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Lancement de notre campagne contre la VSA

La loi JO de 2023 a légalisé des « expérimentations » de vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans un cadre précis : des événements « festifs, sportifs ou culturels », sur une période donnée (jusqu’en mars 2025), et pour surveiller seulement huit critères parmi lesquels les départs de feu, les franchissements de ligne ou les mouvements de foule par exemple. Mais on le sait depuis longtemps grâce à notre campagne Technopolice, la VSA est déjà présente et utilisée dans des dizaines de communes sans aucun cadre légal. La SNCF expérimente par exemple depuis plusieurs mois un dispositif appelé Prevent PCP et qui dépasse largement le cadre délimité par la loi JO.

C’est pourquoi nous lançons cette semaine une grande campagne contre la VSA légale et illégale, en profitant de l’intérêt suscité par les JO, pour dénoncer l’hypocrisie consistant à légaliser petit à petit, et à banaliser par le fait, un système de surveillance qui sert à la fois des intérêts électoraux, industriels et policiers au mépris complet des droits fondamentaux et sans aucun débat démocratique.

Première action de cette campagne : une plainte devant la CNIL contre le dispositif Prevent PCPC de la SNCF. Pour en savoir plus sur la campagne, lisez notre communiqué de lancement ! Et retrouvez sur notre page de campagne les éléments de communication et de sensibilisation que nous avons préparés. Ils seront complétés au fil de la campagne.

Lire le communiqué de lancement de la campagne : https://www.laquadrature.net/2024/05/02/contre-lempire-de-la-videosurveillance-algorithmique-la-quadrature-du-net-contre-attaque/
Le site de campagne : hhttps://www.laquadrature.net/vsa/

Face à la numérisation des services publics

 

La numérisation des systèmes sociaux (qui ont presque 10 ans) ont montré que la mise en place de systèmes numériques dans le domaine social produit le plus souvent des dysfonctionnements, un renforcement des contrôles et une diminution des droits à l’encontre des plus démunis, qui sont d’autant plus forts qu’ils sont renforcés par les logiques austéritaires et libérales qui président au choix de la numérisation, consistant à améliorer le contrôle pour un coût moindre. Face aux déploiements des outils de surveillance sociale des mobilisations ont lieu ailleurs en Europe et apportent parfois des victoires sociales.

 

En 2019 l’algorithme du Pôle emploi polonais a été déclaré inconstitutionnel. Ce système avait été critiqué dès le début par la société civile. Il était utilisé par l’agence pour catégoriser les demandeurs d’emploi et les noter en fonction de leur employabilité. Ce score décidait des prestations et services auxquels ils avaient droit (comme l’accès ou non à la formation…) et avait une influence sur les sanctions, si les demandeurs d’emplois ne faisaient pas ce qu’ils devaient faire, explique la sociologue Karolina Sztandar-Sztanderska. La dernière critique à l’encontre de ce système portait sur les données collectées, qui aurait dû être régulées par une loi votée par le parlement polonais, alors qu’ici, cette régulation était le fait d’un ministère, ce qui était pas conforme à la législation.../... Il est primordial d’avoir un site pour informer les gens, rapporter et documenter.../... Pour Tijmen Wisman, l’enjeu de l’opposition a SyRi n’était pas d’améliorer le système. “Le problème du déploiement de systèmes de surveillance aux aides sociales, n’est pas leurs défaillances, mais la surveillance totale qu’ils impliquent”.

Dans ce cadre, la régulation des systèmes ne suffit pas. Le but n’est pas d’améliorer les systèmes, car on oublie que cette amélioration nécessite un contrôle renforcé sur les administrés. L’audit comme la régulation visent à rendre ces systèmes de surveillance plus conformes à la législation mais ne les font pas reculer.  “La régulation ne cherche pas tant à remettre en question le déploiement de ces systèmes qu’à les rendre légaux” et à accepter la surveillance des citoyens qui va avec. Et Wisman de dénoncer la direction vers laquelle nous conduisent les décisions européennes actuelles, qui visent à renforcer la transparence des systèmes pour les rendre incontournables. L’enjeu désormais consiste surtout à trouver des modalités de collaborations avec d’autres acteurs, pour mieux enquêter et pour toucher plus de gens. Alors que la loi européenne sur l’intelligence artificielle se formalise, les organisations civiles doivent continuer à mettre la pression à l’Union européenne. La législation européenne sur l’IA est un énorme texte législatif. Les associations doivent s’entraider pour protéger les gens, les informer, faire du plaidoyer et mener des campagnes de communication communes pour rendre ces sujets plus visibles qu’ils ne sont, alerte Nikolett Aszodi. En regard, le débat public ne suit pas. Il ne s’est pas intensifié. Nous manquons de débats démocratiques sur le déploiement de systèmes de contrôle et de surveillance, au moins pour nous interroger collectivement sur les domaines ou les tâches qu’ils doivent accomplir et là où ils ne devraient pas aller. Mais l’évaluation est également déficiente. “Partout on met en place des systèmes et seulement parfois, rarement,  on les contrôle”. Pour beaucoup d’agences, la question de la transparence est très abstraite. La raison de la mise en œuvre de ces systèmes est très rarement documentée. Les bénéfices attendus ne sont pas expliqués. Sur les algorithmes publics, il n’y a ni justification ni démonstration des avantages qu’ils apportent. L’objectif même n’est bien souvent ni clair ni partagé. Seuls une poignée d’algorithmes européens sont considérés comme efficaces, même s’ils peuvent se révéler problématiques (à l’image d’un algorithme espagnol pour prédire le risque de violence à l’encontre des femmes).

