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Le macrocosme du spectaculaire

Différentes lois se sont succédé depuis les années 1980 pour informatiser l’hôpital de façon à permettre aux décideurs, notamment les professionnels de la politique financés par des banques et des laboratoires pharmaceutiques, de prendre le contrôle sur le soin. Cette informatisation a permis à ceux qui écrivent les nomenclatures, notamment l’OMS, de contrôler entièrement les statistiques. Grâce à ces données statistiques, il est très facile de faire peur aux gens et de vendre les solutions aux problèmes qu’ils mettent en avant…/… Les hôpitaux parlent désormais de « rentabilité ». On est passé de l’époque où un hôpital est présent sur un territoire pour répondre aux besoins potentiels d’une population à la période actuelle où un hôpital doit «vendre» des services «rentables» pour récupérer de l’argent…/… Depuis 40 ans, l’OMS et la HAS, deux organismes dont les conflits d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques sont publics et documentés, pilotent la définition, contrôlent donc la reconnaissance, des pathologies comme celle des actes médicaux. Pour utiliser une comparaison bien connue, dans un sondage biaisé, le sondeur ne vous laisse que les options de réponses qui l’arrangent.

Le sociologue Pierre-André Juven écrira dans un article « Produire de L’information hospitalière » ceci : « Nous observons ici comment des techniciennes de l'information médicale transforment les dossiers patients en dossiers médico-économiques et comment cette action technique de traduction et d'accumulation participe d'un mode de gouvernement à l'hôpital. »

ce que revele les chiffres covid

Mes connaissances, ou plutôt croyances à cette époque étaient :

- les épidémies hivernales sont dues à des virus qui font

le  tour de la planète, notamment les virus dits grippaux ;

- ces maladies se transmettent d’individu à individu ;

- ces maladies dégénèrent parfois en infections bactériennes pour lesquelles les antibiotiques ont un rôle salvateur ;

- ces maladies emportent les plus fragiles de la population, notamment les plus âgés, expliquant la hausse de la mortalité de ces derniers en hiver ;

- la vaccination joue un rôle majeur dans la prévention des maladies virales. C’est la raison pour laquelle tous les membres de ma famille et moi nous sommes fait administrer tous les vaccins disponibles jusqu’ici, même facultatifs.

L’état de choc en France est arrivé à l’annonce du confinement le 16 mars 2020. «Nous sommes en guerre». La stupéfaction et la sidération ont été des armes redoutables pour annihiler toute contestation.../… j’ai réalisé une vidéo  rappelant la similitude de ce que nous vivions avec les événements cités dans le célèbre livre de Naomi Klein, La stratégie du choc.  P.CHAILLOT

La priorité pour l’hôpital est aujourd’hui de bien inscrire dans le dossier du patient tous les éléments qui apportent de l’argent, c’est-à-dire qui seront facturés à l’Assurance maladie.

Ainsi, toutes les statistiques de santé publique sont biaisées par le jeu du codage…/...

Les codes sélectionnés sont les plus intéressants financièrement. S’ensuivent mécaniquement un sur-comptage de toutes les pathologies rentables et un sous-comptage des autres…/…

Pendant les périodes hivernales, de nombreuses personnes âgées, souffrant déjà pour beaucoup de problèmes respiratoires chroniques, présentent des difficultés respiratoires supplémentaires et/ou de la fièvre.

Beaucoup de celles qui arrivent à l’hôpital ont alors un séjour codifié comme « 04M25 grippe ».

Il est pourtant très rare qu’un test de présence d’un virus grippal soit effectué. Toutes ces données de GHM codifiées «04M25 grippe» seront transmises aux instances nationales de santé et à l’OMS qui communiqueront sur le nombre de malades et de morts dus à la grippe chaque année. En donnant de l’importance à ce phénomène, on influence les ventes de traitements et bien sûr celles des fameux vaccins antigrippaux…/…

Pour les médecins, les personnes meurent assez peu d’un état grippal mais d’un ensemble de causes dont l’état grippal…/… On constate sur le site de Sentinelles, la disparition des statistiques de grippe lorsque commencent à être comptabilisées celles du Covid-19 en 2020…/…

La grande nouveauté de 2020 c’est d’avoir créé et maintenu une psychose à un très haut niveau grâce à une nouvelle arme destinée à faire peur , le test Covid-19.

Avec ce test, la « maladie mortelle qui sature les hôpitaux » rôde partout, sans avoir besoin de morts, ni d’hôpitaux saturés (enfin pas plus que d’habitude), ni même de malades.

Ce livre dévoile les incohérences des discours au sein des institutions et groupements médiatiques et rappelle qu’il n’y a jamais eu de consensus scientifique sur la gravité de cette pandémie.  G.O

Approche biologique

Réflexions autour de la santé mise au point octobre 2022

 

Je suis beaucoup intervenu sur cette question des OGM pas seulement dans le domaine agricole bien sûr, mais aussi dans le domaine médical et pharmaceutique car les OGM sont utilisés pour faire des vaccins. Les vaccins de dernière génération qui nous sont proposés pour tenter de lutter ou plutôt imposés, on va dire que je suis polémique, mais je ne peux m'empêcher de dire, imposés, parce que je pense à tout ce personnel de santé qui a été suspendu, alors qu'il a fait un travail merveilleux, on l'applaudissait sur les balcons, il n'avait pas de masque à l'époque parce que on n'en avait pas à lui fournir. Ces personnes allaient chercher des toiles chez Truffaut, pour se faire des sur-blouses.

Ces gens  ont sauvé des tas de gens. Du jour où il y a eu un prétendu vaccin et que ces personnes étaient réticentes à se faire vacciner, elles sont devenues des pestiférées. On les a suspendues sans salaire, c'est une honte. Donc j'ai beaucoup parlé de ce sujet parce qu'un cabinet d'avocats m'a contacté. Il  voulait saisir la cour de justice Européenne, afin de contester le fait  qu'il était question d'alléger la réglementation sur les OGM au prétexte que certains médicaments ou vaccins pour tenter de lutter contre la covid s'appuyaient sur ces technologies OGM et que pour gagner du temps il fallait permettre à ces applications de pouvoir passer certaines étapes de l'évaluation sanitaire et environnementale. Donc une volonté d'assouplir de manière générale la réglementation sur les OGM. J'ai donc rédigé un document d'expertise grand public, pour les juges, afin d'expliquer ce que sont ces vaccins, comment cela fonctionne et quels sont les questionnements qu'ils engendrent. On avait le droit de s'interroger, avec la prudence du scientifique. Sur les chaines d'informations les médecins et scientifiques, confinés, eux, ne prenaient aucune précaution. Ils disaient, braves gens dormez tranquilles, on s'occupe de tout, il n'y a aucun problème  et ceux qui vous disent qu'il pourrait y en avoir ce sont des complotistes.

