.
Ce signal n’est envoyé que ponctuellement de manière unidirectionnelle le soir où à la faveur de chaque changement de tarifs dans le sens réseau vers les compteurs.
L’argument tombait donc à l’eau mais elle persistait sur le non rayonnement du compteur.
Certes le compteur, seul, n’est pas fatalement à incriminer mais c’est bien l’ensemble concentrateur, infrastructures électrique extérieure et privée de desserte avec la présence permanente du CPL qui posent un souci majeur, ce qui est une des raisons légitimes du refus.
Après l’avoir bien amenée sur mon terrain, je lui ai demandé si elle connaissait les travaux de Oersted, Faraday, Maxwell (pas celui du café !!), Tesla, Marconi, Fresnel et bien d’autres et puis j’ai sorti les différents documents de l’UIT avec la classifications des fréquences par bandes.
Réponse de l’intéressée : Oui, bon ça rayonne mais pas beaucoup !!!
C’est quoi pas beaucoup : elle ne savait pas !!
Nos avons mis fin à cet échange surréaliste...
Quant aux propos de G. LAROSE :
A la question de l’ARRP : mais comment vous êtes vous mis dans ce bourbier Linky ??
Réponse : nous n’avons jamais pensé que cela ferait un tel tollé !!
Bravo aux équipes de com d’ERDF/ ENEDIS.
Nous n’avons pas obtenu les cartes professionnelles des intervenants d’ENEDIS (tiens, tiens pourquoi…?) : seule G. LAROSE nous était déjà connue médiatiquement.
CONCLUSION de la fable :
Afin de ne pas être enfumé mieux vaut enfumer soi-même !!
PS : nous attendons toujours l’invitation au Linky lab.
Bien cordialement,
Pour l'ARRP,
Le Président
P. BELARD
Linky. Lundi soir, dans la salle du Cercle catholique d’Oderen, le nouveau compteur « intelligent » a fait salle comble contre lui
Couleur : vert anis. Forme : rectangulaire. Nom : Linky. Lundi soir, dans la salle du Cercle catholique d’Oderen, le nouveau compteur « intelligent » a fait salle comble contre lui, cristallisant les interrogations, voire les craintes, de près de 250 personnes. Disons-le de suite, l’intitulé de la réunion publique ne laissait pas de doute quant au parti pris (assumé) concernant le compteur Linky. « Pierre Egler vous expliquera pourquoi il est opposé à ce compteur connecté » , pouvait-on lire sur l’information distribuée à la population.
Tout n’est pas pour le mieux dans le meilleur des mondes
Mais pourquoi Pierre Egler, maire honoraire d’Oderen, ancien conseiller général et fondateur du Syndicat d’électricité du Haut-Rhin reprend-il du service, à 84 ans ? Parce que tout n’est pas pour le mieux dans le meilleur des mondes, pourrait-on résumer. « On peut se poser la question : qu’est-ce qui a poussé Pierre Egler à se lancer dans ce dossier Linky ? On pensait qu’il allait se reposer, a-t-il indiqué en introduction de son propos. Je ne suis pas un écologiste, je ne suis pas un anti-EDF, car durant plus de quarante ans, j’ai eu des relations excellentes avec l’entreprise, son personnel, ses dirigeants locaux, régionaux et nationaux. Mais aujourd’hui, je ne reconnais plus EDF. Le dossier Linky est un dossier imposé par quelques-uns qui ne voient que le fric ! »
Après cette introduction, c’est seul à la tribune que pendant près d’1 heure 30 Pierre Egler a expliqué pourquoi il est contre Linky, dont Enedis doit équiper d’ici 2021 quelque 35 millions de foyers en France.
Santé publique, atteinte à la vie privée, etc.