En fait, très majoritairement, les systèmes ne tiennent pas leurs promesses. En Finlande, un système d’IA pour aider les citoyens en cas de changements dans leur vie est considéré comme un emprisonnement car en fait, il limite l’accès de nombre de citoyens aux services publics. La technologie est trop souvent promue comme étant capable d’apporter des solutions aux problèmes humains, mais c’est là un discours idéologique dont on ne trouve pas d’exemple concrets dans le déploiement des systèmes sociaux, rappelle Nikolett Aszodi. La surveillance et le profilage se dirigent uniquement vers les plus démunis, les plus marginaux. “C’est un regard à sens unique”. C’est un regard vers le bas, qui cible toujours les communautés et les personnes marginalisées et dominées, en l’élargissant souvent aux oppositions politiques, comme c’est le cas avec la vidéosurveillance. La Quadrature approuve et rappelle que les projets de profilage des publics sont également en projet en France, par exemple chez Pôle Emploi qui fourmille de projets avec son incubateur de startup dédié. L’association souligne d’ailleurs qu’une nouvelle version du site de Pôle Emploi est en déploiement. “Qui dit nouvelle version de site, dit nouvelles données collectées”. Pour Wisman, l’efficacité de l’automatisation ne peut produire qu’une société ségrégée. Nous sommes face à une crise de l’efficacité, mais elle ne se résoudra pas par une surveillance toujours plus forte. On ne peut pas utiliser l’IA pour prédire des situations sociales : ça ne marche pas et ça n’a jamais marché. Propos recueillis par H. GUILLAUD

L’intelligence artificielle n’existe pas

Avec ChatGPT que l’on présente dans les médias comme quelque chose de magique, ou qui fait peur, l’IA qui est dans les films, comme « Terminator », cette intelligence-là n’existe pas. Il ne faudrait pas parler d’une intelligence artificielle mais d’intelligences artificielles au pluriel. L’I.A c’est une boîte à outils. Chacune de ces intelligences est très forte dans le domaine particulier pour laquelle elle a été conçue. Elle est utile et marche mieux que nous pour planter un clou s’il s’agit d’un marteau de cette boîte à outils.

Donc en 1956, on invente l’expression « intelligence artificielle ». Une équipe de scientifiques américains ont défini mathématiquement un neurone. Ils ont modélisé un neurone. Puis un réseau de neurones, puis le cerveau, puis l’intelligence. Evidemment le raisonnement que je viens de tenir est complétement stupide et ça n’a pas marché. Mais si on y réfléchit bien on fait cela depuis la nuit des temps. On essaye de trouver des outils, de faire des machines, de faire des systèmes qui vont faire des choses qui ressemble à ce que l’on fait nous.

Je vais faire démarrer l’intelligence artificielle en 1642. En 1642 le mathématicien et philosophe français PASCAL a inventé la « Pascaline » qui faisait des additions et des soustractions. Cela fait donc très, très, longtemps que la machine fait des « trucs » qui ont l’air intelligent. Je reviens à mes amis de 1956, j’ai dit que leur raisonnement était stupide car non seulement ils ont utilisé un mauvais nom « Intelligence Artificielle » mais en plus ils se sont attaqué au problème le plus compliqué qui existe à savoir résoudre le langage naturel.  Le langage naturel c’est ce que l’on fait en sons, les mots sont faciles mais le sens est difficile. En 1956 on est alors entré dans le premier hiver de l’IA. On a globalement décidé d’arrêter de subventionner ces programmes de recherches. Mais ce qui nous pend au nez c’est un nouvel hiver de l’IA si on continue à « faire notre Laurent Alexandre », à raconter n’importe quoi. Soit on nous fait peur, soit on nous fait rêver et ça n’arrive pas.

Dans les années soixante, il n’y a plus d’intelligence artificielle. Mais il apparait, pourtant,  l’IA dite « logique » Ce sont les systèmes experts  des trente années qui suivent. Son apothéose a lieu en 1997 quand le champion du monde d’échecs Kasparov est battu par la machine « deep blue ». C’est impressionnant parce que quand on joue aux échecs on est intelligent…Intelligent ? Mais, non. C’est rigolo, c’est un jeu, il y a des règles. Quand on parle de systèmes experts, on parle de bases de règles. Donc on rentre les règles du jeu dans la base, on sait que aux échecs il y a 10 puissance 49 coups et en 1997 on a assez de puissance de calcul pour aller « vers le bon coup ». Kasparov, lui, n’est pas capable de calculer comme cela. Dans les années 1990 les statistiques reviennent à la charge. Apparaissent les machines « learning », les machines « apprennent ». Internet apparait également. Et Internet c’est beaucoup, beaucoup, beaucoup de données. Dans les années 2000 on fait du « deep learning » exactement pareil que, en 1990, mais il y a encore plus de données statistiques.  Reprenons, dans les premières années d’internet, il y a beaucoup d’images de chats… vous allez me dire « il a pété une durite » ? En fait les chats sont intéressants pour des gens qui veulent faire des statistiques, pourquoi ? Parce que ces images de chats sont annotées. Alors on se dit, on va utiliser cette base de données pour faire le premier « reconnaisseur » de chats.  Un truc super intelligent. On se rend compte que, avec 100.000 images de chats, je peux faire un « reconnaisseur » de chats à 98%. Là on arrive au top de l’IA. Mais on se demande si cela est vraiment intelligent, il faut quand même 100.000 images de chats. Or, on a posé la question à des psychologues. Pour ma fille de deux ans, combien d’images lui faut-elle pour reconnaitre un chat ? Réponse du psychologue : deux images. Ma fille de deux ans, qui n’est pas forcément très intelligente, a besoin de deux images de chats pour reconnaitre le chat à 100%. L’IA, il lui faut 100.000 images. Donc on est en train de fabriquer des trucs qui n’ont rien à voir avec notre cerveau. Ces systèmes ont des limites dues aux données.

En 2016 une machine bat le champion du monde de GO. Le GO est un peu plus compliqué que les échecs. Il y aurait entre dix puissance 200 et dix puissance 600, coups possibles mais on en sait véritablement rien. C’est la machine de chez « deep mind » qui fait tourner le programme « Alphago ». Dans cette machine il y a 1500 puces CPU d’ordinateur, 300 puces GPU de calcul matriciel et 500 puces TPU d’apprentissage. On est en présence d’un petit « data center ». 440 kWatts de puissance. 440 kWatts pour jouer au GO. On peut se poser la question suivante, alors que le petit Coréen qui a 18 ans et qui a un cerveau ne consomme que… vingt watts. En fait on crée des trucs qui n’ont rien à voir avec le cerveau. Rappel, cette machine « Alphago » ne fait que jouer au GO. Encore une fois, respirons, ces machines n’ont rien à voir avec le cerveau. On n’aurait jamais dû appeler cela « intelligence artificielle ».