Mettons les choses au point, il n'y a aucun problème sur le fait que l'on conteste mes dires, la science est basée sur la contradiction. Tous ces gens qui défendent les vaccins, ils ont le droit de les défendre. Mais que croient-ils ? Qu'il n'y a jamais eu de polémique autour de Pasteur ? Pasteur n'était pas irréprochable. Mais quand on dit cela ça ne veut pas dire que l'on remet en cause toutes les avancées qu'on lui doit. Pasteur a souvent violé certaines règles de la science. On peut quand même le dire, en parler. Où est le problème ? La contradiction c'est ce qui fait avancer la démocratie. On en a besoin en science comme ailleurs. Si ces scientifiques sur lesquels s'est appuyé l'AFP ne sont pas d'accord avec moi ce n'est pas un problème.  L'AFP aurait du m'appeler et dire j'aimerais que vous répondiez, que l'on puisse échanger, que l'on puisse débattre. Cela aurait été dans les règles déontologique du journalisme. Je disais donc, vouloir vacciner massivement en période de pandémie, c'est contre productif, parce que en empêchant le virus d'origine de se propager, en mettant des embûches sur son parcours, avec des anticorps qui vont trainer ainsi partout et qu'il va devoir contourner, on risque des conditions de sélection et d'émergence de variants beaucoup plus méchants que le virus d'origine. D'ailleurs c'est bizarre, parce que dans un documentaire d'ARTE, un médecin intervient pour expliquer la recrudescence des cancers de l'utérus, chez les gens vaccinés contre le papillomavirus. Et l'une des hypothèses qu'il avance c'est que le vaccin aurait bloqué une version du virus pour laisser la place à un autre virus qui aurait proliféré. Quand on est à la frontière des connaissances personne ne peut dire qui à tort ou raison. Mais quand on s'appuie sur des données passées évaluées scientifiquement et que ces données sont occultées ou sont niées, parce que cela ne nous arrange pas, cela s'appelle du déni scientifique. Le professeur Fisher a contesté certains de mes arguments, en niant la réalité scientifique. Cela est inacceptable. La science ne s'est jamais construite sur le consensus. Parfois dans un groupe scientifique il y a une personne qui s'exprime, contre toutes les autres, l'histoire des sciences nous a montré que cette personne avait raison. Aujourd'hui si dans un groupe scientifique huit d'entre eux fond consensus sur dix, alors la majorité a raison. Mais non il faut prendre en compte tous les avis.  La vaccination, comme n'importe quel traitement, doit-être un acte choisi et non un acte subi.  Je ne décourage personne de se faire vacciner. J'ai même encouragé certains amis à le faire parce qu'ils avaient de graves problèmes pulmonaires et qu'ils rencontraient beaucoup de personnes. Je leur ai dit que je ne savais pas ce que valait ce vaccin, mais si vous  attrapez  ce virus, ça va être méchant. Moi l'"antivax" ?. Il faut arrêter de salir les gens... Alors donc le "complotiste" C.VELOT va expliquer. La vaccination anti covid à la loupe. Je pense que c'est à la loupe, qui dérange. Sur les chaines d'informations continues tout le monde a compris ce que c'est que l'ARN messager. Moi je n'ai rien compris. En tant que biologiste je vais essayer d'expliquer.

1/quelques rappels : les notions d'ADN, d'ARN, Protéines. Nous sommes tous constitués de cellules, ces cellules ont des spécialités différentes suivant les organes. Ces cellules ont des caractéristiques communes qu'elles soient animales ou  végétales d'ailleurs. Une cellule est une véritable architecture sophistiquée. Des "poumons", les mitochondries et puis il y a le noyau. Sa membrane est une bi-couche de graisse avec son cholestérol, dont on a besoin d'ailleurs. Concernant le noyau il renferme notre matériel génétique avec les chromosomes. La double hélice d'ADN. Deux brins parallèles. Chacun des deux brins et constitué par l'enchainement de quatre molécules plus petites, les nucléotides qu'on désigne par quatre lettres AGCT. C'est ce qui constitue chacun des deux brins de la double hélice. Quand on dit que l'on a séquencé un chromosome, une molécule d'ADN, cela veut dire que l'on a déterminé tout le long de cette molécule l'ordre de succession des quatre lettres AGCT qui la compose. Les empreintes génétiques ce sont l'ordre de succession des quatre lettres AGCT et donc on est capable d'identifier un individu parmi les huit milliards de la planète. Le nombre de chromosomes varie d'une espèce à l'autre. Les humains ont 23 paires de chromosomes, comme le lapin d'ailleurs. Quand on dit que l'on a séquencé un génome humain, on a mis 14 ans, ce séquençage représente cent livres de cent pages format A4. Imaginez le nombre de lettres AGCT.  Mais attention, on n'a pas décrypté le génome humain c'est absolument faux, quelques petits "bouts" seulement.

Ces petits "bouts" correspondent à quelques fonctions biologiques. Les gènes sont répartis sur nos chromosomes et l'essentiel des gènes que nous avons décrypté sont des gènes qui détiennent le secret de fabrication des protéines. Les protéines sont de grosses molécules constituées par l'enchainement de vingt molécules différentes que l'on appelle des acides aminés. Quand on passe du gène à la protéine, on passe d'un langage en quatre lettres  AGCT à un langage en vingt lettres, vingt acides aminés. On dit que les cellules traduisent les gènes en protéines. Mais on ne peut pas passer directement du gène à la protéine, simplement parce que les gènes c'est l'ADN, ils sont dans les chromosomes qui sont enfermés dans le compartiment qui est le noyau. Ils sont dans un confinement strict…alors que les protéines, elles, sont fabriquées dans la partie de la cellule que l'on appelle le cytoplasme. Alors comment traduire un livre qui est dans votre bureau si le livre est dans la cuisine ? que faire ? Transporter le livre de la cuisine vers le bureau. Mais comme les chromosomes sont confinés, il faut donc un intermédiaire, c'est l'ARN. L'ARN est une grande molécule qui contient du langage génétique, un enchainement  de quatre nucléotides ACGU. La molécule d'ARN n'est pas une double hélice, mais une simple. L'ARN est fabriqué dans le noyau mais contrairement à l'ADN, l'ARN a une autorisation de sortie. Donc ce n'est pas l'ADN qui est traduit en protéines, mais l'ARN. C'est donc un intermédiaire entre l'ADN et la protéine. Il joue le rôle de messager. Tout gène ne détient pas le secret de fabrication d'une protéine, mais certains peuvent fabriquer des ARN qui cette fois ne sont plus des ARN messagers mais des ARN produits finis du gène. Là le produit fini c'est la protéine.

La transcription, c'est le passage de l'ADN à l'ARN. Est-il possible de faire le passage inverse ?

On a découvert cette possibilité chez certains virus. Ils s'appellent des rétrovirus. Comme le virus du sida qui est un virus à ARN. Il est capable de transformer son ARN en ADN. C'est ce que l'on appelle la transcription inverse. Il utilise une enzyme qui s'appelle une transcriptase inverse. Dans nos laboratoires quand on veut transformer un ARN en ADN, il suffit d'incuber cet ARN en présence d'une enzyme virale transcriptase inverse et elle nous le transforme en ADN.

Maintenant quelques notions concernant les virus.

Dans sa forme la plus simple, c'est une coque protéique, dans laquelle est enfermé son matériel génétique le génome viral ou virus nu ADN. Il existe également les virus enveloppés qui autour de la coque, ont une enveloppe, une bicouche de graisse. Cette bicouche de graisse correspond à celle qui délimite le contour de nos cellules qu'ils vont aller infecter. Dans cette bicouche de graisse on va trouver une protéine qu'on appelle la protéine de surface et qui permet au virus de s'attacher à la surface de nos cellules. La bicouche de graisse du virus va fusionner avec la bicouche de graisse de la cellule, ce qui permettra de déverser son contenu à l'intérieur de la cellule. Il existe aussi des virus à ARN nus ou enveloppés dont le matériel génétique est donc une simple hélice.