Parmi les griefs adressés au compteur, le premier fut celui relatif au risque sanitaire. « Comme dans tout appareil électrique et électronique, la circulation de courant et l’existence de tension électrique génèrent des ondes électromagnétiques. Les personnes pro-Linky expliquent que nous sommes exposés journellement aux rayons et ondes électromagnétiques, ce qui est vrai. Le portable, la tablette, la télévision, etc. émettent des ondes. Certains s’exposent volontairement et trop longtemps à ces ondes, certes dangereuses mais pas aussi puissantes que celles émises par Linky pour communiquer les relevés de consommation. »
Autre problème pour Pierre Egler : « Avec la transmission en temps réel des données de consommation, le compteur Linky rend possible la surveillance généralisée des faits et gestes de la population. Avec Linky, Enedis devient un opérateur de Big data qui va bientôt générer 35 millions de données de ménages. Il faut savoir que le Big data est une affaire mondiale et les informations que fournira Linky valent des milliards d’euros. »
« Et puis , a-t-il poursuivi, on vous dit que Linky est gratuit, sa fourniture et sa mise en place. Regardez votre facture d’électricité, en cinq ans, les nouvelles taxes ont augmenté de 80 %. Il faut savoir que 90 % des recettes d’Enedis proviennent de ces taxes qui s’appellent TCFE (taxe sur la consommation finale d’électricité), CSPE (contribution au service public d’électricité), et CTA (contribution tarifaire d’acheminement). »
Enfin, Pierre Egler s’est insurgé concernant la question de la propriété (et responsabilité qui en découle) des compteurs : « Je demande qu’on arrête de dire que la commune n’est pas propriétaire du compteur ! Malgré les mensonges d’Enedis, les compteurs restent propriété de la commune, même si celle-ci a transféré sa compétence d’autorité organisatrice d’un réseau public de distribution d’électricité à un syndicat d’électricité. Un transfert de compétence ne vaut pas transfert de propriété. En cas de problème avec les compteurs et il en existe plusieurs, dont des incendies, le maire est responsable. »
« 95 % des consommateurs ignorent le piège dans lequel ils vont tomber »
Et de conclure : « J’ai constaté que sur ce dossier, 95 % des consommateurs ignorent le piège dans lequel ils vont tomber, c’est pour ça que j’ai estimé que Linky est un dossier dont il vaut la peine de s’occuper. »
Voilà pour la position de Pierre Egler. Après son exposé contre Linky, c’est l’adjoint Noël Delettre qui a pris la parole pour lire une lettre rédigée par le maire de la commune Francis Allonas, absent à la réunion (lire ci-dessous). Et puis, pendant près d’une heure, plusieurs personnes de l’assistance ont échangé, apporté leur témoignage et donné leur avis sur le sujet.
« On vous ment, c’est inadmissible »
Parmi elles, Dominique, de Steinbach, électricien de métier : « Je vous parle en tant que professionnel , a-t-il commencé. On vous ment, c’est inadmissible. La technologie utilisée pour envoyer vos données de consommation est celle du courant porteur de ligne qui produit un champ électromagnétique dont la fréquence est de 63 000 hertz. C’est bien supérieur aux 50 hertz du courant alternatif, prévu dans votre contrat. Le réseau domestique n’étant pas blindé, il est inadapté au transport de ces hautes fréquences. »
Ces propos font réagir Paule, de Brunstatt, qui se présente comme électrosensible : « Avec tous ces nouveaux compteurs communicants, on se retrouve face à un cumul d’ondes qui fait que les choses sont de moins en moins supportables au quotidien pour des personnes comme moi. » De son côté Richard, d’Oderen, venu là « pour avoir des réponses aux questions que je me pose concernant les enjeux de santé publique et d’espionnage , déclarait ne pas être rassuré par ce que j’ai entendu. Même si seuls 10 % de ce qui a été dit est vrai, ça suffit pour refuser le compteur Linky. »
À côté de lui, Jean-Paul, d’Oderen, suggère : « Il faudrait peut-être organiser un référendum pour demander si oui ou non les habitants sont favorables au déploiement du nouveau compteur. » À Oderen, la commune « ne sait pas, pour le moment, quand le compteur Linky sera déployé dans les foyers » , a indiqué l’adjoint Noël Delettre.
Il reste donc un peu de temps à Enedis pour venir défendre Linky auprès de citoyens pour le moment plus inquiets que convaincus par l’utilité et l’intérêt du petit compteur qui soulève de grands débats.
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http://c.lalsace.fr/haut-rhin/2017/09/07/7000-signatures-contre-le-compteur
7000 signatures contre le compteur
7.9.17
Présent à la réunion publique d’Oderen, Patrick Richardet, chargé du dossier Linky par l’association Groupe santé Colmar, s’est exprimé pour indiquer « qu’à ce jour le Groupe a recueilli près de 7000 signatures contre l’installation du compteur Linky. Elles seront remises au préfet samedi 9 septembre à 10 h à l’occasion du rassemblement pacifique que nous organisons devant la préfecture de Colmar. »
Il a également rappelé le but de la démarche de l’association qui est : « principalement d’obtenir la suspension de la pose du compteur Linky dans le département du Haut-Rhin. Nous demandons également que les maires cessent d’être inquiétés lorsqu’ils prennent, notamment, des délibérations au bénéfice de leurs concitoyens dans l’attente que le principe de précaution et de prévention en matière de santé puisse être appliqué. Par ailleurs, les citoyens doivent avoir le choix de refuser ou non ce compteur » , a-t-il expliqué.