Chatgpt utilise aujourd’hui environ 175 milliards de morceaux de données. Ces données malheureusement sont toujours biaisées. Je ne sais pas si on vous l’a dit mais sur internet il n’y a pas que des trucs vrais. Et la machine ingurgite donc des choses fausses. Sur internet on trouve que la terre est plate. Si vous insistez un peu en parlant à Chatgpt, il va vous dire que la terre est plate parce que, il prend les données d’internet. Et tout cela donne des systèmes où ça va se voir.

Toujours en 2016 on parlait du Chatbot « Tay » sensé interagir sur tweeter avec les gens pour la vente de produits Microsoft. Au bout de seize heures d’opération ils ont été obligés de le débrancher. Ce système était devenu raciste et sexiste. Les scientifiques se sont demandés mais pourquoi, pourquoi, cela n’a strictement, aucun sens. En fait, deux bogues ont été identifiés, le premier, une erreur de logique, comme vous le savez sur tweeter au bout de deux ou trois interactions on s’insulte donc « Tay » a fait pareil. La bonne nouvelle étant que l’on peut corriger ce bogue en contrôlant le « niveau » de dialogue, on filtre. Mais le deuxième était un bogue de données.

Quand on fabrique un système d’interactions il faut chercher dans les bases de « données de dialogues » comportant des millions de conversations enregistrées et annotées, ce qui nous intéresse. La personne en charge du projet a été obligée de trier une partie de ces conversations parce que la base était trop vaste. Donc il a pris un morceau de la base, intitulé « alabama des années cinquante » or les « noirs » à cette époque étaient dans une « situation un peu délicate ».

La base de données s’en est trouvée biaisée et elle est devenue complétement raciste dans les interactions de dialogue. Quand on a 100.000 images de chats on peut encore supprimer deux ou trois images de chiens qui se sont introduites dans la base, mais quand on a 175 milliards de morceaux de données…et d’autre part quand on veut vraiment résoudre le problème et que l’on souhaite trier ces données et bien on rentre son propre tri, son propre choix et qui dit que c’est moi qui ai raison dans mes choix ?

Dans les statistiques il y a des choses fausses. Et donc toutes les bases de données sont fausses. Il faut donc douter de tous ces systèmes. Ces IA sont des boîtes noires. Pourtant de temps en temps on peut faire confiance à ces boîtes noires parce que, en fait ce sont des boîtes transparentes. Comme toutes les sciences nouvelles c’est compliqué. Ça a l’air compliqué.

Je vais vous raconter une histoire familiale. Je parlais tout-a-l’heure de ce brave Gaston Julia qui est un grand oncle et qui a inventé les fractals en 1914. La communauté mathématique regarde cette équation, surprise. Pour le commun des mortels c’est une équation incompréhensible. C’est une boîte noire, pour la plupart des gens, mais elle transparente pour Julia et ses collègues. 1955 Julia est professeur à polytechnique, il a comme élève Benoît Mandelbrot. Celui-ci part aux Etats-Unis, chez IBM, il entre l’équation de Julia dans un ordinateur et apparait à l’écran cette magnifique « fougère ». Quand on la regarde, à chaque niveau c’est la même fougère qui se reproduit. C’est une propriété des fractals que l’on appelle la récursivité. N’importe qui peut comprendre alors cette boîte noire qui est devenue transparente.

Je vais vous parler de la voiture autonome maintenant. 2015 Elon Musk dit la voiture autonome c’est pour demain. 2018, la voiture autonome c’est pour demain. 2021, la voiture autonome c’est pour demain. 2023, la voiture autonome c’est pour demain. Elon Musk raconte n’importe quoi. Quand on parle voiture autonome c’est pour demain, c’est de niveau cinq, niveau ultime de l’automobile. Aujourd’hui on est à peu près au niveau deux virgule cinq. On est loin du niveau cinq. D’autant plus que le niveau cinq n’existera jamais. Premier exemple pour vous le prouver. Place de l’Etoile à Paris à 18 heures, vous collez une voiture autonome là. Elle va rester immobile. Pourquoi ? Parce que, elle respecte le code de la route.

Voici la version officielle concernant ce problème. Une voiture roule aux Etats-Unis près de chez Google, cette voiture au milieu de rien, s’arrête.  Attend deux ou trois secondes fait deux ou trois mètres et s’arrête.  Attend encore deux ou trois secondes fait deux ou trois mètres et s’arrête. Etc. mais il y a derrière cette voiture une file de voitures qui s’impatiente. On a analysé les vidéos de cette scène. On voit deux gars qui marchent sur le trottoir et le gars qui est le plus près du bord de la route tient sur son épaule un panneau Stop. Vous qui voyez une personne sur le bord de la route avec un panneau Stop sur l’épaule et qui marche dans la même direction que le véhicule, vous, vous ne vous arrêtez pas. Vous, vous vous dites il y a un crétin sur le bord de la route avec un panneau Stop sur l’épaule, bon. La voiture autonome, elle, voit un panneau Stop et elle s’arrête, elle revoit un panneau Stop, elle s’arrête et elle revoit un panneau Stop, elle s’arrête. Mais, ça n’existe pas ce cas, ce n’est pas possible, on n’a jamais vu cela. Nous, humain si on voit un truc comme cela, on fait un truc extraordinaire, que les IA sont incapables de faire, on invente, on s’adapte, on crée. Alors quand on parle d’IA, génératives, Chatgpt ou autres, il y a une chose qui est bien c’est que l’on ne s’est pas trompé de nom. On n’a pas appelé cela IA créative, mais IA générative. Ça génère des trucs qui arrivent de ses 175 milliards de données, mais ça ne crée rien. En fait c’est vous qui dites à la machine dessine-moi une vache verte sur la tour Eiffel. Oui ça va générer des vaches vertes sur la tour Eiffel, mais c’est vous qui avez l’idée. Tous ces outils nous augmentent nous. Ils augmentent notre intelligence. Une intelligence artificielle c’est donc un marteau qui va planter un clou bien mieux que mon poing. C’est utile et puissant.