Donc nous avons quatre catégories de virus. Quelques exemples de virus ADN, les adénovirus, ce sont des virus nus, responsable de l'état grippal, ou encore le Papillomavirus que l'on rend responsable de cancers de l'utérus. Pour les virus nus à ARN, il y a le virus de la poliomyélite, les rotavirus responsables de la gastro-entérite, pour les virus enveloppés à ADN il y a l'Hepadvirus qui est le virus de l'hépatite B ou le poxvirus, puis la variole et enfin les plus nombreux, ce sont les virus à ARN enveloppés. Exemples les coronavirus, les virus Filovirus, Ebola, etc.

Un virus pour se multiplier a besoin de faire produire les protéines qui le constituent et pour agir il va détourner la machinerie de la cellule infectée. Dans la cellule il injecte son matériel génétique.

La cellule infectée va prendre ce matériel génétique et faire le travail. Si c'est de l'ADN elle le transcrit en ARN puis en protéine. Si c'est de l'ARN, elle le traduit directement en protéine.

Maintenant, le vaccin classique c'est un vaccin "pasteurien". C'est un vaccin inactivé. On injecte un virus totalement inopérant, car on lui a fait subir une action chimique ou calorifique ou une irradiation.

Exemples, contre la grippe, contre l'hépatite A, contre la polio, contre la rage…  les avantages de ces vaccins…ils ne risquent pas de donner la maladie. En revanche la réponse immunitaire est faible par rapport à une réponse immunitaire contre un virus vivant. Alors pour augmenter cette réponse immunitaire on utilise des adjuvants, par exemple les sels d'aluminium.

Autre catégorie de vaccin, on injecte un virus atténué. Le vaccin  contre la rougeole, les oreillons, rubéole, varicelle.

Puis la catégorie de vaccins à virus thermosensibles, exemples,  contre la grippe (Fluenz) qui a été retiré du marché, le vaccin contre le virus respiratoire VRS. Dans les derniers cas que l'on vient de citer la réponse immunitaire est meilleure. Mais si la personne  est déjà infectée par un autre variant du même virus pas forcément méchant, les deux virus peuvent échanger du matériel génétique entre eux. Et donc à partir du virus atténué injecté et du virus déjà présent chez la personne, on arrive à faire un virus recombiné méchant. D'autre part, si on vaccine une personne faible, même si le virus est atténué il ne l'est peut-être pas assez. La personne ne va pas réussir à le combattre, pour cette raison les vaccins sont contre-indiqués chez les immunodéprimés et les femmes enceintes.

La troisième catégorie de vaccins, consiste à injecter une protéine de virus. Cette protéine est produite en laboratoire, par exemple le vaccin Engerix B pour lutter contre l'hépatite B. On est parti du virus de l'hépatite B qui est un virus enveloppé à ADN, on a extrait l'ADN du virus et on en a sorti le gène.  On l'introduit dans des cellules de levure que l'on cultive en laboratoire. Ce type de vaccins s'appelle vaccin à protéine recombinante.

La quatrième catégorie, les vaccins anti-covid. Exemples le Sinovac chinois, le Bharat Biotech indien, le Valneva en France, qui sont des vaccins de type pasteuriens.

Puis ceux à protéine recombinante chez Novavax, Sanofi et enfin les vaccins génétiques.

On injecte l'information génétique dans nos cellules qui fabriqueront la protéine virale. 

La complication, c'est que lorsque vous injectez du matériel génétique dans les cellules ça n'y va pas tout seul. Ce matériel génétique doit être protégé et doit être véhiculé. Ce véhicule c'est soit une bicouche de graisse dans laquelle est enfermée la partie de l'ARN du virus SARScov2 qui détient le secret de fabrication de la protéine Spike, technique Pfizer ou Moderna ou Curevac, soit le véhicule est un autre virus à ADN "désarmé" c'est à dire que on lui enlève une partie de son matériel génétique responsable de sa virulence, technique Astrazeneca ou Janssen ou Spoutnik. Je rappelle que l'ARN ne peut pas s'intégrer à l'ADN.  Mais on peut transformer un ARN en ADN avec la transcription inverse grâce à une enzyme virale. Cet ADN Sarscov2 obtenu codant Spike vient se recombiner avec l'ADN du virus vecteur.  

Les risques, les voici.

Donc ces vaccins à protéine recombinante sont géniaux sur le papier, mais une protéine, c'est une structure tridimensionnelle d'acides aminés et son ordre d'enchainement est déterminé par le gène mais pas ce que l'on appelle le repliement.  Le repliement  dépend de l'environnement cellulaire, de l'acidité, de la force ionique, du PH, de l'Hygrométrie. Or une protéine mal repliée est à risques. Par exemple, le Prion responsable de la maladie de la vache folle, ou les cas de sclérose en plaque liés au vaccin de l'hépatite B, ce sont des protéines mal repliées. Ce paramètre on ne le vérifie pas parce que c'est trop couteux et très compliqué. Une protéine subit des transformations naturelles dans son environnement cellulaire et l'obstacle est que ce n'est pas le gène qui dicte ces ajouts. Ces écueils sont détectés normalement dans les tests de  phases 3 de longue durée.  Aujourd'hui nous n'avons pas de recul suffisant. Les vaccins génétiques qui utilisent comme transporteur un virus,  exemples l'adénovirus de chimpanzé, ou encore un adénovirus humain, et bien, ils ne sont pas neutres ces virus même si ils sont "désarmés". Ils peuvent provoquer une réponse immunitaire qui n'est pas celle que l'on veut. On ne veut pas une réponse immunitaire contre le virus utilisé comme vecteur mais une réponse immunitaire contre la protéine produite par l'ADN que l'on a mis à l'intérieur de ce virus. Explications, les vecteurs viraux sont utilisés en thérapie génique. Exemple  on a une personne qui a un gène abimé et on essaye de le réparer en lui apportant la version du gène normal. Donc là ce n'est pas un gène étranger que l'on introduit mais un gène humain vers un humain. Néanmoins il faut un véhicule qui est en fait un vecteur viral "désarmé".

En 2002, lors d'un essai effectué sur 18 enfants, l'un d'entre eux est décédé à cause d'une réaction immunitaire exacerbée, systémique, contre le virus utilisé comme vecteur. Ce risque n'a pas été pris en compte et il n' y a pas eu de débats entre médecins. Pourtant ce risque existe. En Belgique, il y a eu de nombreux essais cliniques d'immunothérapie, forme de thérapie sur le même principe, pour traiter certains cancers avec un certain nombre de succès. Cela dit, il y a eu des réactions d'immuno-toxicité, avec apparition de maladies auto-immunes. Cela  concerne les vaccins Astrazeneca ou  Johnson.