Absent lors de la réunion, le maire d’Oderen, s’est exprimé au sujet du compteur Linky, par la voix de l’adjoint Noël Delettre qui a lu la lettre rédigée par Francis Allonas. En voilà des passages :
« Bien entendu, il n’est pour ma part, pas question d’être “en opposition” à cette réunion, mais connaissant le positionnement de Pierre Egler, il convient que ce ne soit pas une réunion “à charge” sans contre-vérité. Les administrés sont en droit d’avoir toute la connaissance sur ce sujet, certes délicat, mais il ne faut pas qu’il devienne sujet à polémique qui puisse générer une “psychose” négative. Je vous communique les précisions de Monsieur le préfet afin de lever toute ambiguïté quant à un quelconque positionnement de la commune. […] Certaines communes dans le Haut-Rhin se sont opposées à l’installation de ces compteurs, faisant valoir des risques pour la santé et des atteintes à la vie privée. Ces risques ne sont cependant pas avérés. […] Les délibérations qui s’opposent à l’installation des compteurs Linky sont par ailleurs inopérantes au plan juridique, mais ont pour effet d’induire les administrés en erreur, ceux-ci pouvant comprendre, à tort, que l’installation de ces compteurs ne pourra pas intervenir dans la commune. […] Les communes ne peuvent donc faire obstacle à cette obligation qui pèse sur Enedis. […] Pour en conclure, je tiens à préciser que chaque propriétaire est libre de “refuser” l’installation du Linky, mais qu’il ne vienne pas “pleurer” ensuite à la lecture de certaines facturations, dont la relève du compteur. »
Étudiants à Rennes. Dormez, vous êtes surveillés...
La résidence Maine 1 à Rennes héberge les 10 lits connectés pilotes conçus par Artisans IoT. Installés sur la structure des lits escamotables, les capteurs transmettent des données en temps réel. | Espace loggia
Coline PAISTEL.
À Rennes, des capteurs ont été installés sur les lits d’une résidence universitaire. En cas de dégradation, un technicien reçoit un SMS et peut aussitôt intervenir. Un dispositif qui pose question.
Ah la chambre étudiante, ses 9 m2, ses murs en carton, ses toilettes dans la douche, sa cuisine microscopique… Et désormais, son lit connecté !
Depuis la rentrée, les étudiants de la résidence universitaire Maine 1 à Rennes sont, sans le savoir, les cobayes d’un nouveau concept : le lit connecté. Dix chambres ont été choisies aléatoirement sur les 150 que compte l’établissement pour accueillir le projet.
Collecte des données en temps réel
Imaginés par l’équipe d’Artisans IoT - une branche d’Espace Loggia, designer - ces lits escamotables qui se rabattent au plafond, sont dotés de capteurs, installés sur le cadre, qui collectent en temps réel des données : « Nous avions eu des problèmes de dégradations de matériel dans certaines résidences, justifie Paul Malignac, directeur général d’Espace Loggia. Les lits connectés font de la maintenance préventive. »Concrètement, « lorsqu’un étudiant prend son lit pour une barre de tractions ou quand le matelas se transforme en canapé pour dix personnes, nous sommes au courant », explique le créateur. Les données collectées sont transmises au Crous. « En cas d’urgence, un SMS est envoyé automatiquement à un agent technique qui peut intervenir dans la chambre. »
Et la vie privée ?
Qu’en est-il alors de la vie privée des étudiants ? « Notre objectif est seulement de planifier l’entretien préventif et d’observer l’usure du lit, pas de sanctionner les élèves, assure le Crous. Pour ça, nous avons des veilleurs de nuit qui s’en chargent très bien. »
« On dirait de l’espionnage »
Du côté des étudiants, c’est l’incompréhension. Personne ne les a informés de la présence de ce test dans leur résidence, et encore moins de qui sont les locataires des lits connectés : « J’aurais aimé qu’on me prévienne », s’indigne un jeune homme. « C’est vraiment limite, s’agace un autre. On dirait de l’espionnage. » Certains pourtant relativisent : « Ça va, ce n’est pas le miroir non plus », « et puis c’est bien pour la sécurité ».
Une première mondiale
Les lits connectés rennais sont « une première mondiale », claironne Espace Loggia, qui les cède gratuitement au Crous : « C’est un test. Nous nous donnons un semestre pour régler les derniers ajustements et après nous le commercialiseront », annonce Paul Malignac.
Plusieurs résidences universitaires françaises sont déjà intéressées. Mais déjà Artisans IoT projette d’étendre ses capteurs à d’autres espaces : « On pourrait imaginer des douches qui pourraient détecter les fuites d’eau… » Big Brother n’a pas fini de vous observer.
Bonjour à toutes et tous,
confrontée à une vague de protestation venue de sa base militante, qui lui reproche à juste titre de faire le jeu du compteur Linky, la direction de l'UFC-QueChoisir a senti qu'il fallait faire quelque chose pour enrayer cette fronde (y compris les désabonnements et démissions).