Je vais vous présenter maintenant ce qu’est l’intelligence humaine en mathématiques et vous allez comprendre pourquoi l’IA n’a rien à voir avec l’intelligence humaine.

Soit une courbe en deux dimensions. En ordonnée je prends une échelle de zéro à cent, du crétin au génie, en abscisse tous les domaines d’études possibles, c’est continu. Dans n’importe quel domaine on est capable de dire quelque chose, c’est l’intelligence humaine continue et infinie.  On voit un gars sur une route avec un panneau Stop, on est capable de s’adapter tout de suite. L’IA aux échecs, c’est un génie, jeu de GO c’est un génie, la voiture autonome, de niveau quatre, bien mieux que nous, mais parfois il faut l’aider. Dans n’importe quel domaine on peut avoir un outil meilleur que nous, ça ce sont les intelligences artificielles. Donc sur notre courbe on a tracé des lignes « discrètes », échecs, GO, voiture autonomes, etc.

Et la question qui tue : combien de lignes « discrètes » faut-il pour assurer la continuité ?

Réponse : l’infini. Pour pouvoir couvrir l’intelligence humaine, il faudrait l’infini d’intelligences artificielles et ce n’est pas possible. Parfois on dit, oui, mais il y a des lignes qui se ressemblent qui sont contigües, sur le papier, donc on peut faire du transfert d’apprentissage et par capillarité, on va pouvoir couvrir tout le domaine, tout le spectre de l’intelligence humaine. Ce n’est pas une mauvaise idée, d’éviter de refaire des bases de données.  Le problème c’est que, entre deux lignes discrètes, il y a…toujours l’infini de domaines. Et puis tient le truc que l’on vient d’inventer tout à l’heure, elle est où l’IA ? Nulle part.

Conclusion, l’intelligence artificielle est toujours derrière nous, c’est nous qui avons le manche.

Luc JULIA Technologie IA et Education

message du responsable du domaine Déploiement Mobile Sud-Est, d’Orange, du 15/11/2022 :

« ….En réponse à votre mail pour l’implantation d’un site neuf mobile à l’adresse Route de la Prairie 05300 Val Buëch-Méouge, nous vous confirmons l’abandon de ce projet semaine dernière dans nos équipes et l’arrêt des démarches de recherche par notre partenaire sur votre commune. »

Il n’y aura pas d’antenne relais ni à la Prairie, ni ailleurs à Ribiers. Réjouissons-nous, car une fois posée, une antenne c’est comme une balafre au milieu de la figure, impossible de s’en débarrasser (sauf parfois par quelque homme rare, courageux et généreux).

La population ribiéroise a entendu prendre son destin en mains, elle s‘est soulevée, paisiblement et en silence, fermement.

La parenthèse se ferme sur un épisode qui n’a pas duré moins de 18 mois, épisode nauséabond et malsain s’il en fut.

OUI, IL Y A QUELQUE CHOSE DE POURRI DANS LE MONDE DU SMARTPHONE.

- Cette façon des opérateurs de dresser les populations les unes contre les autres, excitant ce qu’il y a de plus vil et mesquin au fond de l’humain. Les petits malins qui pensent tirer les marrons du feu tout en se tenant loin des faisceaux mortels, ceux qui n’ont rien demandé à personne et qui se retrouvent un beau matin à se débattre comme des malheureux pour échapper à la malédiction de l’antenne, ceux qui ont vite fait de calculer que, pourquoi pas, après tout parfois « ça passe mal » et l’antenne sera suffisamment éloignée pour ne pas en pâtir, tant pis pour les autres …

 

- Cette omnipotence d’un pouvoir tapis dans l’ombre, manœuvrant les ficelles pour on ne sait quels intérêts particuliers, avançant ses pions sur un terrain désert de toute contestation. Sa puissance et sa légitimité seraient d’inviter la population à prendre sa destinée en mains, en toute connaissance de cause et en toute transparence, pour préserver son bien-être, sa paix et sa sérénité.

Le reste n’est que cynisme et perversion.

 

- Cette acceptation de l’inacceptable :

> de l’esclavage qui sévit autour de l’industrie de la communication, au pillage des ressources, aux pollutions géantes par l’extractivisme, la transformation, le transport, le fonctionnement, les déchets qui finissent toujours chez les plus pauvres.

> de la dépossession des humains d’eux-mêmes, de leur mise sous dépendance de la ressource numérique, de tout et de tous les moments de leur vie. Chaque sensation, chaque plaisir, chaque relation doivent être constitués par le hochet relié à l’internet. Chaque question doit être résolue par le gadget connecté. Chaque choix doit être orienté par la laisse électronique.

> de l’éradication de la pensée même d’une possible autonomie, de la possible construction d’un monde à la mesure des humains, avec et dans les valeurs humaines.

 

- Cet aveuglement qui consiste à se faire croire qu’on maîtrise le monstre, financièrement tout comme techniquement, par son usage et par l’usage qui est fait des données personnelles.

Dernièrement une personne se plaignait auprès de son fournisseur d’accès qu’internet était très lent. Ce dernier lui signala que tout était normal dans la mesure où la bonne dame avait chez elle...

23 objets connectés, ce que, bien entendu, elle ignorait. (Lettre aux adhérents de l’association Robin des Toits – 18/10/2022).

On n’a pas fini d’entendre à travers les villages et les campagnes braire ces ânes et ânesses qui se seront équipés d’objets connectés, sans le savoir ou en le sachant et qui brameront pour obtenir plus de réseau !

OUI, IL Y A VRAIMENT QUELQUE CHOSE DE POURRI DANS LE MONDE DU SMARTPHONE ! RENONCEZ AU VÔTRE AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD !

Meilleures salutations.

MC MONET

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ce livre s’adresse à tous, en premier lieu aux malades, c’est-à-dire ceux atteints d’électrohypersensibilité, ou encore de cancer, de maladie d’Alzheimer, de maladies du système nerveux ou du cœur, ou même d’infertilité, pour lesquels un effet nocif des ondes électromagnétiques a été mis en évidence, afin qu’ils prennent les précautions nécessaires ; mais il s’adresse aussi aux bien-portants pour qu’ils se protègent et protègent leurs enfants et petits-enfants des impacts des ondes issues des téléphones portables, DECT, Wifi, ... et de la 5G !