Enfin le risque de recombinaison virale concerne tous les vaccins génétiques, aussi bien ceux avec un virus "désarmé" à ADN, que ceux à ARN, Pfizer et Moderna. Ceci dit la recombinaison de manière générale, n'est pas spécifique à un virus. Nous-mêmes nous "pratiquons" la recombinaison, lorsque l'on a un ADN abimé sur un chromosome, celui par exemple hérité de notre papa et que par chance, celui de la maman n'est pas abimé, alors celui de la maman va servir de modèle pour réparer celui du papa. Mais les virus, eux, sont les champions de la recombinaison. Dès que deux virus qui se ressemblent, se rencontrent, deux variants à ADN ou bien à ARN, si ces deux virus se retrouvent dans la même cellule au moment où le matériel génétique va être recopié, par un enzyme virale, cette enzyme va "sauter" d'un génome à l'autre. Cela donne des nouveaux variants.  H1N1 était un double recombinant, virus de la grippe aviaire, virus de la grippe humaine et virus de la grippe porcine. Evidemment c'est rare, mais quand vous vaccinez massivement, avec un vaccin qui apporte de l'ARN, Pfizer ou Moderna, ou encore Astrazeneca ou Johnson qui eux sont de l'ADN, si une personne vaccinée est porteuse d'un variant, on a recombinaison. C'est un risque qui n'a pas été pris en considération. Fisher disait, "ce que dit Velot ce n'est pas possible parce que l'ARN ne peut pas être converti en ADN, ce n'est pas un rétrovirus". Et pourtant, la démonstration de la recombinaison virale entre molécules d'ARN a été faite en 1960. Soit monsieur Fisher ne le sait pas et c'est grave, soit il le sait et il ment. Donc les coronavirus se recombinent. En 2020 une publication a montré qu'au cours d'un essai effectué chez le rat avec un vaccin à ARN pour lutter contre la rage et injecté en intramusculaire, ils ont retrouvé de l'ARN le lendemain dans les ganglions lymphatiques, dans le sang, la rate, les reins et les poumons. Certes ceci reste une probabilité faible, mais celui qui va "gagner" la recombinaison, il va la partager et contaminer d'autres personnes. C'est un risque collectif. Vacciner massivement en période de pandémie avec un vaccin qui n'empêche pas d'être malade,  qui n'empêche pas la contamination, qui n'empêche pas la propagation du virus, nous avons eu plusieurs vagues déjà, c'est une erreur. Pfizer lui-même a reconnu au parlement Européen que la capacité du vaccin à empêcher la transmission n'avait pas été évaluée avant la mise sur le marché. Donc tous vaccinés tous protégés est un mensonge.

Le propre d'un virus, c'est d'échapper au système immunitaire, de changer de "forme". Comment fait-il ? Soit il va muter, changer des lettres dans son matériel génétique, par exemple le virus de la grippe change de "forme" tous les ans. Soit il va se recombiner. Quand un vaccin n'empêche pas le virus de circuler et que le virus lui-même met les embûches dont on vient de parler, en esquivant les anticorps et bien on crée les conditions d'émergence de nouveaux variants. Alors, limitons les dégâts en limitant le nombre de personnes vaccinées. Réservons cela peut-être aux plus fragiles, mais pour les autres, attendons d'avoir mieux. Quand il faut faire une injection tous les trois mois, cela ne s'appelle pas un vaccin.

Maintenant, comment comprendre les effets secondaires. Beaucoup d'entre eux sont des effets circulatoires. Thromboses, péricardites, cycles menstruels, on peut penser que en  perturbant le système immunitaire on perturbe le système hormonal ou on peut également penser que l'on est en présence de perturbations du système circulatoire.

Une cellule est pourvue d'un récepteur ACE2 sur lequel peut se fixer le virus Sarscov2. Ce récepteur ACE2 sert normalement a accueillir l'angiotensine un vasoconstricteur ou vasodilatateur, qui permet de réguler la pression artérielle. Mais lorsque l'on vaccine, on nous fait produire la protéine Spike qui vient saturer les récepteurs ACE2. Ce récepteur ne fait plus son travail. On n'a plus de vasodilatation. C'est démontré aujourd'hui, publication scientifique de 2021. D'autre part quand par exemple on a une plaie, les plaquettes sanguines s'activent et produisent la protéine FP4 pour cicatriser. Or la protéine Spike aime la protéine FP4, elle se fixe dessus ce qui crée un effet de sur-activation des plaquettes d'où la formation de caillots.  Le vaccin est sorti début 2021, or les études ont été publiées en 2021, cherchez l'erreur.

Pour la plupart des personnes décédées lors de cette pandémie elles étaient soit obèses,  soit elles avaient d'autres co-morbidités. On sait aujourd'hui que cette explosion de maladies (cancers, infections etc) ne peut pas s'expliquer seulement par des défauts génétiques, mais par les pollutions environnementales. Par exemple les perturbateurs endocriniens. L'OMS avait alerté dès 2008 sur ces maladies. Trente six millions de morts en 2008. Lisez "la fabrique des pandémies" pour comprendre comment elles apparaissent.

Conclusion, on continuera à avoir des pandémies, pourquoi ? Parce qu'on ne s'intéresse toujours pas à la santé environnementale dans sa globalité.

 

 C.VELOT docteur en sciences biologique, médicale et génétique moléculaire.

Absence d'analyse et de prise en compte des effets post vaccinaux

L’analyse des cas de deux patients-universitaires suggère que les effets indésirables de la vaccination par l’ARN messager contre le COVID-19 sont très largement sous-déclarés. L’absence d’analyse et de prise en compte des effets signalés suggère également que ces injections ne sont pas aussi sûres qu’on le prétend généralement. L’évaluation biaisée des risques et avantages qui en résulte ne peut que produire des recommandations de santé publique mal informées et des décisions politiques erronées, exposant ainsi la population à un risque sous-estimé, en violation du principe de précaution et du droit à un consentement libre et éclairé. Les mécanismes possibles à l’origine de ces effets indésirables soulèvent par ailleurs de sérieuses inquiétudes quant à de nouvelles applications vaccinales de la technologie de l’ARNm

La définition du terme « vaccination » a été modifiée, passant de « l’acte d’introduire un vaccin dans l’organisme pour produire une immunité contre une maladie spécifique »

à « l’acte d’introduire un vaccin dans l’organisme pour produire une protection contre une maladie spécifique » (CDC, 2018, 2021). Ce passage du concept d’« immunité »

à celui de « protection » (plus vague et plus sujet à la subjectivité) implique que

le terme « vaccination » peut être utilisé pour un produit « vaccin » qui ne confère pas d’immunité et ne prévient pas la transmission de maladies, comme c’est le cas des vaccins actuels COVID-19.

Définies et considérées comme un « vaccin », les injections d’ARNm radicalement différentes contre le COVID-19 peuvent être soumises aux mêmes directives, réglementations et lois de santé publique que les vaccins traditionnels – en plus de bénéficier de la confiance de la population dans les vaccins développés de manière traditionnelle – de sorte qu’elles peuvent être mandatées ou imposées légalement. L’inclusion des nouvelles injections d’ARNm dans la même catégorie que les vaccins traditionnels ouvre la porte à une classe entièrement nouvelle de produits pharmaceutiques à base d’ARNm à des fins vaccinales, ce qui soulève des questions et des considérations morales, éthiques et juridiques quant à leur utilisation.

Comme tout nouveau médicament commercialisé pour un usage humain, les vaccins à ARNm devaient, en théorie, faire l’objet d’un examen réglementaire approfondi, dont l’adéquation et la crédibilité dépendaient (et dépendent toujours) d’un système complet, accessible et précis d’enregistrement et de notification des événements indésirables (EI).