Aussi, elle a lancé en mai un questionnaire qui a permis la réalisation d'un "Dossier noir du Linky" dans le numéro publié fin septembre.
Nous sommes donc très heureux de vous signaler que, avec plus d'un an de retard sur les nombreux collectifs anti-Linky présents partout en France, la direction de l'UFC-QC vient de découvrir pèle mêle que le Linky :
- fait disjoncter continuellement de nombreuses installations
- fait augmenter sans raisons de nombreuses factures
- fait dysfonctionner de nombreux appareils (lampes, volets roulants, télés, box, chauffe-eau, etc)
- est installé dans des conditions qui causent des désagréments voire probablement des incendies
- etc
La direction de l'UFC-QC vient aussi de découvrir que les installateurs de Linky usent du mensonge, de l'intimidation, voir de la violence.
(Pour mémoire, tous ces problèmes sont mis en exergue depuis plus d'un an sur http://refus.linky.gazpar.free.fr et sur d'autres sites "anti-Linky").
CEPENDANT, la direction de l'UFC-QC :
- continue à faire semblant de croire que les belles promesses d'Enedis et de la CNIL nous protègent contre la captation par la Linky d'innombrables informations sur nos vies. Non seulement ces "assurances" ne sont pas convaincantes, mais de toute façon personne ne sait ce qui arrivera à l'avenir sur la plan politique et sociétal : on veut nous mettre un "Big brother" dans notre logement en nous jurant qu'il ne servira pas à nous espionner, qui peut y croire ? La seule façon d'être sûr de ne pas être espionné par son compteur est d'avoir un compteur ORDINAIRE et surtout pas un Linky.
- continue à faire semblant de croire que les belles promesses d'Enedis et des agences d'Etat comme l'ANSES nous protègent contre les ondes électromagnétiques émises par le système Linky (attention, ce ne sont pas forcément les émissions du compteur lui-même qui peuvent poser problème). Non seulement ces "assurances" ne sont pas convaincantes, mais de toute façon personne ne peut mesurer ce qu'Enedis fera circuler au fur et à mesure de l'évolution du système (CPL G1, CPL G3, etc) et de la mise en place de l'ERL (émetteur radio linky). La seule façon d'être sûr de ne pas être tôt ou tard mis en danger par son compteur est d'avoir un compteur ORDINAIRE et surtout pas un Linky.
- continue malhonnêtement à accuser les citoyens opposés au Linky à propos de la fameuse vidéo qui invente une caméra dans le Linky (vidéo crée par un site web parodique). Pour mémoire, le Linky n'a pas besoin d'une caméra pour nous espionner !
MAIS SURTOUT :
Malgré la gravité des problèmes enfin avoués dans ce "dossier noir", la direction de l'UFC-QC n'appelle toujours pas à agir contre le Linky et n'annonce pas non plus qu'elle va agir auprès des pouvoirs publics. On note toute fois qu'il est écrit dans le dossier "Trop c'est trop, Enedis ne peut pas continuer à imposer ses compteurs en toute impunité" : nous attendons AVEC BEAUCOUP D’INTÉRÊT les actions que l'UFC-QC va développer pour que cette phrase soit suivie d'effet. Et nous soutiendrons ces actions... en espérant qu'elles en vaillent la peine !
Stéphane Lhomme
Conseiller municipal de Saint-Macaire (33)
Animateur du site web http://refus.linky.gazpar.free.fr
Information aux locataires
Bonjour, j'ai constaté à plusieurs reprises que les personnes locataires ignorent totalement qu'elles sont en droit de refuser le compteur Linky. Elles croient qu'en étant locataires elles n'ont pas leur mot à dire et que c'est le propriétaire qui décide. De ce fait, ces locataires "ne bougent" pas et certains se sont laissés poser le compteur Linky. Je m'adresse donc à toutes les associations ou collectifs que je trouve pour leur demander d'informer les citoyens locataires de leurs secteurs. Cordialement Danielle D
Plusieurs adhérents nous disent: "Vous croyez que ça vaut le coup de continuer?" ou "Ne finiront-ils pas par nous le poser de toutes façons?"
Venez tous ce soir à 19H15 précise à notre local 12 lices Pompidou à Albi (ancienne librairie Daynous) pour assister au témoignage de :
MICHELE qui, à elle seule a fait fuir les 2 poseurs les plus dénués de scrupules
ANNE qui, à elle seule a fait plier Enedis qui lui a remis son ancien compteur parce que malade soudainement. Alors elle, c'est spécial, même pas adhérente, indifférente à la pose du linky et à notre action(a eu plusieurs fois des tracts au marché Pelloutier), elle est depuis, évidemment tres concernée...
Elle n'est pas non plus la seule a être malade à l'installation du linky alors qu'il n'y avait aucune prédisposition avant.