Ensuite parce qu’émanant de médecins et de scientifiques reconnus dans le monde pour la qualité de leurs recherches, et réalisée en se basant sur les critères de causalité préconisés par l’OMS, cette expertise apporte pour la première fois la preuve que nombre de nos maladies et problèmes de santé sont bien en partie causés par les ondes qui nous entourent et que celles-ci altèrent la faune et la flore de notre environnement, contribuant ainsi à une perte de biodiversité irrémédiable.

En cas d’exposition chronique, ces ondes sont aussi responsables de déficits immunitaires, pouvant causer la propagation des virus et leurs mutations, tant chez les animaux que chez l’homme et ainsi pourraient avoir été l’une des causes initiale de la pandémie de Covid-19 en Chine à Wuhan en raison du développement de la 5G. Si tel était le cas, la maîtrise de cette pandémie et des autres à venir deviendrait extrêmement problématique.

Enfin, dernier point, loin de fustiger le progrès dans son ensemble, lorsqu’il est réellement utile au bien commun et donc aux peuples, ce livre offre des solutions aux plans sanitaire et environnemental, des informations aux médecins et professionnels de santé pour prendre en charge les malades, comme des arguments aux juristes pour plaider contre ce qui constitue aujourd’hui un véritable crime de santé publique : le développement imposé de la 5G et le manque de reconnaissance de ses conséquences extrêmement graves.

Au total, fruit de l’analyse objective de plusieurs milliers d’articles scientifiques, ce livre est un guide à l’usage de tous pour se soigner, se protéger et se défendre dans un contexte de dénigrement et de tromperie généralisée.

 

Tous les auteurs de ce livre sont des chercheurs scientifiques connus et reconnus au plan international pour leurs travaux sur l'électromagnétisme et la santé, ou de juristes confirmés ayant l'expérience du droit en la matière. Tous sont à l'origine de très nombreux articles scientifiques ou juridiques dans des revues à comité de lecture et de plusieurs livres spécialisés ou à destination du grand public.

 

 

Olivier Cachard Professeur agrégé des Facultés de droit. Doyen honoraire de la Faculté de Droit de Nancy, il dirige actuellement le Pôle scientifique sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion de l’Université de Lorraine.
Philippe Irigaray Docteur ès Sciences en Biochimie. Primé à l’Institut National Polytechnique de Lorraine pour sa thèse sur l’“Effet du benzo[a]pyrene sur la lipolyse in vitro et in vivo“.
François Lafforgue Avocat au Barreau de Paris et Docteur en droit. Il est associé au cabinet d’avocats Teissonnière – Topaloff – Lafforgue – Andreu & Associés.
Gérard Ledoigt Professeur émérite de Biologie à l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand et ancien doyen de la Faculté des sciences. Ancien directeur de recherche en Biologie moléculaire, physiologie et biotechnologie, il a démontré que sous l’effet des champs électromagnétiques, des végétaux se mettaient à fabriquer des protéines de stress.
Pierre Le Ruz Docteur d’État en physiologie. Il a été administrateur à la Société Française de Radioprotection (SFRP). Il a effectué différents travaux de recherche sur contrats DRME/DRET/RADARS. Il est le fondateur du Centre d’Études et de Recherche en Protection Électromagnétique CERPEM-ESIEA, et le Directeur Scientifique accrédité IRPB/DRASS à l’Institut CREER et au Centre de Recherche et Développement IMOTEP.
André Vander Vorst Physicien, professeur émérite à l’Université catholique de Louvain, (Belgique). Tout au long de sa carrière, il a étudié les effets des micro-ondes dans des milieux divers : les matériaux magnétiques, la radioastronomie, les guides d’onde chargés, les lignes coplanaires, les principes variationnels, la radiométrie, les transducteurs micro-ondes/optique, et les effets biologiques qui constituent son Intérêt principal depuis de longues années.

Dominique BELPOMME professeur de cancérologie au Centre Hospitalier Universitaire Necker-Enfants malades. Membre de plusieurs sociétés savantes internationales et président de l’ARTAC, Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse, qu’il a fondé en
1984, ce cancérologue français est internationalement connu pour ses travaux de recherche sur le cancer.

 

https://lelivrenoirdesondes.fr/

je vis

Lanester, le 10 avril 2016

Madame Thiery bonjour,
Devant l’urgence de la situation, je tiens à vous transmettre les dernières informations que nous avons recueillies au sujet des compteurs linky. En effet, nous sommes allés samedi sur le marché de merville, et dimanche sur celui de Ploemeur.
Nous pouvons relever à ce jour
Un habitant de Kerroc’h, sportif de haut niveau, dont le voisin non mitoyen a eu le compteur changé, a eu tout de suite des palpitations, et son ordinateur a grillé.
Un habitant de Lorient a, depuis la pose du compteur, de très violents acouphènes et des bruits d’explosion dans les oreilles, surtout le soir.
Une dame de Ploemeur a eu le système électrique de fermeture de la porte du garage qui a grillé.
Une autre de Ploemeur a eu son lave-linge de grillé.
Deux incendies viennent d'avoir lieu du compteur dans le Finistère pour défaut de pose.
Un monsieur qui fait partie de l’expérimentation à Ploemeur depuis nov 2015 a eu déjà 3 coupures longues (3/4h) avec impossibilité d’utiliser même son chauffage en période froide…
Pour ma part, après seulement 3 h passées sur le marché de Merville, zone ou le compteur est installé, j’ai ressenti une « barre » sur le front, et des palpitations, ce qui n'a pas été le cas le soir devant l'hotel de ville. Je vais demander à l'association Priartem mon enregistrement.

Nous voulons demander que les relevés établis en entretiens privés, faits sur l’expérimentation et suivis par     le csf soient à disposition, et que les problèmes déjà enregistrés soient remis à l’anses pour son étude.