Ce point est particulièrement critique, compte tenu de la nouvelle application vaccinale de la technologie ARNm, du nombre de doses administrées et du nombre de personnes auxquelles ces nouveaux produits sont injectés dans le monde.

Le mécanisme par lequel les vaccins à ARNm sont censés conférer une protection (c’est-à-dire par l’expression et l’exposition de l’antigène protéine Spike virale à notre système immunitaire ; voir Nance et Meier, 2021) peut, de ce fait même, être la cause d’EI.

Par exemple, les vaccins à ARNm ont la capacité de forcer les cellules nucléées à produire une protéine virale étrangère, stable et bioactive qui peut entraîner des complications à long terme. Il est particulièrement préoccupant de constater que les cellules exprimant la Spike passent, aux « yeux » des cellules du système immunitaire chargées de reconnaître les organismes étrangers, du statut de soi (et donc reconnu comme faisant partie de l’organisme hôte) à celui de non-soi (et donc reconnu comme étant un organisme étranger à combattre), ce qui peut soulever des problèmes d’auto-immunité (Lyons-Weiler, 2020 ; Nunez-Castilla et al., 2022 ; Vojdani & Kharrazian, 2020 ; Vojdani et al., 2021) et favoriser les réactions inflammatoires (Blaylock, 2021 ; Baumeier et al., 2022).

De plus, il a été rapporté que les nanoparticules lipidiques vides (eLNP) provoquent la maturation des cellules dendritiques ainsi que les voies de signalisation de l’immunité innée par l’induction du TGF-ß (Connors et al., 2022), dont l’activation peut avoir des conséquences profondes encore à analyser.

Cas de deux scientifiques universitaires

Ils étaient en bonne santé et en bonne condition physique avant de recevoir une injection COVID-19. Tous deux ont subi plusieurs EI et souffrent encore d’EI consécutifs à une injection COVID-19. Leur expérience personnelle avec les médecins qu’ils ont consultés les a amenés à s’interroger sur leur manque de conscience professionnelle dans leur recherche de la cause et de l’origine des EI rapportés lors du diagnostic des conditions, du traitement et du suivi. Cela a conduit à la formulation de l’hypothèse selon laquelle, dans le système de santé publique de la province de Québec, du moins au Canada, le nombre d’EI attribuables aux injections COVID-19 pourrait être sous-déclaré et donc sous-estimé.

Cas/1

L’un des deux scientifiques traite avec succès un diabète de type 1 auto-immune depuis 2006. Cependant, après la première injection Pfizer/BioNTech, le 5 juillet 2021, cette personne a connu cinq EI différents : des migraines ophtalmiques occasionnelles (deux épisodes dans les 8 jours suivant l’injection), des éruptions cutanées bilatérales (droite>gauche) occasionnelles sur les avant-bras, une toux persistante (à partir de 2,5 mois après l’injection), deux épisodes de vibrations internes anormales (5 mois après l’injection) et un déséquilibre diabétique précédemment inexpérimenté (entre 7 et 10 semaines après l’injection). Ce dernier semble être lié à une augmentation de l’auto-immunité, qui est largement rapportée comme l’un des EI attribués aux injections de COVID-19 (Baumeier et al., 2022 ; Chen et al., 2022 ; Ruggeri et al., 2022). Tous les EI ont été autotraités et signalés à un médecin traitant spécialisé du CHU de Québec – Université Laval. Le médecin, suivant les instructions du Collège des médecins du Québec (CMQ) – l’ordre professionnel des médecins québécois – a encouragé une injection supplémentaire d’ARNm COVID-19, tout en ignorant, minimisant, voire niant, tout lien possible entre les EI auto-déclarés et le vaccin. Le médecin n’a pas répondu directement aux préoccupations du patient, n’a jamais reconnu que les symptômes pouvaient être liés aux injections de COVID-19 et a continué à insister pour qu’il prenne une autre dose de vaccin. Bien que le patient-scientifique lui ait demandé à plusieurs reprises par écrit au cours des trois mois suivants, l’endocrinologue n’a jamais signalé aucun des EI subis à l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) – l’organisme gouvernemental chargé d’enregistrer les EI, d’en assurer le suivi et d’établir tout lien possible entre ces EI signalés et les injections qui les ont précédés – et le médecin traitant n’a pas répondu aux préoccupations raisonnables du patient. L’absence de reconnaissance et de prise en compte des EI signalés a brisé le lien de cette relation médecin-patient particulière qui s’était construite au fil des ans dans le cadre du traitement du diabète auto-immune de type 1.

Cas/2

L’autre patient-scientifique a reçu la première injection Pfizer/BioNTech le 5 octobre 2021 et, 9 jours plus tard, il a développé une chaleur et une pression autour du cou, une difficulté à avaler et une sensation de tiraillement et de picotement sur les côtés du cou.

Le jour 9 a également marqué l’apparition de symptômes crâniens inhabituels (étourdissement, pression interne dans le crâne, vibrations internes inhabituelles, engourdissement et picotements dans la tête s’étendant même au cou et jusqu’au bout des doigts). Ces symptômes se sont aggravés le jour suivant. Le 11e jour, le patient a ressenti l’apparition d’une douleur thoracique, qui a continué à augmenter le jour suivant, ce qui a conduit à la première visite à l’unité de soins d’urgence de l’Hôpital général juif (Montréal, QC, Canada) le 13ème jour. Les symptômes cardiaques et thoraciques comprenaient des palpitations, une douleur nauséeuse dans le sternum, des sensations acides dans le thorax et une tachycardie avec une fréquence cardiaque au repos de 130+ battements par minute. Les symptômes ont continué à s’aggraver, entraînant des visites supplémentaires dans la même unité de soins d’urgence les jours 15 et 16 après l’injection. Le patient-scientifique, qui se rétablit lentement et revient progressivement d’un congé médical de six mois, a été admis à l’unité de soins d’urgence à trois reprises et, après une batterie de tests, a été diagnostiqué avec une myocardite et un syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS ; voir Patone et al., 2022). Aucun des médecins n’a considéré l’injection antérieure d’ARNm comme une cause possible de la myocardite ou du diagnostic de syndrome de tachycardie orthostatique posturale, ni n’a signalé l’un ou l’autre de ces résultats en tant qu’EI à l’INSPQ. Les médecins légistes se sont concentrés sur ce que le patient avait mangé deux ans avant les EI au lieu de s’enquérir de l’injection reçue la semaine précédente, ou même de la considérer après que le patient-scientifique l’ait suggérée comme une cause plausible. Lorsque le patient lui a demandé d’examiner le lien suspecté entre les symptômes et l’injection – liens déjà attribués par des médecins compétents aux injections de COVID-19 peu après leur lancement (voir par exemple Das et al., 2021 ; Patel et al, 2021), comme l’ont confirmé ultérieurement de nombreux autres chercheurs (Massari et al., 2022 ; Østein et al., 2022 ; McLernon, 2022 ; Jablonowski & Hooker, 2022 ; Sun et al., 2022) – les médecins déclarants ont attribué les symptômes signalés à l’« anxiété » dans le dossier médical. À plus d’une reprise dans les mois suivants, les médecins minimisaient l’importance et la gravité des symptômes, voire déclaraient le contraire, dans le dossier médical du patient, en l’absence de soins médicaux personnalisés et de suivi de l’état de santé du patient.