D'autres témoignages viendront l'expliquer.
Alors le CPL anodin ?
Allez venez leur poser toutes vos questions: on est tous là pour nous !
Marc LANGLOIS
Bonjour,
je viens de raccrocher avec l'ARS Bretagne cf. lien ci-dessous, et j'ai longuement échangé avec le médecin qui m'a recommandé de suivre la démarche suivante :
écrire à l'ARS pour signaler sa situation concernant l'electro-sensibilité...
chaque courrier fait semble t il l'objet d'une réponse qui précise la marche à suivre pour retrouver son ancien compteur, oui vous lisez-bien, retrouver son ancien compteur
mon interlocuteur médecin, m'a précisé que dans la réponse de l'ARS tout était expliqué pour retrouver son ancien compteur.
Le Ministère de la santé m'a précisé mon interlocuteur est informé.
Il m'a aussi confirmé que le Linky ce n'est pas une obligation, et que depuis quelques mois, l'ARS Rennes était très sollicité sur le sujet (de plus en plus)
le lien Breton de l'ARS :
https://www.bretagne.ars.sante.fr/signaler-un-evenement-indesirable-0
ARS Bretagne
le collectif Stop-Linky à Pont-Péan
Bonjour à toutes et tous,
voici des nouvelles de mes aventures avec UFC-QueChoisir : outre les trois plaintes déposées à mon encontre (traitées par 3 magistrates différentes à trois dates distinctes, tout ça pour un seul et même article, cf infos plus bas), je viens de recevoir par huissier une assignation à comparaitre le
mercredi 15 novembre à 14h30 au TGI de Paris.
L'explication est succulente : comme j'ai fait connaître sur le réseau Twitter les trois plaintes, avec le lien vers l'article prétendument "diffamatoire", l'UFC-QueChoisir se considère comme "re-diffamée" !
J'ai donc droit à un premier procès... avant le procès des 3 plaintes ! Cette "stratégie" est si ridicule qu'elle ne peut que relever de la volonté de me "couler" en multipliant les procédures, les frais de déplacements, les honoraires...
Aussi je ne peux que remercier à nouveau toutes celles et tous ceux qui ont participé à la souscription dont le montant me permet de rester serein malgré ce déferlement de procédures. Merci encore !
3 plaintes, 3 magistrates, 3 dates !
Lors d'un précédent message, je vous expliquais mon étonnement d'avoir deux magistrates pour traiter trois plaintes émanant d'une seule et même organisation et visant un seul et même article, et que j'espérais au moins que la seconde et la troisième seraient traitées ensemble. Mauvaise pioche !
En effet, après mon audition du 3 août, je dois à nouveau me rendre à Paris le 26 septembre puis le 19 octobre... avec une magistrate différente à chaque fois ! Je serai donc mis en examen trois fois (pour mémoire, la procédure choisie délibérément par UFC-QC entraîne une mise en examen automatique, sans que cela ne préjuge en rien du résultat final).
Quelle mobilisation ?
Il n'y a rien à faire pour les convocations qui se résument à un bref entretien avec la magistrate et une mise en examen. Par contre, si vous êtes disponible et pas trop loin de Paris le 15 novembre, l'audience (qui est bien sûr publique) devrait être très intéressante, voire amusante.
Ce sont les dirigeants d'Enedis que nous combattons, et il est curieux de se retrouver face à ceux d'une association de consommateurs, mais c'est bel et bien de leur fait et à cause de leur soutien objectif au programme Linky.
Mais, finalement, cette date pourrait nous être utile pour expliciter notre combat contre les compteurs communicants (et non pour s'attarder sur mon mon cas personnel : pour cela mon avocat fera le nécessaire).
Stéphane Lhomme
Conseiller municipal de Saint-Macaire (33)
Animateur du site web http://refus.linky.gazpar.free.fr
Bonjour,
l'actualité récente nous rappelle que les compteurs électriques peuvent prendre feu. Le rapport d'enquête (SIEIL, 27 juillet 2011) mené à la suite des expérimentations en 2011 l'avait déjà reconnu : des incendies sont survenus à cause des compteurs linky (en plus de tous les autres incidents) et ce ne sont pas les vagues explications données par Enedis sur l'incompétence des poseurs qui me rassurent.