Il est urgent d’arrêter la pose des compteurs tant que l’anses et l’inres n’ont pas rendu leurs études.
Nous vous transmettons ci-joint l’article paru avec Jo Brohan de Morbihan énergies, il est fait état d’une cession des compteurs à erdf en 2024, avez-vous donc un certificat de cession ? Un courrier  signé de Mr Brohan  stipule que les compteurs seront leur proprité effective en 2024.
Nous vous demandons par la présente de convoquer un conseil municipal extraordinaire et de voter la suspension voire le refus de la pose de ces compteurs jusqu’à ce que les résultats de l’enquête de l’anses soient publiés.  Nous vous demandons également en tant que 1ère adjointe de la communauté d’agglomération de Lorient, d’informer vos collègues et de voter cet arrêt dans toutes les villes ou la pose est prévue, comme a pu le faire l’île de Groix.
L'annexe I de la  Directive européenne, visant la protection des consommateurs (sic), stipule effectivement qu'au moins 80 % des clients seront equipes de systemes intelligents de mesure d’ici a 2020 (La France plus europeenne que Bruxelles a fixe un objectif de deploiement a 95% a 2020) si la mise en place de compteurs intelligents donne lieu à une évaluation favorable.

Il en va de la sécurité des citoyens, affirmez votre droit de protection, de toute urgence.
Danièle Bovin                                                                     Le collectif citoyen de Lanester
Citoyenne avertie et responsable,                                 non moins averti et responsable,

 

FSL et CAF

Au sujet de Linky et des factures anormalement élevées ( l'électronique n'est hélas pas fiable, en plus linky n'a pas d'homologation électrique, entre autres ) dont ne peuvent s'acquitter certains citoyens il faut savoir, et cela peut être un argument pour raisonner les communes qui prennent position en faveur de Linky, qu'en cas de petits revenus ces personnes vont faire appel au FSL qui règlera leur facture énergétique... En sachant que le FSL est abondé par les collectivités + CAF, ce seront donc les communes qui paieront les factures astronomiques d'EDF quand les administrés seront en difficultés. A méditer avant d'accepter Linky dans une commune ! Les dépenses sociales risquent d'exploser. SJ

robe noire

Je crois qu'il serait intéressant de constituer une entité nationale qui représenterait beaucoup de monde auprès des pouvoirs publics. En effet, je retrouve les mêmes raisonnements de mauvaise foi des "experts" qu'en matière de vaccinations où l'on est dans une véritable religion, un dogme que personne ne vérifie, mais qui déclenche des hurlements hystériques dès qu'on le remet en question...JOSEPH Jean-Pierre Avocat GRENOBLE

delib

Les délibérations sont parfaitement valables

les raisons pour lesquelles les délibérations anti-Linky, Gazpar et cie sont parfaitement valables mais admettons que, in fine, la raison d'Etat (ou plutôt celle des industriels !) finisse par l'emporter et que ces délibérations soient annulées.

Eh bien, même dans un tel cas, les élus n'encourrent aucune sanction. Le seul "risque" est d'être félicité et remercié par la population pour avoir tenté de la protéger des ondes électromagnétiques et des atteintes à la vie privée liées aux compteurs communicants..

invulnerable
aucun système communicant n'est invulnérable

le plus inquiétant avait été la modification des informations envoyées à l’opérateur. Les hackers lui avaient indiqué que le foyer n’avait pas consommé d’électricité pendant deux mois !

Les compteurs Linky sont-ils aussi vulnérables ? Officiellement, tout est sous contrôle.lire l'article

refusmai2017

Les exactions d'Enedis et ses sous-traitants se multiplient.

Alors que les citoyens sont de plus en plus nombreux à refuser les compteurs communicants, Enedis et ses séides usent de méthodes de plus en plus révoltantes. Cf par exemple :

Opération commando à Viller au Bois (62) : Article de La Voix du Nord

Agression d'un couple à Plouzané (29) : Reportage de France3

Face à ces actes révoltants, signez svp la pétition qui a déjà recueilli plus de 21 000 signatures? Résistons ensemble !
 

 

Procès du pompier de l'Ile de Ré : le 20 juin à 9h à La Rochelle

Incroyable : c'est notre ami de l'Ile de Ré, qui a été agressé dans son propre logement par les séides d'Enedis, qui passe en procès ! Je serai avec d'autres personnes à partir de 8h45 devant le tribunal pour le soutenir, n'hésitez pas à venir si vous n'êtes pas trop loin : Tribunal de proximité de La Rochelle (67 rue du Jericho)

 

Les journées nationales d'action ont eu lieu... sauf pour les "grands médias"

Les Journées nationales d'action Stop-Linky ont eu lieu les 19 et 20 mai un peu partout en France. Des actions ont eu lieu par exemple à Niort (cf reportage France3), à Cahors (cf article La Dépêche), à Toulon (cf article Var-Matin), ou à Rennes (cf reportage France bleu), etc. Malgré de nombreuses relances, l'AFP a occulté cet évènement or la majorité des médias, très formatés, ne traitent que les infos traitées par l'AFP. Pour mémoire, l'Etat est le premier financeur de l'AFP...

 

Ouverture d'une liste de discussion

Dominique, de Stop Linky 88 (Vosges), a créé une "liste nationale de discussion", vous pouvez vous y inscrire en envoyant un e-mail à reseau_nat_anti_linky@lists.riseup.net ;

 

Procédures juridiques contre les Linky

 

Pour les municipalités, rappel :

 nous avons demandé à Artémisia, cabinet d'avocats spécialisés,
de mettre au point des délibérations qui, nous l'espérons, ne seront pas annulées en justice administrative (procédures lancées par Enedis et ses "employés" les préfets). Cf cette page

Pour les particuliers : avec le même cabinet d'avocats, nous avons lancé deux procédures "tests" :
  une en Ariège pour essayer de faire retirer un Linky, financée par une souscription
(merci encore aux participants !), et une à Paris pour essayer d'empêcher les poses.
Il faut vérifier si le succès est au bout avant de demander à des gens de casser leur tirelire…

 

Communes, attention aux fausses délibérations !

Des communes de plus en plus nombreuses adoptent les nouvelles délibérations élaborées par le cabinet d'avocats Artemisia.

Monsieur Stéphane LHOMME communique :

la situation sur le front du refus Mai 2017

sdepa

les collectifs des Pyrénées-Atlantiques ont rencontré leur syndicat d'énergie.