Le plus inquiétant est le fait que les mécanismes qui sous-tendent l’inflammation du muscle cardiaque après l’injection peuvent également être en jeu dans d’autres organes et tissus, et que l’on peut s’attendre, s’ils sont présents, à déclencher une série de symptômes ou de complications à court, moyen et long terme. Ces séquelles, inconnues jusqu’alors avant les injections de COVID-19, d’après les expériences rapportées par les deux patients-scientifiques en cause ici, ne seront probablement pas considérées selon leur prévalence et leur gravité réelles, car, comme le montrent les deux études de cas, il est peu probable qu’elles soient rapportées tout court. La mesure dans laquelle les vaccins COVID-19 induisent ou exacerbent des maladies auto-immunes ou d’autres affections comorbides, par exemple, est particulièrement préoccupante et ne peut être ignorée qu’au péril des millions de bénéficiaires (voir pour la discussion Classen, 2021a ; Seneff & Nigh, 2021).

On peut émettre l’hypothèse que les EI post-vaccination sont liés à la formulation de la nanoparticule injectable COVID-19, qui permet une distribution systémique et une absorption de la séquence codant pour la Spike (S) par des cellules non immunes, qui ne sont pas censées présenter des antigènes aux cellules immunitaires. Cela pourrait-il déclencher des réactions inflammatoires ou auto-immunes indésirables à l’encontre des cellules exprimant la Spike ? Cela pourrait-il expliquer la grande diversité des EI associés aux injections de COVID-19 répertoriés dans les documents publiés par Pfizer et dans la base de données VAERS ? Comment expliquer une telle diversité d’EI post-vaccinaux alors qu’ils ont tous en commun une composition supposée standardisée et très contrôlée (fluide exactement similaire) des produits injectés au même endroit ? On s’attend à ce que les niveaux réels de production de la protéine Spike varient de plusieurs ordres de grandeur en fonction d’une multitude de facteurs, notamment la dose par rapport à la masse corporelle, la génétique, l’état métabolique des cellules qui absorbent l’ARNm du vaccin, l’état nutritionnel et pharmacologique du receveur, et une multitude d’interactions aux conséquences inconnues entre les facteurs précédents. En outre, des ARNm tronqués peuvent être présents dans le vaccin (Tinari, 2021 ; voir également la présentation de Gutschi, 2022) et, à leur tour, peuvent produire une diversité considérable de protéines Spike tronquées (Santiago, 2022a), conduisant à des antigènes plus courts et à une réponse anticorps altérée, moins spécifique, avec un potentiel d’amorçage pathogène auto-immun supplémentaire (Lyons-Weiler, 2020 ; Vojdani & Kharrazian, 2020 ; Vojdani et al., 2021).

Parmi les facteurs cliniques de sous-déclaration des EI que les deux scientifiques ont observés, citons :

1/ le manque d’ouverture des médecins à considérer l’injection COVID-19 comme une cause possible des EI signalés ;

2/ l’existence d’une croyance a priori selon laquelle tout EI observé ne peut être attribué aux injections COVID-19 ;

3/ la pression exercée par les pairs pour ne pas considérer les EI liés aux injections comme une explication diagnostique possible ;

4/ la confiance des médecins dans les politiques et les déclarations de leur ordre professionnel supérieur (CMQ), plutôt que dans leurs propres connaissances médicales, leur jugement et leur expérience clinique ;

5/ les médecins et autres professionnels de la santé suivent aveuglément les directives de leur ordre professionnel plutôt que d’écouter leurs patients ;

6/ le manque de connaissances des médecins en immunologie et sur les injections COVID-19 et leurs « effets secondaires » connus et documentés (Borroni et al., 2021 ; Das et al., 2021 ; Baumeier et al., 2022 ; Deutsche Wirtschaftsnachrichten, 2022 ; Massari et al., 2022 ; McLernon, 2022 ; Oster et al., 2022 ; Patone et al., 2022) ;

7/ l’absence d’un véritable état d’esprit d’investigation, authentique et objectif, des médecins rencontrés ;

8/ le manque de connaissances ou d’intérêt des patients pour la biologie humaine ou leur propre santé ;

9/ le manque de sensibilisation des patients aux signes ou symptômes corporels des « effets secondaires » (EI potentiels), ou à la constatation de changements dans leur état de santé après les injections COVID-19 ;

10/ le désengagement des patients vis-à-vis de leur propre santé et leur dépendance à l’égard de leurs médecins pour sa gestion (comme un propriétaire de voiture qui apporte sa voiture à réparer à un mécanicien de confiance) ;

11/ le fait de ne pas avoir de médecin, de ne pas pouvoir aller chez le médecin ou de ne pas penser que les symptômes sont suffisamment graves pour consulter un médecin ;

12/ la nature volontaire (passive) de la déclaration d’EI ;

13/ le temps (~45 min) nécessaire aux médecins déjà surchargés pour remplir le rapport d’EI de 5 pages sans compensation monétaire ; et

14/ le manque de recul et d’esprit critique à l’égard des nouveaux vaccins génétiques, qui n’ont pas encore été entièrement caractérisés et dont les effets secondaires doivent encore être documentés avec la même minutie que celle consacrée à leurs effets bénéfiques escomptés.

15/ le public est (erronément) amené à croire que ces injections, qui ont été développées et déployées dans le monde entier en quelques mois (Gutschi, 2022), sont aussi sûres et éprouvées que les vaccins traditionnels testés, éprouvés et utilisés pendant des décennies, ce qui réduit la vigilance à l’égard d’éventuels EI ;

16/ le discours dominant, tenu par les agences de santé publique et martelé par les médias, prétendant que les vaccins COVID-19 sont sûrs et efficaces, discréditant ainsi toute personne qui soulèverait un doute ou une question ;

17/ le pouvoir de l’ordre professionnel des médecins du Québec (CMQ), qui contraint ses membres à suivre leurs directives spécifiques dans les soins et le traitement de leurs patients (y compris la promotion de la vaccination) en les menaçant de révoquer leur permis d’exercer la médecine s’ils ne s’y conforment pas ;

18/ l’obéissance parfois aveugle des médecins à leur ordre professionnel au détriment de leur propre conscience professionnelle et de leur esprit critique ;

19/ les médecins sont contraints d’approuver le récit dominant sans pouvoir le remettre en question ou exercer leur esprit scientifique critique, ce qui les amène à l’accepter pour ne pas mettre en péril leur carrière pour laquelle ils ont fait d’importants sacrifices ;

20/ les médecins ne sont pas libres de s’exprimer contre le récit dominant, ce qui empêche le partage d’informations médicales potentiellement importantes, et empêche une meilleure sensibilisation de leurs pairs et du public ;

21/ le fait de réduire au silence ou de calomnier publiquement les médecins qui remettent en cause le discours dominant, décourageant ainsi leurs collègues de poursuivre leurs interrogations et leurs investigations ;

22/ le fait que les gouvernements court-circuitent les médecins et rompent la relation médecin-patient par la vaccination de masse, ce qui rend les médecins incapables de suivre systématiquement et cliniquement leurs patients vaccinés ;

23/ tout retard dans la déclaration et l’analyse de l’EI peut compromettre l’ajustement en temps voulu des politiques de santé publique ;