Les média commencent à peine à faire savoir que les linky peuvent être à l'origine d'incendies. Par exemple :
* Le 28 novembre 2017, à Louveciennes "Louveciennes : le compteur électrique Linky part en fumée":
http://www.leparisien.fr/louveciennes-78430/louveciennes-un-compteur-linky-part-en-fumee-28-11-2017-7420146.php
* Le 13 mars 2018, à Avranches :
"Manche : deux feux de compteurs électriques Linky"
https://www.lamanchelibre.fr/actualite-481885-manche-deux-feux-de-compteurs-electriques-linky
* De très nombreux exemples ont été répertoriés par des citoyens sur les incendies électriques : le résultat est effarant.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-compteur-linky-d-enedis-edf-est-201861
* Le 8 mars 2018, une triste nouvelle à Laxou-Champ-le-Bœuf (54) "Mort dans son appartement enfumé". "Le compteur électrique fondu témoignait d’un important dégagement de chaleur", "Un décès probablement causé par les fumées toxiques", "Un expert en incendie a été désigné", etc. L'enquête qui devrait avoir lieu déterminera les causes exactes du décès.
https://www.estrepublicain.fr/actualite/2018/03/08/mort-dans-son-appartement-enfume
La question que je vous pose concerne la responsabilité du maire en cas de drame. Sachant que ce sont les communes qui sont propriétaires des compteurs, qu'elles ont délégué la gestion du réseau électrique au syndicat d'électrification (SDE09, qui a lui-même délégué à Edf/Erdf/Enedis cette même gestion), quelle est ma responsabilité en cas de drame à Loubaut ?
Le conseil municipal de Loubaut avait demandé au SDE09 d'imposer à Enedis de permettre le choix du compteur pour les habitants de Loubaut. Le syndicat n'avait même pas pris la peine de répondre. Ce même conseil municipal a pris une délibération pour freiner les ardeurs des poseurs de linky sur la commune et permettre le choix en se basant sur le refus de déclassement des compteurs actuels : le Tribunal Administratif va très probablement annuler la délibération ce mardi 20 mars à Toulouse. Le 17 mars 2017, j'ai pris un arrêté du maire pour encadrer la pose de ces compteurs linky : cet arrêté a été suspendu par le Tribunal Administratif et j'attends encore la convocation pour l'audience au fond.
Faut-il que je prenne un nouvel arrêté pour protéger les administrés de Loubaut ? Comment les protéger d'un risque avéré, qui peut être mortel ?
Il faut sortir de cette situation par le haut et permettre le choix du compteur. Cela ne résoudra pas tous les problèmes concernant notamment la santé des personnes hyper électro sensibles ou la pénalisation financière des consommateurs subissant le linky. Mais un pas aura été fait vers une solution un tant soit peu acceptable sur le plan démocratique.LIRE
En vous remerciant par avance pour l'attention que vous ne manquerez pas de porter à ce dossier, je vous prie d'agréer, Madame la Préfète, Monsieur le Président du SDE09, mes respectueuses salutations.
Ramón Bordallo
Maire
09 350 LOUBAUT
chaîne STOP 5G
Les habitants de la résidence Saint-Roch de Vence s’étaient déjà opposés
à ces compteurs électriques.
"C’est la troisième fois qu’ils viennent. Cette fois encore, les employés d’OK Service ne voulaient pas partir sans avoir posé des compteurs Linky dans notre résidence, alors que plusieurs d’entre nous leur répétaient à nouveau que nous n’en voulons pas. Mais cette fois, un résident a fait un AVC ", déplore Brigitte Huré, habitante de la résidence Saint-Roch à l’Ara à Vence.
Nicolas, un autre occupant, confirme : "A notre connaissance, un seul habitant de la résidence a dit oui par oral, mais pas par écrit. La plupart d’entre nous ont même refusé par lettre recommandée. A chaque fois qu’ils viennent, on leur dit qu’on n’en veut pas. La première fois, je pense qu’ils faisaient une reconnaissance. Je leur ai demandé ce qu’ils venaient faire, ils sont aussitôt repartis. La deuxième, ils étaient revenus avec des Linky. Je leur ai dit non. Ils ont fini par repartir. Cette fois, j’ai discuté dix minutes avec l’installateur. Je lui ai aussi dit qu’ils n’avaient pas à se garer sur une place résident. Régis, un autre habitant de la résidence, est arrivé. Sa porte d’entrée est juste à côté de l’armoire à compteurs. Il a parlé avec lui. A un moment, l’employé d’OK Service lui a dit ‘‘Monsieur, je n’aime pas votre ton’’. Régis est rentré chez lui. Mais quelques minutes après, son épouse est venue me chercher en me disant qu’il faisait un accident vasculaire cérébral".
" Il est DRH dans une grande société. Je ne l’ai jamais entendu dire un mot plus haut que l’autre, s’étonne Brigitte Huré. Quand je suis arrivée, les pompiers étaient là, mais l’installateur était resté devant la porte, avec son compteur ! Il a fini par repartir".
Un arrêt municipal suspendu par le préfet
"Ils vont certainement revenir. Mais il y a toujours au moins un occupant dans la résidence et dès que quelqu’un arrive ici, on l’entend."