La discussion en fut intéressante, le compte-rendu se trouve en pièce-jointe.
Les poses forcées sont dénoncées par le syndicat qui va mandater un cabinet indépendant pour vérifier les pratiques d'Enedis et des sous-traitants.

Les collectifs de ce département ont eu l'idée de collecter tous les témoignages de poses forcées dans leur département afin de le remettre à la rentrée à leur syndicat.
Cette liste dans chaque département pourrait être utile pour être entendu par les élus.

Chacun s'il le souhaite peut reprendre ces idées et cette démarche vers son syndicat.

Voici des extraits du mail de l'association Biarritz antennes qui décrivent cette rencontre et leur démarche pour la suite :


Il nous a bien été confirmé que tous les biens concédés à ENEDIS pour la gestion et l’exploitation étaient des « biens en retour », c'est-à-dire appartenant aux communes, et leur revenant de droit si la concession cesse. Leur valorisation figure dans les comptes du SDEPA pour le compte des communes (actif de 960 Millions)

Les compteurs sont donc bien la propriété des communes, à travers le SDEPA.

Il nous a aussi dit que le SDEPA souhaitait vérifier

·         les modalités de mise en œuvre des compteurs

·         la fiabilité des autorités de tutelle

·         la bonne exécution des services publics

en nous précisant que chaque fois qu’il y avait une réunion avec ENEDIS, des personnes protestaient sur les agissements des poseurs, mais que ces cas étaient toujours présentés comme particuliers par ENEDIS.

Il y a donc un doute sur les agissements d’ENEDIS et de ses sous traitants, et le SDEPA va prochainement mandater un cabinet spécialisé indépendant pour contrôler les modalités d’installation de ces compteurs chez les particuliers.

Il souhaite donc que nous lui apportions des témoignages de personnes s’étant vu installer ce compteur, contre leur volonté, par ruse, harcèlement, menaces….etc

Nous vous demandons donc de relancer tous vos contacts pour qu’ils nous fournissent des témoignages précis et circonstanciés sur les agissements d’ENEDIS et des sous traitants.

Aussi nous vous proposons un argumentaire complémentaire vers le syndicat :

création d'un avenant au contrat du cahier des charges de concession afin que le syndicat impose à enedis de mettre un filtre chez les particuliers qui le souhaitent.
En ayant conscience que ceci ne réglera en rien les problèmes de vie privée, mais cela constituerait une avancée si un département allait dans ce sens.

Cordialement à vous,
Bon courage, et bel été !

soupe

Financement européen du wifi dans les communes, alors que, il est de notoriété publique que l'interface RJ45 est plus fiable et sans risque sanitaire.

L’édition ci-dessous du 21 mars 2018 de MAIREinfo vous a fait connaître l’ouverture des inscriptions pour un financement européen du wifi dans les communes.

J'espère que votre commune ne s'inscrira pas à ce projet, ceci en raison de nombreux éléments dont vous pouvez trouver ci-dessous la teneur, et dont vous ne devriez pas ignorer l’existence compte tenu des nombreux messages d'alerte que je vous ai déjà fait parvenir :

1 - L'OMS (le CIRC) a classé 2B, cancérigènes possibles, les champs électromagnétiques de radiofréquence en 2011, dont fait partie le wifi. Remarquable le fait qu’il aura fallu moins de temps pour ce classement qu’il n’en a fallu pour les classements de l’amiante et du tabac, ce qui laisse entrevoir le niveau de toxicité de ces pollutions électromagnétiques.

http://www.iarc.fr/fr/media-centre/pr/2011/pdfs/pr208_F.pdf

2 - La loi n° 2015-136 du 9 février 2015 relative à la sobriété, à la transparence, à l'information et à la concertation en matière d'exposition aux ondes électromagnétiques, même si elle a été largement vidée de son contenu initial, prévoit des citoyens mieux informés, un peu plus concertés (mais malheureusement pas mieux protégés).Elle met l’accent sur la protection des jeunes enfants en interdisant « l’accès internet sans fil dans les espaces dédiés à l’accueil, au repos et aux activités des enfants » (WIFI). Ce sont les maires ou les Présidents des communautés de commune qui sont chargés d’organiser la concertation locale.

 « C’est un petit pas vers la protection, mais un long chemin reste à faire pour une réelle prise en compte des risques sanitaires potentiels. CRIIREM »

 

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000030212642

 

3 - Dans une résolution de 2011, le Conseil européen a appelé les membres à abandonner les politiques de communication sans fil, et à appliquer le principe ALARA dans sa Résolution 1815 :

 « Concernant les normes ou les seuils relatifs aux émissions des champs électromagnétiques de tout type et de toute fréquence, l’Assemblée préconise l’application du principe «ALARA» (as low as reasonably achievable), c’est-à-dire du niveau le plus faible raisonnablement possible, prenant en compte non seulement les effets dit thermiques, mais aussi les effets athermiques ou biologiques des émissions ou rayonnements de champs électromagnétiques. De plus, le principe de précaution devrait s’appliquer lorsque l’évaluation scientifique ne permet pas de déterminer le risque avec suffisamment de certitude. D’autant que, compte tenu de l’exposition croissante des populations – notamment des groupes les plus vulnérables comme les jeunes et les enfants –, le coût économique et humain de l’inaction pourrait être très élevé si les avertissements précoces sont négligés ».

4 - le rapport BioInitiative, qui rassemble 1800 études validées, et qui présente les effets biologiques liés à une exposition chronique aux CEM à des fréquences variables : « Les effets biologiques sont clairement établis et apparaissent à de très faibles niveaux d’exposition aux CEM. Les effets biologiques peuvent apparaître dans les premières minutes d’exposition à des niveaux associés à l’usage du téléphone mobile ou du téléphone sans fil. Les effets biologiques peuvent aussi apparaître juste quelques minutes après exposition aux rayonnements des stations de base, au WiFiet à tous les compteurs « intelligents » sans fil qui induisent une exposition du corps entier »

http://www.priartem.fr/Conclusions-du-rapport.html

5 - Les compagnies d’assurance et de réassurances refusent depuis 2002 de couvrir le risque électromagnétique, à l’instar du risque « amiante », de celui « nucléaire », celui des OGM… Ce qui en dit long sur l’ampleur dudit risque.