24/ l’influence politique du gouvernement du Québec sur son agence de santé publique (INSPQ), dont les enquêtes et les recommandations peuvent être soumises à des pressions et des influences politiques par lesquelles l’autorité politique peut contraindre ou l’emporter sur la science (l’INSPQ peut être appelé par le gouvernement à fournir la justification scientifique pour soutenir une décision politique) ;

25/ le manque de cohérence dans le discours public, où les gouvernements prétendent suivre la science, tout en imposant des mesures sanitaires (ex. : couvre-feu) qui ne sont pas soutenues par la science ou en en maintenant d’autres (ex. : obligation de vaccination pour voyager ou pour les travailleurs de la santé) qui sont devenues inutiles à la lumière du contexte sanitaire, causant plus de mal que de bien ;

26/ le retard pris pour inverser des mesures sanitaires pour lesquelles les données émergentes et la science ne sont plus favorables ;

27/ l’utilisation de la science (cherry-picking) par les politiques, au lieu de véritables décisions politiques fondées sur la science, entraînant une perte de confiance dans les autorités ;

28/ le manque de conseils et d’instructions claires transmis aux profanes sur la manière de s’autocontrôler et de signaler aux autorités compétentes les éventuels effets indésirables des injections COVID-19 ;

29/ des données officielles gouvernementales faussées, qui considèrent qu’une personne n’a été vaccinée qu’après le 7ème ou le 14ème jour suivant l’injection, peuvent avoir conduit à une sous-déclaration des EI dans le groupe vacciné (et à une surdéclaration correspondante dans le groupe non vacciné) ;

30/ la pression et l’influence éventuelles des lobbies de l’industrie pharmaceutique et de la société de conseil McKinsey – qui a coordonné la gestion de la crise et comptait Pfizer parmi ses clients pendant cette période – pour que les injections soient considérées comme « sûres et efficaces » peuvent avoir réduit la vigilance des autorités et des professionnels de la santé, et minimisé l’importance de la déclaration et de l’analyse des EI, ou les avoir assimilés à ceux des vaccins traditionnels ; et

31/ une pression et une influence similaires ont été exercées sur les maisons d’édition et les revues scientifiques, entraînant un manque d’objectivité, d’indépendance et d’ouverture dans la communication des EI liés à la vaccination par COVID-19.

C’est après que l’un des deux patients-scientifiques ait été contacté par une infirmière diplômée de l’INSPQ que nous avons appris que l’agence de santé publique ne prend pas en compte les EI qui apparaissent plus de six semaines après une injection COVID-19.

Il est clair que la pression hiérarchique et la censure imposées aux médecins et aux professionnels de la santé par leurs ordres professionnels ont une forte influence sur l’état d’esprit des praticiens qui se répercute sur l’ensemble des professions liées à la santé et contribue à un système de soins de santé dans lequel les EI sont certainement sous-déclarés.

Parmi les facteurs médiatiques influençant la sous-déclaration des EI, on peut citer :

1/ les messages récurrents des médias grand public affirmant universellement la sécurité des injections COVID-19 ;

2/ la couverture médiatique des conférences de presse quotidiennes ou hebdomadaires du gouvernement, au cours desquelles la population est exhortée à « se faire vacciner », une directive qui est rarement remise en question par les membres de la presse et qui conduit à la croyance générale que les injections sont effectivement « sûres et efficaces » ;

3/ la couverture médiatique déséquilibrée qui promeut les avantages de la vaccination COVID-19, tout en minimisant les risques potentiels, ce qui biaise toute évaluation possible des risques et des avantages, de même que le consentement éclairé du grand public ;

4/ l’absence de couverture médiatique représentative concernant les victimes de complications de la maladie, avec une focalisation sur les exceptions, déformant ainsi la réalité sanitaire, créant la peur et conduisant à la croyance que tout le monde supporte les mêmes risques ;

5/ la méconnaissance de l’immunité naturellement acquise et la promotion de l’immunité induite par la vaccination et des campagnes de vaccination de masse ;

6/ le manque de couverture médiatique des EI raisonnablement attribuables aux injections COVID-19, amenant les gens à croire qu’il n’y en a pas, ou qu’ils sont mineurs ou excessivement rares ;

7/ l’absence de couverture médiatique ou de publicité invitant à déclarer les EI (par exemple, comment les signaler), ce qui devrait être aussi important que la promotion des injections et l’information sur les risques potentiels ; et

8/ le mépris et l’atteinte à la réputation des scientifiques indépendants exprimant des points de vue dissidents et des analyses critiques, afin de maintenir la cohésion sociale et de préserver le message unique de sécurité et d’efficacité.

Les débats sont devenus impossibles, les discussions de fond sont proscrites et les points de vue alternatifs sont réprimés par les médias. Cette dernière éventualité est remarquable, car les journalistes ne sont presque jamais des experts dans les domaines de la virologie, de l’immunologie, de la médecine, de la pharmacie, de la génétique, etc. Pourtant, leur manque d’expertise ne les empêche pas d’adopter une position d’autorité en répétant le message du gouvernement à tous ceux qui les écoutent, tandis qu’ils mettent de côté leur propre esprit critique et leurs limites éthiques pour discréditer, disqualifier par stigmatisation ou censurer, sans arguments substantiels, les experts indépendants qui, sur la base d’une autorité valide, expriment des points de vue ou des critiques différents.

Le résultat de la partialité des médias est une illusion de consensus scientifique et de vérité, alors que ce qui est diffusé est de la propagande. La couverture médiatique favorable des soi-disant « fact-checkers », détenteurs autoproclamés de la vérité, qui calomnient souvent les experts indépendants, sans possibilité d’échange et de discussion scientifiques, contribue à l’illusion que tous les vrais experts soutiennent résolument le message dominant.

Le fait que les journalistes puissent être licenciés s’ils s’y opposent n’aide pas.

Les agences de régulation sanitaire doivent faire appel à des scientifiques indépendants et libres de tout conflit d’intérêts pour s’assurer, en toute objectivité scientifique et avant de donner une autorisation conditionnelle à un vaccin expérimental dans une situation de crise sanitaire, qu’il n’existe pas d’autre alternative, comme des traitements précoces efficaces de la maladie à traiter par la vaccination. À la lumière de ce qui précède, non seulement la relation médecin-patient doit être restaurée, mais plusieurs codes de conduite des médecins – dont le non-respect représente de graves manquements à l’éthique – doivent être rétablis : appliquer le principe de précaution ;  évaluer la nécessité et le rapport risque-bénéfice de toute intervention médicale proposée à leurs patients ;  obtenir un consentement libre et éclairé de leurs patients ;  pour les cliniciens, appliquer l’ancienne règle de « ne pas nuire » ; et  le gouvernement  doit reconnaître le droit des individus à refuser un traitement, indépendamment de ce que le gouvernement peut prétendre être pour « le bien de tous ». Nous devons également reconnaître et dûment prendre en compte l’immunité naturelle acquise à la suite d’une infection par le SRAS-CoV-2 lorsque nous établissons des politiques de santé publique (Koch, 1939 ; Panda et Ding, 2015 ; Aung et al., 2016 ; Gazit et al., 2021 ; Pugh et al., 2022). Il existe de plus en plus de preuves que les injections répétées de COVID-19 peuvent en fait réduire l’efficacité de l’immunité naturelle contre le SRAS-CoV-2 (Goldman et al., 2021 ; Bardosh et al., 2022 ; Guetzkow, 2022 ; Kampf, 2022).