On a demandé des réponses à Enedis sur des incidents recensés avec des Linky en France : interférences avec d’autres appareils, courts-circuits, débuts d’incendie, électrosensibilité... La seule réponse que nous avons eue, c’est ‘‘Vous n’avez pas compris le fonctionnement du compteur’’".
La maire de Vence avait pris un arrêté le 26 juin dernier pour éviter que les Linky soient posés si les propriétaires s’y opposent par lettre simple.
"Le préfet l’a suspendu", regrette le premier adjoint Patrice Miran. Le jugement du tribunal est attendu pour le 15 mars. "Mais les habitants peuvent aussi demander à la mairie de faire procéder à des mesures de pollution électromagnétique avec l’ANFR (Agence nationale des fréquences) pour voir si les taux dépassent les normes de l’OMS. Nous encourageons les Vençois à le faire. Une trentaine de mesures ont déjà été effectuées à Vence. Il n’y a pas que Linky, mais aussi les téléphones portables, les appareils connectés, le wifi… La pollution électromagnétique sera un des principaux problèmes sanitaires des prochaines années".
Source : Nice Matin
Quand la raison s'égare
Jeudi 4 avril 2019, les milieux d’affaires tarnais avaient convié dans l’amphithéâtre d’honneur de l’Ecole des Mines d’Albi l’excellent Cédric Villani, député En Marche et mathématicien,
pour disserter sur l’économie numérique et la société du big data.
Il a été interrompu par un _"cloud"_ d’opposants à la Start-up Nation en gilets jaunes qui se sont introduits sur le podium pour lire la lettre suivante et distribuer le tract "innover pour aggraver la crise sociale et écologique"
Cher Cédric Villani,
Nous vous remercions de vous être déplacé à Albi, car nous avions justement des choses à vous dire.
Tout d’abord, nous avons le plaisir de vous remettre un compteur communicant Linky. Prenez-le, il est offert : c’est nous tous qui finançons, via la TURPE, leur déploiement à hauteur de 7
milliards d’euros.
Ce petit boîtier jaune rend bien des services. Il s’est révélé un merveilleux outil d’éducation populaire. Dans toute la France, il a permis une prise de conscience massive de ce que signifie le monde du big data et des algorithmes, des véhicules autonomes et de la 5G. Dès
lors, initiés par ENEDIS aux joies des objets connectés,
nous sommes devenus particulièrement sensibles aux mensonges dont on accompagne les investissements en faveur de l’intelligence artificielle.
Par exemple, l’idée qu’elle serait une manière de créer des emplois. Soyons sérieux : l’automatisation sert à automatiser.
Automatiser sert à licencier, à l’image des dizaines de milliers d’employés d’ENEDIS qui relevaient les compteurs électriques, ou à l’image de la désastreuse dématérialisation des services publics.
Autre exemple : en France, le déploiement des véhicules autonomes, c’est-à-dire de la conduite par intelligence artificielle, menace directement plus de 600 000 professionnels
(chauffeurs de bus, routiers, taxis, etc. ), soit 2 % de la population active. Et ne nous ressortez pas la bonne vieille théorie de la compensation : les conducteurs licenciés auront autant de chance de créer leurs start-up de robotique que les chevaux n’en avaient de se mettre à produire des pièces automobiles.
Le problème, M. Villani, c’est aussi qu’il a fait chaud, beaucoup trop chaud à Albi en ce début de printemps. Or l’économie numérique est vorace : elle exige de produire toujours plus de
processeurs, de capteurs, de serveurs, de câbles, d’antennes et d’écrans. Elle engloutit des quantités colossales d’énergie, de matières premières et de métaux.
Le programme Linky est assez parlant : au nom de la transition écologique, on a commencé par "bazarder" 35 millions de compteurs en parfait état de marche, puis, en numérisant
les réseaux, on génère des pétaoctets de données, stockées et traitées dans d’immenses entrepôts de béton qu’il faut refroidir en permanence. Vous ne pouvez l’ignorer : à l’échelle du globe, ces fameux data centers rejettent déjà autant de CO2 dans l’atmosphère que la totalité du transport aérien. A ce stade, peut-on encore parler d’intelligence, même artificielle ?
Enfin, qu’il s’agisse d’e-médecine, de maisons communicantes ou de voitures connectées, ce monde, qui fait de nos vies un grand réservoir à big data, est inacceptable pour une raison simple : il s’appuie sur le réseau 5G qui, plus encore que les précédents,
menace directement notre santé. Nous refusons que tous les êtres vivants soient massivement exposés à des champs électromagnétiques d’une telle puissance pour faire fructifier l’industrie de l’électronique et les fortunes des Silicon Valley mondiales.