Ceci n’est pas une liste exhaustive, loin s’en faut, et l’information est de plus en plus disponible pour vous faire une idée juste de la réalité.

Faut-il que les zones publiques de la commune, ainsi que leurs riverains, soient soumis aux rayonnements du WIFI pour quelques huluberlus en mal de reconnaissance, pianotant compulsivement sur leur ordinateur portable ? Quel intérêt pour la commune ? Pouvoir s’afficher moderne et par peur de passer pour une ringarde ? Servir comme un esclave un certain tourisme, au détriment des citoyens qui n’ont aucun besoin de ce nouvel équipement ?

 Je vous remercie de bien vouloir me faire connaître quelles dispositions face à cet appel à projet votre commune compte prendre, et les motifs qui sous-tendent la ou les décisions prises.

La loi Abeille ci-dessus désignée prévoit information et concertation. Les citoyen.ne.s n’en attendent pas moins.

Veuillez recevoir mes meilleures salutations.

 MC MONET

Ne confondons pas "progrès technoscientifique" et "PROGRES SOCIAL ET HUMAIN"

 

Édition du mercredi 21 mars 2018

 

 Financement européen du wifi dans les communes : inscriptions ouvertes, début de l'appel à projets le 15 mai
> Numérique

Le portail d’inscriptions pour le programme Wifi4EU, qui permet de faire financer par l’Union européenne l’installation de bornes wifi publiques dans les communes, a ouvert hier. Ce n’est pas encore l’étape de l’appel à projets – qui débutera, selon les informations de Maire info, le15 mai – mais les communes intéressées ont néanmoins intérêt à ...
> Lire la suite

propriete
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appelsoutien

Merci à toutes et tous de bien vouloir prendre connaissance et diffuser massivement ces deux appels Hélène, Pas de Linky ni de Cpl, ni ici, ni ailleurs

 

APPEL À SOUTIEN DE LA COMMUNE DE SAIN-BEL

 

Pour faire face aux procédures à répétition que la Préfecture et Enedis paraissent décidés à lancer contre ses arrêtés, et pour aider à la prise en compte par le Parquet des plaintes qu'elle a déposées à plusieurs titres contre Enedis et sa société prestataire pour la pose des Linky, la commune de Sain-Bel (Rhône) a décidé de confier sa défense à un avocat.

 

Jusqu'alors, la municipalité de cette commune de 2500 habitants avait pour des raisons budgétaires, assuré seule sa défense. Mais face au rouleau compresseur du luxe juridique dont dispose Enedis et l’État, force est de faire appel à un professionnel. Même si celui qui a accepté de nous représenter consent à le faire quasi bénévolement, parce que c'est aussi un militant anti-linky, des frais vont devoir être engagés.

 

Nous faisons donc appel à votre générosité.

Les soutiens individuels doivent être adressés par chèque à l'ordre de "commune de Sain-Bel", à Mairie de Sain-Bel / compteurs / Place de la Mairie / 69210 SAIN-BEL (Attention : pas de T final à Sain)

Les aides de communes sont aussi les bienvenues.

 

Je profite de ce mail pour vous inciter tous à demander à vos administrés ou simples concitoyens qui subissent, qui harcèlement téléphonique et menaces, qui violation de propriété, de porter plainte systématiquement à la gendarmerie.

 

Serge RIVRON, 1° adjoint au maire de Sain-Bel

 

 

APPEL À SOUTIEN DU COLLECTIF AVEYRONNAIS VALLON

 

La procédure contre le SIEDA avance, les collectifs aveyronnais ont décidé de répliquer à la défense du SIEDA ce qui nécessite un nouvel apport de 1980 euros.

 

Vous trouverez le résumé à ce lien : http://ccaves.org/blog/wp-content/uploads/Communiqu%C3%A9-proc%C3%A9dure-SIEDA-d%C3%A9cembre-2018.pdf

 

Nous demandons à nouveau votre soutien et vos dons :

- peuvent s'adresser par chèques à l'ordre de Maître Jean Sébastien Boda

- et s'envoyer au Pti Bio, 5 allées des Rosiers 12 330 Marcillac afin de les comptabiliser :

- le Pot commun est toujours fonctionnel : https://www.lepotcommun.fr/pot/e6a10xhk

 

Si chaque collectif a la possibilité de donner 5 euros, nous y sommes.

 

Le collectif Vallon

teletrav
télétravail en 2020

 Une amie professeure de chant a été amenée à utiliser le WIFI plusieurs fois par jour en faisant du télétravail pendant le confinement. Elle a été prise de violents maux de tête qui cessaient dès qu'elle désactivait le WIFI. J'ai constaté que de nombreuses personnes avaient des symptômes liés à cette technologie mais ne faisaient pas forcément le rapprochement, faute d'être informées correctement. J'ai rassemblé à l'intention de mon amie les documents que vous trouverez en pièce jointe.  N. ROULON

wifiCriirem.jpg
technosurveil

utilisations des technologies de surveillance numérique

et de l’intelligence artificielle

 

« Google veut aider les gouvernements à s’assurer que le confinement est respecté »
https://www.courrierinternational.com/article/pandemie-google-veut-aider-les-gouvernements-sassurer-que-le-confinement-estrespecte?
utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1585931646
C’est un outil qui collecte déjà les données des internautes dans 131 pays à travers la planète. Ce vendredi 3 avril, la multinationale du web Google a annoncé dans une note le lancement d’un
nouveau site. Une sorte de plateforme qui, comme l’explique le site d’information américain The
Verge, “utilise les données stockées dans les smartphones pour comprendre le degré d’adhésion des citoyens aux consignes de confinement données par les gouvernements”.
Concrètement, l’outil de Google permet de générer un rapport en PDF – après avoir sélectionné un pays (voire une région) – recensant les mouvements des personnes dans diverses catégories de lieux. Y sont donc répertoriés les déplacements dans des endroits “comme les magasins de vente au détail (y compris restaurants, cafés, etc.), les commerces alimentaires, les pharmacies, les parcs, les stations de transport en commun ou les lieux de travail (comme les bureaux)”, détaille The Verge.
collectif du Vallon, juin 2020

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