Si des données précises ou inquiétantes sur les EI montrent que les injections COVID-19 causent en fait plus de mal que de bien (comme certains le soutiennent ; voir Seneff & Nigh, 2021 ; Classen, 2021b ; Santiago, 2022b), les autorités ont l’obligation morale de protéger le public, de regarder attentivement dans leur « angle mort » et de rappeler ces produits expérimentaux rapidement et globalement et d’envisager de promouvoir des mesures préventives et des interventions et traitements médicaux alternatifs plus sûrs contre le COVID-19.

Patrick PROVOST,

professeur titulaire à la faculté de médecine de l’Université de Laval (Québec, Canada)

expert1

Compteur Linky 

l'expertise de l'Agence

nationale des fréquences est trompeuse

 

 

 

L'Agence nationale des fréquences (ANFR) vient de publier une expertise selon laquelle "les niveaux des champs électromagnétiques émis par les nouveaux compteurs électriques Linky ne seraient pas plus importants que ceux des compteurs actuels ou de n'importe quel appareil électrique classique".

 

Il est déjà plus que curieux que cette expertise soit publiée exactement lors de l'ouverture du Congrès des maires, au cours duquel le tapis rouge a été déroulé à ErDF pour faire la promotion de son nouveau nom Enedis et surtout du compteur Linky.

 

D'ores et déjà, cette expertise est brandie par les promoteurs des compteurs communicants comme "preuve" que ces derniers ne poseraient "aucun problème". Il est nécessaire de faire une sérieuse mise au point par rapport à cette opération de désinformation.

 

D'abord, il faut rappeler que ce sont TROIS programmes de compteurs communicants qui sont prévus, pour l'électricité (Linky), le gaz (Gazpar) et l'eau, et que chaque logement est donc susceptible d'être doté de 3 de ces compteurs.

 

Par ailleurs, dans le cadre de ces programmes, ce ne sont pas seulement des compteurs qui sont prévus, mais de nombreux autres appareils (répéteurs, répartiteurs, concentrateurs) qui doivent être installés dans les rues pour capter et transporter les nombreuses données recueillies par les compteurs communicants.

 

Qui plus est, une fois rassemblées au niveau des concentrateurs (compteurs de gaz et d'eau) ou des transformateurs de quartier (compteurs Linky), les informations sont réexpédiées par téléphonie mobile.

 

D'autre part, le problème est démultiplié dans les habitats collectifs : dans une entrée d'immeuble de quinze appartements, par exemple, le local technique peut de fait rassembler 45 compteurs communicants, et ce à proximité immédiate de certains appartements.

 

 

Il est donc évident que mesurer les émissions d'un simple compteur Linky, comme l'a fait l'ANFR, ne permet aucunement de rendre compte de la réalité de l'exposition aux ondes électromagnétiques qui sera infligée aux habitants si les programmes de compteurs communicants ne sont pas stoppés.

 

 

Qui plus est, l'ANFR ne peut à ce jour mesurer que les flux très réduits que ErDF veut bien lui proposer. Ces flux seront en réalité beaucoup plus intenses lorsque les Linky, véritables chevaux de Troie, auront été installés, comme on peut le constater dans certains documents d'ErDF (mais bien entendu pas ceux qui sont diffusés aux habitants et à leurs élus) :

 

"ERDF a bâti un système évolutif utilisant des technologies de pointe, capables de gérer de très importants flux de données. Nous ne sommes encore qu’aux prémices de l’exploitation de toutes les potentialités de ce compteur".

(http://www.erdf.fr/sites/default/files/DP_Signature-Convention_ERDF-ADEME.pdf , p6)

 

Enfin, les promoteurs des compteurs communicants font mine d'oublier que la question des ondes électromagnétique est loin d'être la seule à poser de graves problèmes. Par exemple, il est injustifiable se débarrasser de plus de 80 millions de compteurs actuels en parfait état de marche (35 millions pour l'électricité, 35 pour l'eau, 11 pour le gaz) . Les opérateurs ont beau assurer que des filières de recyclage vont être mises en place, elles ne devraient exister que pour des appareils arrivés en fin de vie. Or les compteurs actuels sont prévus pour durer 60 ans, contrairement aux Linky, Gazpar et compagnie qu'il faudra remplacer, à nouveau à grands frais, dans moins de 20 ans. L'aventure des compteurs communicants commence donc par un véritable désastre écologique.

 

Par ailleurs, s'ils sont installés, les compteurs communicants vont capter sur nos vies d'innombrables informations utilisables à des fins commerciales ou policières. Certes, les autorités promettent que ces données ne seront pas utilisées sans notre aval, mais que vaudront ces belles paroles à l'avenir ? Il suffira à un gouvernement quelconque d'arguer de la situation économique ou sécuritaire pour décréter que les informations collectées par les compteurs seront utilisables par les entreprises ou la police, par exemple sous les prétextes respectifs de "relancer la croissance" ou de "lutter contre le terrorisme". On veut installer dans nos logements de véritables "Big brothers" en nous jurant qu'ils ne serviront pas à nous surveiller… et nous devrions y croire ?

 

On le voit, quelle que soit la qualité technique des mesures effectuées, l'expertise de l'ANFR est incapable de rendre de compte des graves dangers générés par les compteurs communicants, même en ce qui concerne la seule question des ondes électromagnétiques.

 

C'est donc à juste titre que les communes sont de plus en plus nombreuses (173 à ce jour), malgré les pressions antidémocratiques exercées par les dirigeants d'ErDF, des Syndicats départementaux de l'énergie, de l'Association des maires de France, des préfets, etc, à délibérer contre le déploiement des compteurs communicants, comme on peut le constater quotidiennement sur le site web http://refus.linky.gazpar.free.fr .

Communiqué : Contre-Rapport ANFR

Après le LNE, c'est à l'ANFR de publier un rapport sur le système de comptage connecté Linky suivant les données techniques de configuration fournies
par Enedis (ERDF), car aussi incroyable que cela puisse paraître, on peut y lire page 8 parag. 3.3, sic : "Selon les informations communiquées par Enedis)" !

Même si les valeurs radiatives en densité de puissance indiquées dans le rapport sont jusqu'à 1000 ou 10 000 fois supérieures à celles annoncées
précédemment par ERDF (les fumeux 0,0003 V/m à 20 cm), néanmoins la publication de ce scandaleux rapport tronqué de l'ANFR sur le Linky,
oblige un Contre-Rapport généraliste et d'expertises détaillées et comparatives en situations réelles avec les graphes (idem ANFR),
ce Contre-Rapport est en cours de réalisation.

Face à la désinformation élevée maintenant à un niveau institutionnel, pour venir en aide aux associations, collectifs et simples citoyens qui se battent
sur le terrain, il a été décidé la création de docs A4 et de posters explicatifs de vulgarisation sur la Linky Dirty Electricity (LDE) afin que les consommateurs
puissent bien comprendre sans avoir de connaissance particulière.
Ces posters et docs comporteront des reproductions en situations réelles de graphes de la LDE d'Enedis présente sur tout le réseau Basse Tension,
appartements inclus, actuellement en kHz en G3, mais demain en G4 ou G5 en MHz, car c'est elle qui  va impacter la santé de tous les Français,
ceci 24H sur 24 jusque dans les chambres des enfants !

www.next-up.org/Newsoftheworld/2016.php  

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