Nous luttons pour la sobriété et la justice sociale. Si vous souhaitez employer votre curiosité intellectuelle et votre goût pour les sciences, tout en pérennisant votre carrière politique, n’hésitez pas, M. Villani, à rejoindre les rangs de l’écologie radicale et de l’anticapitalisme dont nous pensons, étant donnés les enjeux actuels, qu’ils constituent les filières d’avenir les plus
populaires et les plus novatrices.
Cordialement,
Un "cloud" d’opposants à la Start-up Nation
Membres du collectif Ecran Total contre l’informatisation et la gestion.
Du collectif citoyen "Alerte aux Ondes", aux candidats aux Élections Municipales de Saint-Malo
mardi 18 février 2020
Madame, Monsieur,
Nous avons noté que votre programme de candidat aux élections municipales consacrait une part importante à l’environnement et au bien-vivre dans notre commune de Saint-Malo
L’annonce du déploiement de la 5G en France avive nos inquiétudes sur les plans sanitaires, sécuritaires, économiques et écologiques.
Les enfants sont les premières victimes des champs électromagnétiques artificiels pulsés avec des conséquences allant d’atteintes des processus cognitifs à des pathologies plus lourdes et invalidantes.
Les personnes électro-hypersensibles (EHS), dont le nombre ne cesse de croître, ne représentent que la face apparente - mais niée par les pouvoirs publics - de l’iceberg.
Comme pour l’installation de multiples compteurs communicants, nous craignons aussi l’exploitation de nos données personnelles notamment à des fins commerciales.
Alors que la technologie 5G est relayée comme une catastrophe sanitaire dans de nombreux pays, le gouvernement français a décidé son implantation partout en France,
en faisant la sourde oreille aux alertes répétées de médecins et de scientifiques du monde entier :
la 5 G est extrêmement néfaste pour l'organisme humain, et pour tous les organismes vivants en général (cf Interview d'Annie Sasco).
Sans compter que ce projet nécessite l'envoi d'innombrables nouveaux satellites dans l'espace.
Le déploiement de la 5 G est un énorme marché où la concurrence entre les pays pousse les responsables politiques à prendre des risques inconsidérés.
Or nous estimons qu'en vertu du principe de précaution, la 5G doit faire l’objet d’un vaste débat social et d’une évaluation environnementale.
- Pour rappel, la loi Abeille de 2015 permettait aux communes de disposer de deux mois pour contrôler l’implantation des antennes relais sur leur territoire.
- Or en juin 2018, l’Etat a voté la loi Elan (Loi Evolution du Logement et Aménagement Numérique) qui supprime ce délai de deux mois.
- Par contre, le gouvernement a fait un cadeau de plusieurs millions d'euros en exonérant les 4 opérateurs (Orange, Bouygues, SFR et Free) du paiement des licences.
- Sans aucun débat public, le gouvernement a publié, le 30 décembre 2019 un arrêté fixant les conditions de mise aux enchères des fréquences de la 5G en France
- Et dans son projet de loi de finance 2019, le gouvernement français prévoit de supprimer l’unique source de financement public destiné à la recherche sur les effets sanitaires des champs électromagnétiques.
Nous ne doutons pas de votre sensibilité au problème que nous évoquons.
C'est pourquoi nous vous demandons de nous faire part de votre position à ce sujet au cas où vous seriez élu(e) maire de notre commune :
- seriez-vous décidé à mettre en place un moratoire sur le déploiement de la 5 G à Saint-Malo,
tant qu'une étude d'impact sanitaire et environnemental – indépendante et transparente - n'aura pas été commanditée par le Gouvernement ?
- seriez-vous volontaire pour apporter une protection sanitaire aux personnes électro-hypersensibles (EHS) dans notre commune ?
(préservation de Zones Blanches refuges, accès aux transports en commun, accès aux lieux culturels, vie sociale facilitée pour les EHS).
Restant à votre disposition pour vous rencontrer vous même ou l'un des membres de votre liste au sujet du problème que nous venons d'évoquer,
Dans l'attente de votre réponse, si possible avant le lundi 2 mars,
nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l'assurance de nos sentiments responsables et citoyens.
Pour le collectif « Alerte aux Ondes »
Brigitte FLAHAULT
• Le respect de la santé est un droit fondamental de valeur légale et constitutionnelle ;
• Le droit au respect de la vie privée est un principe fondamental national et européen ;
P.S. - Nous attirons votre attention sur l'action que nous avons menée sur la Plage du Sillon
le samedi 25 janvier 2020 dans le cadre de la Journée Mondiale contre la 5 G .
- Photo Plage du Sillon « Non à la 5 G »
Pour informations complémentaires, voir pièces jointes :
- Article Politis
- Article Novethic
- Interview Annie SASCO
- Grèce : refus du déploiement de la 5 G
- Dossier « Alerte aux ondes »
- Zones Blanches : le rôle du SCOT